Animaux Personnifiés

(1668-1694) et leur composition sur plus de trente ans. Ce sont des recueils de poèmes en vers libre (sans structure régulière « rimes », « strophes ») comportant une morale, ici il s'agit d'un récit fictif (imaginaire) où La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Dans chacun de ses récit il y a une morale. « Le Loup et le Chien » présente deux modes de vies opposées, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est lui au service de son maître, reprenant ainsi une

particulière. En effet, il utilise une métaphore filée pour le décrire. Il s’apparente à une chimère qui possède des caractéristiques provenant de divers animaux, avec le champ lexical de l’organisme, tels les insectes (« dard » l.16), les mammifères (« gueule »l.15, « langue »l.16, « tête » l.11). Ce brasier se déplace également comme un animal, tantôt de manière furtive (« a bondi »l.3 « saute »l.13), tantôt de manière plus lente (« rampe ; avance » l.13). L’auteur montre ainsi le caractère changeant

doute sur ce qu'aurait été l'issue de la journée Ø intervention de L: un beau massacre ! (12). Violence peu retenue des chasseurs rappelle violence du loup lui-mê. bruit des chasseurs (citer) /silence du loup quand il tue + silence digne dans lequel animal semble accepter sa mort. Toute la battue n'a été qu'une longue ↑ vers moment paroxystique, d'où caractère solennel des derniers instants. II) Inversion des rôles de sauvage et de civilisé hô→loups. car acharnement pour arriver à leurs fins:

gloire Le nom "gloire" est utilisé à deux reprises dans le texte. De plus, notons que l'on trouve deux parties dans l'extrait : dans la première partie, il est question des animaux puis dans la deuxième, il est question des hommes. Le substantif "gloire" est utilisé pour conclure chacune des sous-parties. La Bruyère personnifie la gloire à la fin du texte notamment avec les verbes gésir et aimer : "où gît la gloire", "elle aime". Cette personnification tend à prouver que tout est au service de la

surprise Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre. Images poétiques (les figures d’analogie) La personnification attribue des capacités humaines à des animaux ou des choses fait d’un animal, objet, un être réel, un acteur du texte « l’Espagne agonisante pleure » L’allégorie personnifie une idée abstraite en lui donnant corps idée plus concrète, marquante la colombe pour la liberté La comparaison met en relation deux éléments qui ont un point commun (mot-outil)

tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun, qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. Sire, répond l'Agneau, que Votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant
 Dans le courant,


Le Lion régnant. Problématique : quelle est la portée satirique de cette fable ? Comment LF fait-il « passer » cette satire ? I. Un récit vif et animé 1. Structure de la fable    Vers 1-13 : présentation de la cour 14-32 : intervention des animaux (ours, singe, renard) 33-36 : moralité explicite 2. Procédés d’animation a/ un rythme qui tient le lecteur en éveil  vers de différents mètres : présentation avec 2 alexandrins, rythme ample, majesté royale ; ensuite octosyllabes (plus rapide, plus

Dénonce certains aspects de la société, pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire, surtout avec ses Contes et ses Fables → récits didactiques, moralisateurs. Utilise des animaux personnifiés pour dénoncer, mettre en garde et critiquer la société du XVIIe (critiques du Roi et de sa Cour, de la monarchie absolue, des abus de l'Église...), met en évidences les vices humains (cruauté, vanité, folie, violence … )

C’est l’histoire du rapport entre un cheval & son maître. Tandis que le cheval est peu à peu personnifié, l’humain «  s’animalise ». On peut voir que Coco s’humanise car on ressent que le cheval pense comme un être humain, il s’inquiète. On nous dit qu’il à des « cheveux blancs » alors que chez un animal cela serait plutôt une crinièreOn l’appelle le « bien du bon dieu ou l’invalide » On nous dis qu’il a des « jambes lourdes, des genoux & des côtes saillantes »Il a des réflexes humains, il se

sa fable La Fontaine utilise la voie de l’argumentation indirecte c’est-à-dire que le message est implicite, il n’est pas donné directement au lecteur, d’abord La Fontaine fait passer son message par sa fable en remplaçant le gouvernement par des animaux, par exemple le lion est en fait l’allégorie du roi. De plus La Fontaine transmet son message à la fin dans la morale : « Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, et tachez quelquefois de répondre en