Antigone Préface

de son évolution, sur le plan de ses moteurs et de son mode d’expression, au théâtre, de l’Antiquité au XXème siècle, telles qu’elles peuvent apparaître dans les textes du corpus ? Corpus : Oeuvres intégrales : Sophocle, Antigone, (-Vème siècle) : L.A. / Anouilh, Antigone, (1944) : L.C. Extraits : Racine, Phèdre, (1677), I, 3, tirade de Phèdre à Oenone v 269 à 306 + liste des personnages ; Musset, Lorenzaccio, (1834), IV, 3, monologue de Lorenzo + liste des personnages ; Beckett, En attendant

raconter une histoire » = Angoisse de Ionesco Victor Hugo dénonce l'absurdité des règles classiques et plaide pour un théâtre total, notamment dans sa préface, Cromwell. Dans Antigone, de Sophocle, Ismène et sa sœur présentent un portrait radicalement opposé de leur oncle, Créon. Ismène voit en son oncle un être puissant ayant du pouvoir, en revanche, Antigone nie son pouvoir en le rendant inexistant dans ses répliques. Le spectateur a une position de juge et ne peut adhérer à aucun parti des deux sœurs

passionne cependant pas les spectateurs. De ce fait si la forme a une importance dans l’écriture théâtrale elle n’en est pas l’intention première. Dans les préfaces de Cromwell puis de Marie Tudor, Victor Hugo s’interroge à son tour sur ce qui doit commander a création dramaturgique pour obtenir l’assentiment du public. Ainsi dans la préface de la dernière pièce, Hugo estime qu’il y a « deux manières de passionner la foule au théâtre : par le grand et par le vrai. Le grand prend les masses le vrai

d’orgueil qui le guide- le héros tragique est alors confronté au destin, bien souvent synonyme de divinité ou, du moins, de transcendance. Mais encore, innocent, il est alors le jouet de cette transcendance, de cette mystérieuse fatalité. Ainsi, dans la préface de sa tragédie Phèdre, Racine, dramaturge français du XVIIe siècle, écrit qu'elle est «ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente». En effet, victime des forces des Dieux, plus précisément de Vénus, celle-ci tombe dans une passion inassouvie

Sujet 3: Montrez à partir des extraits étudiés comment les pièces d`Electre et d`Antigone utilisent la tension créée entre le monde “supérieur” de la tragédie et le monde “normal” de la réalité quotidienne. Avant de rentrer dans le vif du sujet, j`aimerais rappeler qu`Antigone et Electre sont toutes deux des femmes qui nous renvoient à la mythologie grecque. Anouilh et Giraudoux suivent apparemment un phénomène de mode car c`est une chose très courante, à leur époque, de voir des écrivains s`inspirer

montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même.” “J'en conclus que les Réalistes de talent devraient s'appeler plutôt des Illusionnistes.” (Maupassant, préface de Pierre et Jean, 1888) Citations naturalisme : “L'Homme n'est pas seul, il vit dans une société, dans un milieu social, et dès lors pour nous, romanciers, ce milieu sociale modifie sans cesse les phénomènes.” “Ainsi donc, nous nous appuyons sur

sont les rêves de l’auteur, animés par des comédiens qui les « jouent », dans un décor souvent stylisé où tout est signe, métaphore. La mise en scène d’ « Antigone », imaginée par Anouilh, est très dépouillée. Les deux seuls accessoires de la pièce sont un bol et une chaîne. Le premier est apporté par la nourrice et cet objet familier conduit Antigone à redevenir l’enfant qui se réfugiait dans les bras de sa « nounou ». Le second est la chaîne qui lie les poignets de la fille d’Œdipe, prise au piège

L'histoire d'un genre : le roman au fil des siècles * L’évolution du personnage de roman du XVIIème au XXème siècle * Textes critiques sur l’Etranger de Camus de Nathalie Sarraute dans un article de L’Ere du soupçon, 1956 et de Roland Barthes, Préface de l’Etranger de 1954. * Etude d’ensemble sur le temps de la narration et le temps de la fiction dans L’Etranger. | SEQUENCE N° 3 : Où se trouve le bonheur ? | Objet d’étude et perspectives : | - L’argumentation : convaincre, persuader

 Jean-Michel PALMIER ; critique de théâtre : Antigone de Brecht, à l’Odéon Pour adapter la pièce de Sophocle, Brecht a utilisé la traduction de Hölderlin. Représentée pour la première fois en février 1948 à Coire, alors que Brecht se trouvait en Suisse, publiée - en 1949 -  dans le célèbre Antigonemodell, cette oeuvre nous permet de préciser le rapport de Brecht au classicisme et à la tradition. Même si l'on admire toujours le choeur d'Antigone comme l'un des plus grands poèmes jamais écrits

SUJET : Dans la Préface de Ruy Blas, Victor Hugo distingue trois catégories de spectateurs : les uns demandent au théâtre « le plaisir des yeux », d’autres « le plaisir du cœur », d’autres enfin, « le plaisir de l’esprit ». En vous appuyant sur les nombreux extraits que vous trouverez dans votre livre Le français méthodique, sur les œuvres étudiées en classe ou sur votre expérience de spectateur, expliquer comment le théâtre peut satisfaire chacune de ces attentes. Le théâtre fait son apparition