Anaphore

pensée critique c. Satire de la société de son époque * Société trop fondée sur le matérialisme * Ironie : la justice est inutile, elle rend la société encore pire, inefficace * La monarchie absolue : un roi trop distant => anaphore de « si » * Société fondée sur l’inégalité : homme/Femme d. Valeur qu’il propose pour améliorer la vie sociale * L’hygiène : important de se laver, de se changer. * développement des arts, de l’économie, des sciences.

la description de Paris affaiblie puis l’expression de l’amour et de la confiance du poète pour sa ville, et enfin l’appel à la résistance. I. La description de Paris a) La personnification de Paris * Ville mise en valeur : anaphore vers à 1 à 4 + apostrophe : s’adresse directement à la ville * Personnification confondu avec ses habitants : vocabulaire des sensations : « froid », « faim », « fatigue », des sentiments : « sagesse », « folie », « malheureux » * Silhouette

amoureux. I. LOUISE LABE PROPOSE UN POEME DU DESIR AMOUREUX… A. LOUISE LABE EST FORTEMENT IMPLIQUE DANS LA POEME… Absence de pp. Sujet + Métonymie « Mon cœur tâtant » + pp. Complément à la 1°P + Métonymie « Luth plaintif » + Anaphore « O » ( A travers un renversement des codes amoureux, ici c’est la femme qui s’exprime, Louise Labé s’implique fortement dans ce poème, mais reste néanmoins passive et soumise face au désir. B. … ET S’ADRESSE A UNE PERSONNE EN PARTICULIER

strophe au présent qui peut être comparé à une introduction, les arguments au passé dans la deuxième strophe, et les conséquences que cela entraine au futur dans la troisième strophe. La répétition est aussi utilisée pour marquer les esprits avec des anaphores ‘‘Monsieur le Président’’ ‘‘on m’a volé’’ ‘‘Refusez’’ et des phrases impératives pour inciter à déserter ‘‘Refusez’’, ‘‘N’allez pas’’. IV/Une poésie engagée : On remarque que certaines règles de la poésie engagée sont respectées, mais pas toutes :

d'écriture : le candidat peut choisir quelques quatrains parmi les vingt et unes strophes du poème qui lui plaisent particulièrement et il explique alors les raisons de son choix. thèmes abordés, langage employé, figures de style, ton… : importance des anaphores qui mettent en place un martèlement ou lancinement sourd facilitant la mémorisation du poème qui devait être dans tous les esprits. Abondance des métaphores significatives en ce qu’elles multiplient les supports d’écriture du mot « Liberté » jusqu’à

Ces grands faiseurs de protestations, ces affables donneurs d’embrassades frivoles, ces obligeants diseurs d’inutiles paroles » anaphore de « ces » = Alceste met de la distance entre lui et les personnes désignées, effet d’insistance utilisé comme argumentation ; répétition d’une même structure : déterminant + adjectif + nom + complément du nom introduit par « de », parallélisme =

est morte. 2ème partie : Nous avons expliqué dans un premier temps comment il rend compte de la violence de l’événement relaté. Nous allons donc maintenant montrer que le poète exprime son propre point de vue. Pour cela, l’auteur utilise des anaphores, c’est-à-dire qu’il répète des mots comme monstre qui se trouve deux fois en début de paragraphe. Il fait aussi des comparaisons et compare Catherine de Médicis à un monstre, ceci montre sa haine contre elle. (Fin Milieu) Les lieux saints sont comparés

Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots | Allitération en [s] dans Colombine deVerlaine :    Cassandre sous son    Capuce   | ANAPHORE n.f. | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits- Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance III, de Rimbaud   | ANTITHESE n.f. | 2 termes de sens opposés dans une même phrase | - Le navire était noir, mais

est donc dans l’incompréhension. Mais H2 lui assure que ce n’est « rien ». On y trouve une anaphore du mot rien, elle a pour but de renforcer l’idée que H2 est un personnage obstiné, il ne veut rien lui dire et garder ce secret pour lui. Au cours de l’extrait nous remarquons que Nathalie Sarraute n’utilise pas dans sa pièce un vocabulaire riche. En effet les répliques sont courtes et de nombreuses anaphores sont présentes. Elles ne font donc pas avancer l’intrigue, ce qui a pour effet de submerger

principal représentant : « Il avait six belles ailes, mais ni pieds, ni tête, ni queue, et ne ressemblait à rien » à la ligne 157. Memnon décrit ici une créature inconnue, ne ressemblant en rien aux humains. Cette opposition est renforcée par une anaphore de « ni » et un rythme ternaire, on se trouve bien dans un monde imaginaire. Memnon se trouve confronté à des hallucinations. Le texte étant un apologue, on retrouve l’envie de distraire le lecteur par un monde et un personnage assez originaux.