Anthologie Prison

depuis 2009 fait face à une hausse du taux de criminalité, favorisant ainsi la surpopulation carcérale. Cette situation, accablée par les questions de respect des droits de l’homme, rend actuel le thème de la prison, prérogative de la puissance publique. Privilégiant l’humanisation de la prison, on semble toutefois oublier l’envers du décor que représentent les personnes détenues par rapport à l’Etat. Dans le dessein de trouver des moyens pour permettre à l’Etat d’assurer sa mission de protéger l’intérêt

Contexte du livre Les années 1970 : Dans ces années, la prison est une institution en crise. Certains réclament d’ailleurs sans délai la fermeture des prisons. Pourtant en 1975, le champ carcéral est quasiment déserté par les historiens professionnels. « Surveiller et punir » a contribué à marquer durablement les débats et les luttes autour des prisons en France. Parallèlement, se développent les activités du GIP, Groupe d’Information sur les Prisons auquel participera Michel Foucault. Notons que la peine

d’occupation moyen en maison d’arrêt avoisine les 122 % au 1er novembre 2010 ; faciliter l’accès aux soins de populations détenues dont l’état de santé est souvent dégradé (la prévalence des hépatites B et C ou du SIDA est ainsi dix fois plus élevée en prison que dans le reste de la population) ; garantir l’homogénéité de la garantie des droits dans près de 200 établissements de taille et de statuts différents, pour des personnes détenues souvent soumises à des régimes différenciés selon l’estimation de

vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution. Composition : Le livre comporte trois parties :

discrimination du travail. L'employeur doit prendre sa décision en fonction des capacités professionnelles et non sur des considérations personnels, sinon dans ce cas, l'employeur est passible de sanctions pénales pouvant aller jusqu'à 3 ans de prisons et une amende d'un montant de 45 000 euros. 2 .Les recours possibles Il existe, deux recours qui peuvent être choisi par les personnes victimes de discrimination : Le recours pénal ou la personne faisant l'objet d'une discrimination peut porter

Amnesty International Amnesty international est une ONGI (Organisation Non Gouvernemental International) dont le but premier est de faire appliquer la Déclaration Universelle des droits de l’Homme et la liberté d’expression. Cette organisation milite aussi pour la libération de prisonnier politique et l’abolition de la peine de mort et contre la torture. Amnesty international crée en juillet 1961 en Angleterre par Peter Beneson se voit reconnaitre par l’UNSCO, l’Europe et l’Organisation des Etats

disposent d’assez de preuve pour les inculper d’une crime mineure, sauf si l’un des suspects dénonce l’autre. o si les deux suspect se taisent → 1 an de prison chacun o si l’un des suspect dénonce, et l’autre se tait → celui qui dénonce est libéré et celui qui se tait faire 4 ans en prisons o si les deux suspects se dénonce mutuellement → 3 ans de prison pour chacun Master SCM Gestion des contrats JEUX STATIQUES A INFORMATION COMPLETE o Equilibre en stratégie dominante o Exemple : le dilemme du

août 2013 relatif aux jeunes enfants en prison et à leurs mères détenues............................................................................p. 72 HERZOG-EVANS Martine, Le temps d’être mère. Rester mère malgré la détention, in HUMBERT Sylvie (dir), DERASSE Nicolas (dir), ROYER Jean-Pierre (dir), « La prison, du temps passé au temps dépassé », Paris : L’Harmattan, 2012, P.155-181...............................p. 77 BOUGEARD Nathalie, Naître en prison : reportage à la nurserie de Fleury-Mérogis

s’en défendre » 1. Dans Asiles, Goffman présente une interprétation de la vie hospitalière qui situe les pratiques thérapeutiques dans le cadre, plus spécifique, d’une institution totalitaire. C’est-àdire un établissement (hôpital psychiatrique, prison, camps de concentration) caractérisé par sa fonction de réadaptation de l’ordre social des individus internés. La contradiction qui existe 1 Goffman Erving – Asiles : étude sur la condition sociale des malades mentaux, Les éditions de Minuit, 1961

ncessaire laccomplissement de la mission de lautorit. Ce raisonnement vaut galement pour les sanctions disciplinaires il y a ici linfluence de lart 61 CEDH lintrieur des tablissements pnitentiaires. Le dcret de 1998 modifiant le droit disciplinaire en prison , le mettant en conformit avec lart 61 CEDH En toutes hypothses, la sanction pnale est larchtype de al sanction rpressive. Elle peut donc tre dfinit comme la mesure coercitive prononce sur la base dune infraction pour le juge pnal. Sanction / Mesure