Anaphore

châtiment ? * Le ciel, juge de son destin, est décrit comme son bourreau, source de tous ses malheurs. Voilà pourquoi par la suite il déroule son argumentation afin de convaincre, d’assurer sa défense. * Champ lexical de la condamnation : anaphore du terme « crime », « châtier » vers 128, « loi » vers 177, « justice » vers 177 et dans la didascalie, la chaîne fait penser à un prisonnier. * Thème élégiaque * Multiples questions rhétoriques vers 129 « les autres ne sont ils point

HK Lettres Fiche technique Etudier les procédés formels du texte pour l’analyse littéraire 1) repérer et relever un procédé d’écriture dans le texte , 2) l’identifier et le nommer précisément, 3) s’interroger sur la signification de son emploi à cet endroit du texte et l’utiliser pour expliquer le texte La mise en texte : - les blancs typographiques ; - l’organisation en paragraphes (prose) ou en strophes (po ésie) ; - le respect (ou non) de la ponctuation, du système des majuscules (noms

comme un mal incarné. Il utilise principalement le champ lexical du malheur avec « dépeuple les états », « désordre », « forcées de se taire », « trouble », « négliger ». Par ailleurs, l'auteur crée une musicalité dans le texte avec de nombreuses anaphores dans chaque partie, avec « elle » qui se répète à chaque point virgule. Donc, les procédés littéraires présents dans ce texte sont un parallélisme entre la paix et la guerre, des champs lexicaux de la joie et du malheur et enfin une hyperbole.

l'auteur a travers un souvenir de jeunesse ? I/ Rose en pleine entente avec la nature, nymphe des bois 1)Rose Rose, beauté si pure est mise en valeur. → présence tout au long du texte → anaphore de son prénom (vers 2;17;25) Rose fait l'action/domine, Auteur subit/fait rien → anaphore de son prenom Rose → est détermine/ entreprenante accentues par changmt de rythme et passage a l'imparfait et au passé simple. (V.1 → imparfait / strophe7 → passé simple) Rose → aussi représenté

message mémorisable. Le poème engagé adopte aisément les formes de la chanson, avec des jeux de symétrie, des répétitions, des anaphores, des refrains. Autant de moyens mnémotechniques propices à la diffusion du texte. Le texte de Desnos, par l’anaphore de « Ce cœur/Ces cœurs » est représentatif de cette volonté, mais « Ceux qui vivent … » de Hugo est également riche en anaphores, procédé rhétorique qui marque l’esprit du lecteur. L’anaphore finale de « Vingt et trois » dans le texte d’Aragon participe

l'imparfait pour exprimer la durée de l'âge d'or puis parfait pour montrer l'achèvement, le changement de l'époque révolue. Le plus-que-parfait évoque une opposition entre l'âge d'or et la société du poète. adjectif de temps « nunc » répété en anaphore marque un recours brutal à la réalité. activités humaines : voyages sont évoqués, « tellus in longas vias », le terme bateau est donné par métonymie « pinus ». C'est le profit qui est recherché par les hommes de son époque, le commerce avec l'étranger

autres : Opposition avec les penseurs qui sont d'"inutiles chanteurs" (retranchement dans l'individualisme). Condamnation de leur démission dans le premier dizain => 3 verbes : retourne, prend ses sandales, s'en va. Trois imprécations (malheur en anaphore + honte) enchaînées dans une gradation ternaire => Image de l'automutilation (l'utilité est donc intrinsèque à sa nature). Opposition frère / désert, sandales / scandales renforcée par la rime riche et la paronymie - Un élu : Au début et à

le dilemme Cornélien qui va amener l’action tragique. ( 2ème mouvement —> La tirade de Camille ) La tirade débute en écho avec le nom propre de la ville de « Rome » comme pour souligner la raison de sa colère, la quadruple anaphore V.7.8.9.10 de « Rome », cette anaphore permet d’exploser toute sa haine comme pour expier/expulser sa douleur. Rome est ici personnifiée comme une femme, une rivale. L’usage de la ponctuation forte, (dix points d’exclamations) témoignent du ressentiment. On note

phrases. On commence en employant une structure, et puis on change. Les deux phrases sont correctes, mais pas le mélange des deux. Analepse (une) : En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore (une) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Antanaclase (une) : Une antanaclase est la reprise d’un même mot avec un sens différent. Antiphrase (une) : Procédé qui consiste à exprimer une

axes d'étude Commentaire littéraire I. Les ravages de la guerre et de la destruction Destructions matérielles (champs lexicaux : ruine, deuil...) Passage du paradis au néant : la première strophe décrit Chio comme une île idéale (anaphore de « Chio » suivie d'expressions montrant le bonheur et l'opulence qui régnaient sur Chio). La deuxième strophe marque la rupture et le résultat de la guerre : « Tout est désert » Les conséquences affectives : Solitude et détresse de l’enfant