Antibiothérapie

es Sur un terrain immunodéprimé Une toux chronique évoquera une infection à Pneumocystis carinii Une toux chronique sans orientation étiologique avec un bilan négatif non améliorée par un traitement d’épreuve par broncho-dilatateur ni par une antibiothérapie de la classe des bêta lactamines fera envisager une infection à mycoplasma pneumoniae. www.pharmacies.ma 22 La toux psychogène est isolée et disparaît pendant le sommeil L’interrogatoire relève un terrain conflictuel ou psychoaffectif

inférieurs : permet d’étudier le système nerveux périphérique, muscle, jonction neuromusculaire. Hémoculture : permet d’établir un diagnostic bactériologique. Radiographie : recherche d’une déminéralisation de l’os. Les traitements : Médicaux : antibiothérapie VANCOCIN 2,5 gr et MERONEM 1gr en Intra veineux. Chirurgicaux : amputation Trans Tibiale gauche le 26/09/13. Les complications/ Pronostic : Abcès Infection jusqu’aux tissus voisins Septicémie Décès Chez Mr P pronostic vitale favorable

d’aplasie médullaire) • • 14 DIAGNOSTIC  Le bilan complémentaire comprend : • Groupage des antigènes des leucocytes humain Bilan pré-transfusionnel  Bilan immunologique et virologique • • 15 TRAITEMENTS  Traitements symptomatique : Antibiothérapie à large spectre : risque d’infections fongiques importants (durée d’aplasie) et constituent à l’heure actuelle l’une des causes principales de décès de ces patients. • Transfusions (CGR et CP) : Les règles de transfusions en cas d’hémoglobine

Numérique ou l'échelle verbale simple (EVS). Objectif EVN < 3 sur 10 Privilégier toujours l'autoévaluation même si le patient est intubé. G. Risque infectieux Prise en charge différente selon le terrain ; en cas d'endocardite, mise en place d'une antibiothérapie adaptée par le médecin. Rappel : mise en place d'une prothèse qui majore le risque infectieux. La gestion du risque infectieux nécessite une répartition optimisée des patients entre les infirmières en fonction des pathologies et des statuts infectieux

Prescription de décubitus dorsal et décubitus latérale alterné, afin d’éviter le risque d’escarreSur le plan infectieux Il lui a été prélevé des hémocultures et du liquide céphalo-rachidien qui reviennent positifs à Staphyloccocus aureus. Une antibiothérapie à été mise en place avec une association de Cloxacilline et Rifampicine. MR R. reste fébrile à 38,5 avec une hyperleucocytose à 26 000. Devenir  : A court terme il sera effectué une réunion médicale éthique afin de statuer

particulière fréquence (et gravité) de Pseudomonas aeruginosa en milieu de réanimation et l’augmentation de fréquence ces dernières années des pneumopathies à Candida (albicans ou non albicans) dans ce même type d’unité (importance de la poly-antibiothérapie). La part des infections virales est très sous-estimée mais on remarquera la particulière gravité de ces types d’infection aux âges extrêmes de la vie soit par action virale directe soit par surinfection bactérienne. En milieu de réanimation,

fixée sur les cellules. Prophylaxie: Vaccin obligatoire depuis 1938 en France. 3 injections + rappels (16-18mois, 6ans, 11-13 ans, 16-18ans) Rappel tous les 10 ans ensuite. Vaccin pentavalent: Diphtérie-Tétanos-Coqueluche-PoliomyéliteHaemophilus Antibiothérapie : Pénicilline G (IM ou IV) ou Amoxicilline. Erythromycine en cas d'allergie aux bêta-lactamines (attention : 2 à 15 % des souches sont résistantes à l'érythromycine). 

cavité abdominale et de nettoyer celle-ci en fin d’intervention (toilette péritonéale). Dans certains cas graves (présence d’une péritonite, d’une occlusion), une laparotomie peut être nécessaire. La chirurgie est systématiquement encadrée par une antibiothérapie..Les soins postopératoires sont quasi-nuls : Les suites opératoires sont habituellement simples : reprise du transit entre 24 et 48 heures après l’opération, reprise d’une alimentation légère le premier jour. le patient sort au 4e ou au 5e jour

Analyse de pratique s4Cette situation se déroule lors de mon dernier stage de 2e année dans le service d’Hospitalisation A Domicile. Ce service s’occupe de patient qui sont hospitalisés chez eux pour de diverses raisons tel que pour des antibiothérapies en intra veineux, des administrations de chimiothérapie, des pansements complexes et la gestion des fins de vie à domicile.Cet évènement se déroule durant les premières semaines de mon stage. Avec l’infirmier qui m’encadre nous nous rendons chez Mr

rénales bilatérales d’où la pose de deux sondes JJ urétérales à droite et à gauche ainsi que 8 séances de LEC(lithotritie extra corporelle : méthode de fragmentation du calcul à l’ultrason). Les épisodes précédents de PNA ont bien évolués sous antibiothérapie par l’Imipenème + Cilastatine Synergic500mg/500mg®. Le patient avoue la consommation quotidienne de Trihexyphenidyle  Parkizol 5mg® à raison de 1à2cp /j. Le patient ne présente pas d’antécédents pathologiques