Anaphore

premier étage qui donnait sur la cour des moyens » sont des indications de lieu utilisées par l’auteur, pour signifier qu’ils ne font que travailler, enfermés. « C’était pour coudre, rien que pour coudre », « ils cousaient, ils cousaient », ces anaphores utilisées par l’auteur accentuent le travail acharné des enfants. « Penchés du matin jusqu’au soir sur une couture implacable », « regard implacable », ces hyperboles utilisées par l’auteur accentuent encore plus les dures conditions de travail et

tourmente de la guerre. * Les anaphores : - la structure du poème : 20 strophes construites sur le même canevas + Anaphore de la préposition "sur", répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu+ Dernier vers de la strophe : "J'écris ton nom" -> Eluard cherche à ce que son texte soit facilement mémorisé pour être retransmis oralement d'une part et d'autre part pour être complété par les lecteurs partisans. - la prédominance du je : Anaphore du "je" en début de vers

suppositions des juges. De plus, il met en avant le caractère absurde de ces suppositions par de nombreuses questions rhétoriques. Il ne prend pas la peine d’y répondre puisque les réponses sont évidentes. Il accentue l’absurdité de la situation par une anaphore au début de chaque question « Comment [...] ? Comment [...] ?... ». Par tous ces procédés Voltaire fait la plaidoirie de toute la famille Calas et ses amis et les disculpe. Le philosophe, en désaccord avec la justice, utilise un ton péremptoire

lyrique et aide à mémoriser. Dans la chanson de Roland, dans la première laisse, à la ligne 7,8 et 9, on repère des anaphores : « lui fend » est répété deux fois en début de vers. De plus, le pronom « lui «  est répété 3 fois ; et dans la deuxième laisse, le mot de liaison « et » est répété 3 fois. (ligne 4,5 et 6). Dans le Roman de Tristan et Iseult on repère également une anaphore à la ligne 10 et 11 : « Vassal, que fais tu ? [...]» « Vassal, à quoi bon ? [...]» Ici nous avons affaire à du discours

l’auteur mais l’emploie de l’imparfait qui un temps du passée nous donne une impression que cela est trop tard pour changer la chose.Puis suite à cette amorce l’auteur énumère une liste d’objet situer dans leur appartement . Il y a de nombreuses anaphores que l’on retrouve dans ces phrase : « Une cloison pouvait sauter , libérant un vaste coin mal utilisé ``.Cette citation est représentée comme un argument qui permettrait de gagner de l’espace dans cet appartement.«une série de placard pouvait surgir

société - / "organisée" + hyperbole avec le pluriel "toutes les modifications" · "ils" et "les" p pers confondus / les "tu" ne font pas partie de cette harmonie · Adv de lieu partout en tête de prop : anaphore pour mettre en valeur la véracité de l'observation et de la conclusion à tenir.· Anaphore entre les deux prop indépendantes juxtaposées "partout" : équilibre => met en exergue le caractère absolu de cet adv => normalement pas d'exceptions· Olympe de Gouges renvoie l'hô à la prise de conscience

", est le deuxième du recueil Sonnets publié en 1555. I- L'expression de l'amour dans le sonnet A- Le cadre énonciatif - C'est un sonnet italien (rimes en abba / cddc / eef / ggf) en décasyllabes. - La poétesse apostrophe l'homme aimé (anaphore de "Ô"). - L'homme aimé est d'abord désigné par métonymie (remplacer un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique) : ("yeux bruns", "chauds soupirs"...). - Ensuite apparaît explicitement le pronom personnel "toi" (vers 12

tirades dans lesquelles le personnage exprime ses passions en libérant ses paroles. Un souffle lyrique pour exprimer une souffrance Vocabulaire → livrée = habit du domestique -phrases exclamatives → rythme « invente, imagine, suppose » -anaphore → vers 359-352 « être esclave, être vil » -rythme ternaire vers 359 → « d'étrange,d'incensé,d'horrible et d'inoui » vers 357 -1ère personne énonciation : « je », « j'ai », « me » -Champ lexicaux → amour liée à la souffrance « poitrine », 

court vers le roi pour le consoler et lui montrer qu'ils sont là ; le paraître prime v3 le courtisan joue un rôle v8 tout est regelementé et remplacent les compliments v11 ironie car obligation de s'y rendre v12 il surjoue v21 Anaphore v21 . Liltote peuple hypocrite Cerf ; noble La reine etiat cruelle aussi Loup ; personification des gardes Art de la parole du cerf v 39 42 Champ lexical de la religion «  imolez «  «  sacré » Discours v40 Cerf dit

jours,temps,jours,vieillis,rajeunissant,jour.  Avec les mots « soirs, nuits, aubes, jours » le temps est envisagé de manière suivi. Plusieurs énumérations des différents moments de la journée avec les articulations chronologiques « Et », « Puis » (anaphore) qui répété dans un même quatrain met en valeur la rapidité du temps. Elle rythme la strophe. Il y a utilisation du futur dans des verbes de mouvement « viendra, passeront, s’iront,passe,irai » qui met l’accent sur la fuite du temps. Le mouvement