Anesthésie-réanimation

 I) Réglementation : Art. R4311-5 du CSP (alinéas 15, 16, 28) : rôle propre. Art. R4311-7 du CSP (alinéas 22, 30) : rôle sur prescription. II) Coma, Sédation et Anesthésie : 1) Coma : Le coma c'est un état de conscience avec disparition des comportements de veille. C'est non réversible à la stimulation. Le coma correspond à une altération des fonctions supérieures. 2) Sédation : C'est l'ensemble des moyens médicamenteux ou non destinés à assurer le confort physique et psychologique

Le complexe opératoire est une unité de soins cliniques spécialisée et multidisciplinaire où sont dispensés les soins chirurgicaux dans l’hôpital. Les interventions chirurgicales peuvent être réalisées sous anesthésie générale, locorégionale ou locale DESCRIPTION DE LA STRUCTURE DU CO 2.1 BLOC OPERATOIRE CENTRAL 2.1 Salle d’opération 2.2 Salle de réveil 2.2 BLOC OPERATOIRE DES URGENCES OU BLOC PORTE

polyvalente et spécialisée - 8 lits de soins intensifs cardiologiques - 32 lits de surveillance continue polyvalente - 20 lits de médecine cardiologique - 73 lits de rééducation fonctionnelle - 15 lits de maternité - 9 lits de réanimation adultes - 38 places de chirurgie ambulatoire - 14 places de chimiothérapie - 16 places de rééducation ambulatoire Le bloc opératoire central : La Clinique LA CASAMANCE dispose d’un bloc opératoire central permettant de prendre

LE CATHETER ARTERIEL Définition Il est utilisé dans les services de Réanimation et en Anesthésie en raison des avantages essentiels que représentent les possibilités de monitorer la pression artérielle de manière invasive et continue et de réaliser facilement des prélèvements chez des patients nécessitant une surveillance régulière des gaz du sang. Il consiste à introduire un cathéter dans une artère périphérique (radiale de préférence). Cet acte est réalisé par le médecin de façon stérile. Le

post-opératoires. Options médicales Le traitement médical vise à soulager le patient de ses symptômes, avant l'intervention chirurgicale: antalgiques et antispasmodiques dans la colique hépatique, antibiotiques dans la cholécystite aiguë, réanimation dans l'angiocholite. La dissolution des calculs par des acides biliaires pris par voie orale est connue depuis 1937 et pratiquée depuis les années 70 avec différents médicaments. Son inconvénient, elle fabrique des microlithiases, avec risque

trafic sont des étiologies moins fréquentes 3-5% • Guerre=catastrophe naturelle (occasion rare) • 1/3 des malades en centres sont des enfants (population à risque) • Prise en charge tardive ou inadaptée favorisent la mortalité • Besoins de réanimation les plus élevé la première heure a. Les enfants  Age 12mois/3ans  Accidents domestiques par liquides chauds  Solides chauds  Courant domestique b. Les adultes  Plus d’hommes que de femmes  Accidents des loisirs  Suicides  Catastrophes

l’intolérance à l’environnement. * Thérapeutique : traitement à part entière de certaines circonstances pathologiques : ex alcoolique qui a des varices œsophagiennes, patient en delirium tremens. Intubation : acte médical réalisé avec ou sans anesthésie générale qui consiste en l’introduction d’une sonde semi-rigide depuis la partie haute de la trachée en passant par l’orifice glottique. Objectifs : * Maintenir la liberté des voies aériennes supérieures. * Assurer la ventilation permettant

gorge, dans la trachée haute sous le larynx et d'y insérer une canule rigide d'environ 10 cm pour faciliter la respiration L'opération se réalise sous anesthésie générale et dure de 15 à 45 minutes. Elle peut être de façon passagère ou définitive. Elle est transitoire en cas d'encombrement des bronches, d'obstacles dans le larynx, en réanimation pour effectuer une ventilation artificielle. Elle peut être définitive dans les cas de cancer de la gorge, d'insuffisance respiratoire chronique, d'anomalie

Anesthésie du patient bronchopathe chronique Bertrand Dureuil (Rouen) La morbidité respiratoire périopératoire a probablement considérablement diminué en particulier chez l’insuffisant respiratoire chronique. Des études récentes de séries de patients souffrant d’un handicap respiratoire préopératoire sévère montrent qu’ils peuvent tolérer des interventions chirurgicales majeures avec une fréquence d’insuffisance respiratoire postopératoire qui reste inférieure à 5 % [56,83]. Même si cette

que des patients se fassent amputer dans des ailes isolées des hôpitaux, pour ne pas terrifier les gens avec leurs hurlements, tout droit sortis des limbes sataniques) Depuis lors, d'énormes progrès ont été faits dans l'art de nous mettre sous anesthésie. Le mot vient du grec « perte de sensations », mais ce n'est as le seul effet qu'elle cause. Les deux grandes classes d'anesthésiants vont s'occuper de soulager de la douleur, rendre amnésique de la période entourant l'intervention, réduire l'anxiété