Antithèse

observer la dualité des sentiments. Les antithèses insistent sur la dualité des sentiments comme la joie d'une part, la douleur d'autre part et les termes se répondent d'un côté : "grands ennuis", "je larmoie", "tourments", "douleur", "malheur" et de l'autre : "joie", "ris", "plaisir", "hors de peine", "désiré heur". L'expression de ce déchirement est d'autant plus forte que les termes employés sont intenses "grands ennuis", "tourments" et que les antithèses se succèdent à un rythme rapide dans un

pourra suivre beaucoup plus facilement les étapes de votre devoir, à condition, bien sûr, que vous respectiez votre plan ( !). b) Le développement Il peut être en trois parties (thèse, antithèse, synthèse), mais son maniement est alors nettement plus difficile que lorsqu’il n’en comporte que deux (thèse, antithèse). Aussi, ce sera à vous de déterminer la forme dans laquelle vous vous sentirez le plus à l’aise. Pour l’instant, nous nous bornerons à étudier un plan en deux parties : _ La thèse

pourra suivre beaucoup plus facilement les étapes de votre devoir, à condition, bien sûr, que vous respectiez votre plan ( !). b) Le développement Il peut être en trois parties (thèse, antithèse, synthèse), mais son maniement est alors nettement plus difficile que lorsqu’il n’en comporte que deux (thèse, antithèse). Aussi, ce sera à vous de déterminer la forme dans laquelle vous vous sentirez le plus à l’aise. Pour l’instant, nous nous bornerons à étudier un plan en deux parties : _ La thèse :

scène l’opposition entre l’inconstance de la vie, soumise au changement et l’éternité (même illusoire, artificielle) du langage, de la poésie. a) antithèses qui structurent le sonnet → un effet de parallélisme et comme un grand rythme binaire à l’image de cette antithèse, de cette conception paradoxale de l’existence. □ Antithèse fondatrice : Champ lexical du changement ≠ champ lexical de l’identité, du même (+ répétitions, énumérations). Le champ lexical du changement trahit une

SIMPLE ! 3) LE TEXTE ENTIER JOUE SUR UN SYSTEME D’OPPOSITIONS (ENTRE LES 2 POLES DE LA POLEMIQUE ? L’AUTEUR / LES FRANÇAIS) : COMMENT LES INDICES PERSONNELS PARTICIPENT-ILS A CE SYSTEME ? a) L’opposition au sein de la phrase (les antithèses) b) L’opposition entre les deux strophes c) L’opposition entre les énumérations d’adjectifs possessifs. REPONSES : 1)marques personnelles nombreuses. Pourquoi ? renvoie au caractère polémique du texte. Le style polémique a souvent

emploie un futur simple pour intensifier la nécessité de Marie d’aimer Ronsard. Les rimes des vers 2 et 3 «épanies  » et « cuillies, » sont en antithèse dans le sens ou à peine la fleur éclose, elle est enlevée du sol. Aux vers 5 et 6, il y a également une antithèse au niveau des rimes, avec opposition « fleuries » et « flétries ». Ces deux antithèses indiquent clairement que pour Ronsard, la beauté d’une femme est périssable. Et le fait que ces rimes soient l’une à la suite de l’autre (avec un

d’essence divine ou démoniaque.  Nombreuses phrases interrogatives qui accompagnent des antithèses : vers 1 : « ciel profond/abîme » - vers 9 : « gouffre noir/astres » - vers 21 : « du ciel ou de l’enfer » - vers 25 : « de Satan ou de Dieu ». Argument 2 : Il met en valeur un mélange de bénéfique et de maléfique.  La dichotomie Ciel-Enfer, Dieu-Satan, ange-démon structure le poème grâce à de nombreuses antithèses : vers 2 : « regard infernal et divin » - vers 3 : « le bienfait et le crime » - vers

« village ». Or il y a une antithèse entre ces deux mots. L’opposition est encore renforcée par la ressemblance entre les deux mots. « Voyage » et « Village » commencent tous les deux par la lettre V et se terminent par « age ». Ce n’est pas anodin. C’est une rime très riche. Il y a aussi dans le texte des « rimes internes », c’est-à-dire des mots qui riment à l’intérieur du vers. C’est le cas avec le mot « palatin » et « marin ». Figures de style : Les antithèses Les oppositions sont présentes

l’imparfait, avec des verbes comme « était », « devenait » qui persiste, ensuite on peut voir du passé simple servant à décrire une scène, une métaphore filée placée au centre de l’extrait, va compléter cela. Constitué d’une gradation de verbe et d’une antithèse, elle insinue l’idée que l’âme de Jean Valjean brillera même quand le mal sera présent. En revanche, Jean Valjean se condamne à avoir ce crime sur la conscience, il n’y a plus aucune chance de rattraper son erreur. Une référence au poète

par une première strophe qui est un septain, impair donc, dont le premier vers « Le pré est vénéneux mais joli en automne » est bâti sur une antithèse articulée par le connecteur logique d’opposition « mais », entre « le pré vénéneux », cette image péjorative et puis la beauté exprimée par l’adjectif « joli ». Il est possible aussi d’observer une antithèse entre les sonorités claires du début « le pré » et « vénéneux », avec cette assonance en « é » et de l’autre côté de part et d’autre du « mais »