Anthropologie Afrique

Du latin pluralis, « pluriel ». Désigne la diversité et s'oppose à l'unité. La pluralité montre qu'il y a une absence de lien entre les éléments qui sont tous différents, indépendants et ne renvoient pas les uns aux autres. • culture : En anthropologie, la culture désigne l'ensemble des croyances, connaissances, rites et comportements d'une société donnée. Certains réservent le terme de culture aux productions non matérielles d'une société, préférant parler de civilisation à propos des productions

Introduction : Il s’agit d’un article de Pierre Dasen, professeur en anthropologie et psychologie interculturelle. Cet article porte sur les représentations sociales de l’adolescence. Il convient donc, pour commencer, de définir d’une part les représentations sociales et d’autre part l’adolescence. Introduit par E. Durkheim, le concept de représentations sociales pourrait se définir ainsi : « Nous avons toujours besoin de savoir à quoi nous en tenir avec le monde qui nous entoure. Il faut bien

L’existence consciente La conscience est en un sens toujours présente et sous-jacente à la pensée. Que ce soit dans l'état de veille ou dans l'état de rêve, tout ce que nous vivons, est vécu dans et par la conscience. Tout ce que nous pensons se situe dans la conscience. La conscience est comme l'écran du cinéma où se projette le film de notre existence. Elle est toujours là en toile de fond. Elle est donc toujours proche, elle est d'une expérience évidente, si bien qu'il serait difficile

2. Urbanité ( redéfinition de la ville • spécificité des villes = regroupement, concentration pop rel imp dans un esp géo indéterminé (dk hommes, fonctions,…) ( formidable disparité entre villes : - selon pays - selon histoire ( mobilité mat définie par flux et essors des déplacements ( remise en cause de la notion de ville. Ex : Paul Claval lieu qui maximise les interactions sociales (mais ethnocentré sur ville UE avec centre médiéval,…) Ex : Jacques

Lilyan KEESTELOOT et Bassirou DIENG : Les épopées d’Afrique Noire, Paris, Éditions Karthala, 1997, 626 pages Paul Drabo, Assistant, DER de Lettres, Université de Bamako Date de publication : 22 juin 2002 L’ouvrage de Lilyan KEESTELOOT et de Bassirou DIENG s’est assigné la double et lourde tâche analytique et anthologique des épopées négro-africaines. C’est la moisson d’au moins un quart de siècle de gestation et de maturation que les lecteurs apprécieront certainement comme un événement historique

RACE ET HISTOIRE Claude Levy-Strauss I Présentation de l'auteur et du livre A. L'auteur Claude LÉVI-STRAUSS (1908 - ) Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’œuvre de Claude Lévi-Strauss s’est progressivement révélée, en France et à l’étranger, comme la contribution majeure à l’anthropologie contemporaine. Elle le doit, cependant, plus à son prestige et à son éclat qu’à des positions dogmatiques qui auraient rallié momentanément le plus large consensus. Ce sont d’abord les questions qu’elle

l'amène à vouloir comprendre les émotions et les perceptions fabriquées par les sociétés humaines, ainsi que leur rapport au corps à travers le lien social. Il est l’auteur de : Anthropologie du corps et modernité (Presses universitaires de France, 2005), Mort sur la route, (Éditions Métailié, 2007), Éclats de Voix. Une Anthropologie des voix, (Éditions Métailié, 2011). Son livre, La sociologie du corps, édité chez PUF, à Paris, collection « que sais-je », publié en 2010 pour la 7ème édition, a été écrit

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la véritable intelligence de la civilisation kanake. Il utilise ici le Mythe du Bon Sauvage pour dénoncer la barbarie de la France lors de l’Exposition Coloniale de 1931, fait historique. Il rejoint ainsi des auteurs tels que Lévi-Strauss dans Anthropologie structurale, Montaigne dans Essais ou Bernardin de St-Pierre dans Voyage en île de France. Mais dénonce un acte sauvage, impensable aujourd’hui, de la part d’un peuple qui se dit civilisé : ce qui est relativement paradoxal.

Partie III : La musique est-elle vraiment un facteur de socialisation On constate que les différents courants musicaux sont souvent associés à des sous-cultures, et parfois même à des contres-cultures. En effet, les normes et valeurs introduites par la musique dans les « tribus » diffèrent souvent de celles promulguées par la culture propre à chaque société (au sens anthropologique). Bien que certaines « tribus » soient parfaitement intégrées à la société car la musique qui les rassemble partage