Anticholinergique

retirée trop tôt peut ne pas avoir eu le temps d’être « efficace ». Une sonde gardée trop longtemps, peut se calcifier et s’obstruer. Effets indésirables et conseils Conséquences de la JJ | Conseils | Envies d’uriner plus fréquentes | Anticholinergiques | Douleurs lombaires à la miction | Uriner sans pousser Antalgiques mineurs | Gêne vésicale | Anti-spasmodiques | Urines sanglantes | Boire 1,5 l par jour Eviter les efforts importants | Retrait de la sonde double J L’ablation de la

sont : · Présence de sang dans les selles· Coliques· Diarrhées· Nausées· Dénutrition par malabsorption des glucides, lipides, protides· Troubles hydro électrolytiques· Traitement : pansement digestif, antalgiques, antibiothérapie, antifongiques, anticholinergiques, régime sans résidu, réhydratation parentérale, voir même alimentation parentérale · Ces effets peuvent être réduits par fractionnement avec utilisation d’artifices repoussant les anses grêles comme le décubitus ventral la réplétion vésicale·

l’introduction d’un agoniste 1,6 ans et de la L-Dopa : 4,2 ans (Olanow, 2009) La médication antiparkinsonienne cherche à rétablir l’équilibre dopamine-acétylcholine au niveau des noyaux gris. – En réduisant l’hypercholinergie centrale par les anticholinergiques (Akinéton, Artane,Tremblex) – Et/ou en restaurant le tonus dopaminergique par la Dopa ou par les agonistes dopaminergiques (Parlodel, Permax, Apomorphine) Dopa (Propopa 125,Prolopa 250, Sinemet) – Passe la barrière hémato-méningée

antidépresseurs en termes de tolérance Les mécanismes d’action des antidépresseurs en termes de tolérance sont davantage connus. Les antidépresseurs imipraminiques ont des effets réceptoriels post-synaptiques impliqués dans leur tolérance : - effets anticholinergiques, - effets adrénolytiques alpha1, - effets anti-histaminiques H1 [14]. 1 L’indication du millepertuis est : « Traditionnellement utilisé dans les manifestations dépressives légères et transitoires ». Agence Française de Sécurité Sanitaire

: acide ibandronique DESTARA® : acide ibandronique AREDIA®: pamidronate de sodium ACTONEL®: risédronate monosodique SKELID®: tiludronate disodique ZOMETA®: acide zolédronique ACLASTA®: acide zolédronique) et génériques Collyres mydriatiques anticholinergiques chez des patients à risque (sujets âgés et enfants) Immunoglobulines IV Ostéoporose postEuropéenne centralisée et ménopausique et autres nationale indications rhumatologiques OUI OUI Arbitrage européen en cours concernant les fractures

augmentation de la cholestérolémie, diminution de l'appétit. somnolence, insomnie, agitation, idées et comportements suicidaires Dominal ® Antipsychoti-que 8h 18h 80 mg aucun Traitement des troubles psychotiques : la schizo. Per os Effets anticholinergique Réaction allergique cutané Trouble de la fonction hépatique Hypotension, vertige, tachycardie, hypersensibilité Dominal® idem 22h 40 mg Aucun idem Per os Idem Leponex ® idem 8h 12h 100mg Aucun Idem Per os somnolence/sédation et sensations

émétique – Laxatif DOSES EQUI-ANALGESIQUES Douleurs Neurogènes • Antidépresseurs tricycliques Laroxyl*Anafranil* – – – – Effet antalgique en 15 j 10-20mg/J puis paliers de 10-25mg / 2-4 jours Max : 150-200 mg/J Effets indésirables : anticholinergiques, hypotension, hépatotoxicité, convulsions • Anticonvulsivants Tégrétol*( carbamazépine ) – Névralgie du trijumeau – 200 mg/J max : 1600 mg/J Choix de l’antalgique Douleurs organiques par désafférentation nerveuse • Fulgurante ou paroxystique

OMI). ¤ Amantadine Elle a un mécanisme d’action complexe qui stimule directement les récepteurs dopaminergiques striataux (DA) et augmentent la synthèse et la libération endogène de dopamine. Elle a des propriétés anticholinergiques. K) Les neuroleptiques ¤ Introduction Ils sont utilisés dans le cadre de troubles psychotiques aiguës ou chroniques et des scizophrénies. Ils utilisent le récepteur dopaminergiques (D1 à D5), surtout dans quatre régions : -Mésolimbique : sous

drogues est très variable selon la dose utilisée et l’individu. ¶ Hallucinations iatrogènes Certains médicaments peuvent également être à l’origine d’hallucinations (surtout visuelles), en particulier, les médicaments à forte activité anticholinergique, certains antihypertenseurs comme la clonidine, certains agents antiparkinsoniens agonistes dopaminergiques, certains analgésiques morphiniques (fentanyl), la digoxine, les bétabloquants, la cimétidine, certains antihistaminiques H2, certains

►Antihistaminique et neuroleptique est capable d’influencer plusieurs types de récepteurs: NA, D, H. ►Inhibition des effets de l’histamine ►Inhibition de la zone gâchette du centre du vomissement ►Modification des effets de la dopamine ►Effets anticholinergiques importants (Rc NA): effets périphériques (sécheresse buccale, constipation, dysurie) et centraux (confusion, sédation, désorientation, fatigue, 18 insomnie, nervosité) Réactions adverses non reliées à la dose áLes mécanismes sont très peu