Anaphore

"vous", "votre", "vos" = Le respect + le rapport hiérarchique B/ La défense de Pyrrhus Anaphore = "qui" = énumération de tout les aspect positifs de Pyrrhus Périphrase = "roi victorieux" = valorisation de Pyrrhus II. La résurrection d'un passé douloureux A/ Un récit détaillé et complet Opposition = rime v.981 - v.982 "fidèle ou criminelle" = dilemme d'Andromaque en 2 mots B/ Un passé toujours présent Anaphore = "dois-je oublier ?" = elle demande faussement, elle refuse d'oublier le passé et d'épouser

question, il rejette la faute sur George Sand en énumérant ses défauts.   2) le portrait dévalorisant de la femme aimée (rancune) Citation: Partez, partez et dans ce cœur de glace Emportez l’orgueil satisfait. Procédé: Anaphore Analyse: Dans ce ver, l’utilisation d’une anaphore renforce le mot « Partez » signifiant qu’elle l’a quitté et qu’elle n’est donc pas une bonne compagne. 3) Les mesquineries et la colère du poète  Citation: Qui vous perd n’a pas tout perdu. Procédé: Antithèse Analyse: Le

l’emporter sur l’expression. Le poète est d’abord un artisan. 1/3.Ce poème est baroque (1550-1650) par ses jeux de langage : paronomase (l’amer, la mer), anaphores, hémistiches, métaphores. Le feu et l’eau sont deux éléments contraires, ils sont donc baroques. 1er quatrain : les 2 premiers vers reposent sur des anaphores (et la mer), on y retrouve 4 fois le mot « mer ». Marbeuf fonde son poème sur des paronomases : mer – amer. 2ème quatrain : il poursuit la même comparaison. Les vers

|regret… |exclamations- figures d’insistance | | |Genres auquel il appartient= poésie, roman, |(hyperboles, anaphores), métaphores- champs | | |théâtre. |lexical de l’affectivité (émotions + | | |[+ ÉLÉGIAQUE= texte lyrique qui exprime

L'éloquence poétique construit un appel à la lutte a) Le travail sur le rythme. *Permet d'insister sur le caractère oral du poème qui doit frapper les esprits par sa ligne mélodique Anaphore « sur » crée un rythme régulier sur tout le poème 20 strophes avec la même structure => Anaphore x3 & dernier vers:refrain qui crée un parallèle possible avec la poésie d'amour le texte se termine par le mot chef , ce qui traduit l'évidence dernière strophe : 5 vers , pas

que son cœur est déjà prit par un mortel. Mais il n’y a pas de discours donc c’est une narration. Ce poème est en prose, la disposition n’est pas comme dans les autres poèmes, mais on peut le reconnaitre grâce au rythme du poème ponctué par des anaphores (écoute, écoute et c’est moi, c’est ondine) qui fait penser a une notion d’écho, grâce aussi au mot peut courants comme comparer une fenêtre a « losange sonore ». La poésie Dans un poème on remarque que le texte est structuré, il y a des strophes

surprise. Ils n'ont aucune raison morale pour vaincre les autres. Marque de 2éme personne ligne 20 , il implique le lecteur. Ligne 21, les indiens sont comparés à César, il crée un lien avec le lecteur. Gradation ascendante, ligne 29, avec anaphore ternaire, anaphore en trois étapes. Protase(montée progressive) et l'apodose (la chute), partie de phrase. Montaigne par sa pensé est à contre courant. Le style nominal est l'équivalent du cri, c'est l'état le plus primaire. Éloquence binaire, ligne 31, et

maisons délabrées dans lesquelles ils vivent. La beauté, l’avenir, la douceur, pourtant ils subissent l’injustice et le mépris : vers 1, «  Beau Monde » s’oppose à « masures ». Les vers 3 et 5 commencent par l’expression « Visages bons » qui est une anaphore. Ce sont des gens résistants qui ne se plaignent jamais des « injures aux coups ». « Visages bons » est en opposition avec « injures aux coups ». Le huitième vers, marque la transition entre la première partie et la deuxième partie. Dans ce vers

lexique coupable => innocent Discours des autres animaux : discours narrativisés, évite les répétitions Fin de la fable : discours indirect libre, exclamation de tout les animaux contre l’âne, voc péjoratif, anaphore de « ce », peccadille : cas pendable. Satire de la Dramatisation : Anaphore du mal, « un mal » : inconnu Personnification de la peste Etre un âne Procédé de gradation décroissante , du plus important au moins important (coupable) : renversement, chute Problématique : Comment

lecteur-auditeur a- le ballet : - danse : chps lexical - danse collective : v 5 à 10 => beauté du spectacle : - beau ballet : v 2, v5, v 12 - ballet « divin » b- la beauté du ballet : - par son ordonnance sur deux strophes avec une double anaphore : - str 2 : « se » + infinitifs (d’abord en « re », puis en « er »), + assonances en « r » et allitérations en « ou », ce qui crée un rythme et des allitérations, donc un effet musical (allitération suggestive, qui suggère le glissement des pas)