Antigone Arguments Créon Antigone

Antigone reste seule avec le premier garde. Antigone le regarde. ANTIGONE, dit soudain. Alors, c'est toi ? LE GARDE Qui, moi ? ANTIGONE Mon dernier visage d'homme. LE GARDE Faut croire. ANTIGONE Que je te regarde… LE GARDE, s'éloigne, gêné. Ça va. ANTIGONE C'est toi qui m'as arrêtée, tout à l'heure ? LE GARDE Oui, c'est moi. ANTIGONE Tu m'as fait mal. Tu n'avais pas besoin de me faire mal. Est-ce que j'avais l'air de vouloir me sauver ? LE GARDE Allez. allez

problèmes entre Créon et Antigone, sa nièce, dans Antigone d’Anouilh. Cette pièce parle d’Antigone, fille d’Œdipe, qui se rebelle contre son oncle, le roi de Thèbes. Ce dernier avait décrété qu’un des frères d’Antigone, après avoir essayé de prendre le pouvoir par la force, serait condamné à pourrir à l’air libre et ne serait pas enseveli. Antigone décide alors d’agir contre les lois de son oncle et tente de l’ensevelir, mais des gardes la surprennent de l’emmènent devant Créon. Créon et Antigone entrent

Suffirait-il de nommer les figures en question ou bien d’effectuer également un repérage des exemples ? Voilà des interrogations qui peuvent traverser l’esprit de l’apprenant et que la consigne n’affiche pas explicitement. - Comment Antigone réagit-elle à la proposition de Créon ? C’est une consigne qui se prête à deux possibilités de réponse. Ainsi, l’élève peut qualifier de façon générale la réaction de favorable ou défavorable, comme il peut nuancer sa réponse en étant plus précis et en décrivant

La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses ridicules (vice social), Dom Juan (hypocrisie) 2) Le rôle de la tragédie Antigone -> destinée évoquée dès le début, évolution montrée au public 3) Le théâtre de l’absurde Ionesco – Rhinocéros -> dénoncer la condition humaine Fourberies de Scapin En l’absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d’Argante

Conflits, débats et affrontements… A – Marivaux, L’Île des esclaves, scènes 1 et 2, 1725. B – Jean Anouilh, Antigone, extrait, 1944. C – Jean-Paul Sartre, Les Mains sales, 6e tableau, scène 2, 1947. D – Bernard-Marie Koltès, Le Retour au désert, 1988. m Après avoir rapidement défini l’enjeu de l’affrontement dans chacune de ces scènes, vous direz laquelle vous paraît la plus intense. Vous justifierez votre choix. Document A La scène se passe sur une île ; Iphicrate, citoyen d’Athènes

condamnation injustement, cela aussi écroulerait le système judiciaire. Ensuite Socrate préfère être condamné à mort car cela ne nuirait qu’à son corps ,mais le fait qu’il soit condamné injustement signifie que c’est l’injustice qui l’a emporter sur les arguments visant à convaincre les juges. Dans cette optique, ce serait aussi nuire à son âme. Donc Socrate se soumet à l’injustice et non à la Justice. De plus il pense que s’il s’évadait il aurait à culpabiliser devant les lois qui lui ont permis sa survie

amants qu'abritait son rivage. texte 3. Jean Anouilh, Antigone En 1942, Jean Anouilh reprend, dans sa tragédie, l'Antigone du poète grec Sophocle (Ve siècle av. J.-C.). Créon, oncle d'Antigone et père de Hémon, est le roi de Thèbes. Sa conception du bonheur suppose la compromission que refuse sa nièce. Mais le choix de « la petite Antigone » conduit à la mort, et Créon sera le seul survivant de cette tragédie. CRÉON. Marie-toi, vite, Antigone, sois heureuse. La vie n'est pas ce que tu crois. C'est

Cratyle (386 a-386 e) où Platon explique à Hermogène (porte parole de Protagoras) que un « homme bon » et un « homme méchant », ce n’est pas identique, et que par conséquent le bien et le mal ne sont pas équivalents ni interchangeables. 3) Les arguments de Montesquieu Ils sont exposés dans De l’Esprit des lois, et aussi dans les Lettres persanes. Montesquieu estime que les lois positives sont précédées (non pas chronologiquement, mais métaphysiquement, ou encore ontologiquement) par des « rapports

manifeste la présence d’au moins deux personnages sur scène. Il prend différentes formes : -  la réplique : elle est de longueur variable et constitue la réponse d’un personnage à un autre. -  la tirade : c’est une longue réplique qui argumente sur un sujet (le personnage débat avec lui-même). -  la stichomythie : c’est un dialogue où les personnages se répondent vers par vers et qui donne un style vif à l’échange. b) Le monologue : Il manifeste la présence d’un personnage seul sur

conventions ? Lorsqu’elle comparaît devant Créon, son oncle devenu le nouveau maître de Thèbes, Antigone ne songe nullement à nier les faits qui lui sont reprochés. Elle reconnaît même être hors-la-loi au regard des règles établies dans la Cité. Mais elle nie, en revanche, être moralement coupable et revendique hautement la légitimité de son geste, se plaçant du même coup au-dessus de la loi des hommes. Créon, de son côté, en jugeant Antigone coupable et en la condamnant à mort, identifie