Antithese Femme

« vertu » et « piété » (l,3) ces termes nous font comprendre que Mme de Chartres est une femme d'expérience qui possède de grandes qualités, ce qui donne beaucoup d'importance à ses paroles. Elle utilise un champs lexical dépréciatif « précipice » (l,15) « troubler »(l,21) « tomber » (l,22) « malheur » (l,23 et « mort » (l,28) pour rabaisser l'amour libre et présenter ses méfaits. On peut également rencontrer une antithèse avec les expressions « malheurs d'une galanterie » et « troubler le bonheur » qui

personnage principal qui est Brigitte. Cette dernière va avoir un déchirement moral. Vient s’ajouter l’arrivée de la maîtresse de Pierre. La souffrance de Brigitte va se faire beaucoup ressentir à travers divers procédés employés par l’auteur. La femme de Pierre est très souffrante, René de Obaldia le montre bien car elle se parle à elle même et dit : « Sei ruhig, mein kind, sei ruhig » (v.1). L’anaphore du terme sei ruhig accentue le fait que Brigitte doit se calmer et se relaxer car elle est très

maisons, qui règlent tout le détail des choses domestiques, et qui, par conséquent, décident de ce qui touche de plus près à tout le genre humain? Par là, elles ont la principale part aux bonnes ou aux mauvaises mœurs de presque tout le monde. Une femme judicieuse, appliquée, et pleine de religion, est l'âme de toute une grande maison; elle y met l'ordre pour les biens temporels et pour le salut. Les hommes mêmes, qui ont toute l'autorité en public, ne peuvent par leurs délibérations établir aucun

de l’acte III, Marceline, dont on vient d’apprendre qu’elle est la mère de Figaro, se plaint du destin de la femme dans sa société. Ces deux textes se rejoignent non seulement sur leur date de parution et sur leur genre, mais aussi sur leur thème : la condition de la Femme au XVIIIème siècle. Ce sont donc les personnages féminins qui, toutes, avancent des arguments en faveur de la Femme. Les deux textes montrent que le sexisme de la société a pour origine la culture et la coutume : dans le texte

du personnage éponyme. Nous allons voir comment la description du personnage féminin dans ce texte liminaire montre la condition de la femme à travers les intrigues de la cour du XVII ème siècle. (Source : Lagarde et Michard, proposé par Etienne.) Comment la description du personnage féminin dans ce texte liminaire montre-t-elle la condition de la femme à travers les intrigues de la cour du XVIIème siècle ? Nous étudierons le portrait de Melle de Chartes qui est esquissé dans cet extrait

renoue avec les peintures historiques. La femme aux bras levés rappelle la position du Christ sur la croix la lance transperçant le cheval rappelle aussi la lance transperçant le Christ. Nous pouvons faire le lien entre ce tableau de Picasso et le poème : « La victoire de Guernica », de Paul Eluard. Ils montrent tous deux la monstruosité de toutes les guerres. Le titre du poème peut surprendre : « Victoire », il est en fait utilisé ici comme antithèse afin de marquer les esprits. L’absence de

sentiments Sincérité de Cyrano « s’exaltant » « adore » Comparaison « comme », il parle de ses « souffrances muettes », de lui-même au travers du personnage de Christian qu’il incarne « triste et fidèle » Þ LYRISME ELEGIAQUE (plainte) Image de la femme inaccessible « reine » Roxane « taisez-vous » répété II - Deuxième étape, vers 26 à la fin : retour à la réalité 1) L’effet de rupture et de choc « beau » retournement de situation Didascalies : opposition « s’exaltant » et « dégrisé » Répliques

n’êtes pas mariée, sans doute ? », « empêcher ce mariage » : promesse aussi d’enlèvement romanesque « je vous arrache de ce misérable lieu » : promesse d’une vie meilleure par l’ascension sociale que propose DJ : antithèse « lieu misérable » // « meilleure fortune, état où vous méritez d’être » Flatter, charmer, promettre sont les étapes de sa stratégie de séduction que DJ a exposé à SG dans l’acte I sc2.Il part à la conquête de Charlotte et use de tous ses pouvoirs

interrogative « Qu’avez-vous ? », confirme l’affection qu’elle éprouve pour Lorenzo. B. Lorenzo le trouble-fête. ® Lorenzo interrompt sa tante et évoque Tarquin , le tyran romain, en commençant par « Il y avait une fois », ce qui forme une antithèse flagrante avec le nom de Tarquin : c’est « une histoire de sang », comme le dit Catherine. Ce choix de la part de Lorenzo montre qu’il refuse l’atmosphère paisible que s’efforçait d’instaurer Catherine. Þ On peut comprendre que Lorenzo souffre du

caractéristiques morales chez ces habitants. En effet, nous retrouvons tout d'abord « leurs accueil, leurs attitudes » qui nous montre que ces habitants ne sont pas indifférents à la présence étrangère de l'ethnologue, l' »Autre ».Nous trouvons ensuite une antithèse qui met en avant cette complexité chez l'habitant : « cet indigène à l'air bizarre et intelligent ». Malgré cette duplicité, les deux termes ne semblent pas incompatibles. Ces habitants possèdent également une caractéristique commune à celles de