Animaux Personnifiés

après, le Chat, ayant vu que l'ogre avait quitté sa première forme, descendit et avoua qu'il avait eu bien peur. « On m'a assuré encore, dit le Chat, mais je ne saurais le croire, que vous aviez aussi le pouvoir de prendre la forme des plus petits animaux, par exemple de vous changer en un rat, en une souris ; je vous avoue que je tiens cela tout à fait impossible. — Impossible ! reprit l'ogre ; vous allez voir. » Et en même temps il se changea en une souris, qui se mit à courir sur le plancher.

De plus, ce récit est plaisant grâce aux personnages imaginaires. Les animaux sont personnifiés, ce qui est repérable aux majuscules (« un Loup », « Ce Loup », Un Dogue »), aux marques de l’anthropomorphisme (les animaux parlent, on évoque « le salaire », « la pointe de l’épée », leur titres « Sire Loup », « beau Sire »). Ils sont opposés. L’opposition est marquée dans la description physique de chacun des animaux : celle du loup est caractérisée par la restriction « n’avait que les os et

fait merveilleux où les animaux parlent car il sait qu’il s’agit d’une métaphore filée où se lit le monde des hommes. A – Un monde hiérarchisé  Le monde des fables présente une société animale hiérarchisée. Elle est organisée selon la loi du plus fort, autrement dit la loi de la nature où certains dominent et où d’autres subissent. Cette hiérarchie propre aux animaux, qui semble préexister, préfigure le monde des hommes.  Dans les fables de l’origine on trouve des animaux du désert ou de la jungle

olfactives et les animaux nocturnes évoqués dans le quatrième paragraphe. Ce paragraphe est composé de deux phrases longues et très peu entrecoupées. On retrouve un parallélisme avec le deuxième paragraphe (toutes les bêtes l.13 = toutes les senteurs l.3), ce qui montre que le point de vue interne a repris, et que c’est au travers de Jeanne et de ses sensations que l’on va percevoir la description qui va suivre. Le monde humain a disparu, du fait de l’obscurité, et seul subsiste le monde animal, peuplé de

roseau s’inspire de la fable d’Esope, « Le roseau et l’olivier » Jean de La Fontaine, au XVIIème, utilise ses fables pour dénoncer les abus et les états de la société. Son amour pour la nature lui fournit de nombreuses idées et lui permet de personnifier animaux et végétaux. Le chêne, puissant et égocentrique se voit déraciné par le vent, sans avoir pour autant plié. De son côté, le roseau est resté debout, en pliant. La Fontaine arrive donc à inverser sa thèse habituelle, en lui trouvant une exception

Hommes. Comme un sacrilège, les humains ont détourné la nature de sa fonction principale … La mer et la terre sont de nouveaux personnifier pour rendre service à l'homme, car il est avide de ressources, etc. On remarque le grand nombre de vers consacrés à la mer, (5) aux animaux et à l'agriculture, prouvant ainsi que l'homme ne respecte plus la nature, donc plus les animaux, car il s'en sert pour produire. On a aussi la notion de propriété, devenu « source d'inégalité ». il a aussi tout un vocabulaire

sons colle à l'idée de récurrence. On essaye de faire partager sa souffrance au lecteur. On provoque une musique qui accentue le mal être. Un crescendo se fait tout au long du texte. Deuxième temps avec le deuxième quatrain. L’espérance est personnifié. Comparaison avec la chauve souris. Et une troisième figure de style est crée grâce au lien entre l’Espérance et la chauve souris qui est une allégorie. → représentation d'une idée abstraite par quelque chose de concret. Cachot humides → symbole

former le jeune duc de Bourgogne à la vie de la cour qui l'attend à la mort de Louis XIV : intentions éducatives . Il s'agit d'instruire autant que de plaire et pour ce faire l'auteur se sert d'animaux: les Fables apportent des connaissances sur les animaux , les humains et «une morale nue apporte l'ennui le conte fait passer le précepte avec lui ». : A la visée éducative s'ajoute l'analyse critique du contexte politique : la monarchie absolue . Les deux méthodes favorites de la Fontaine sont la satire

A) Structure simple d'une fable de 36 vers dont 32 de récit et composé en 3 temps -Vers 1 à 13 :présentation de la cour du roi: cadre temporel nettement délimité par les valeur de passé « voulut » « manda » -Vers 14 à 33 : intervention des animaux (l’ours v16-19, le singe v20-27 et le renard v28-32 qui sont tous opposés au lion) -Vers 34 à 36 : Morale explicite qui se présente comme un élément conclus « ceci » = cet exemple→ ainsi le conseil est universel. B) Procédés d'animation rendent

d'une opposition de 2 statuts sociaux. Axe 1: Un récit vivant et amusant 1) Récit vivant : Le récit est rythmé a l'aide de la ponctuation, on remarque la présence importante de virgules et de point-virgules. L'insertion du discourt des deux animaux rend le texte encore plus vivant. L'action est rapide et entrainante. Enfin les deux rebondissements donnent de l'énergie au texte. 2) Récit amusant : Le ton parodique de cette fable rend ce récit amusant ainsi que le décalage entre la situation