Antithèse Boucherie Héroïque

la dénonciation de la guerre La satire de dieu et de la religion la nature Etude méthodique I) Peinture et dénonciation de la guerre Le carnage Ce poème peint l'horreur et la boucherie de la guerre. Il la dénonce sur un ton virulent. Cf : Candide Chap. 3 "boucherie héroïque" très forte antithèse. Juxtaposition de deux termes antithétique ® dévalorisation de la valeur de l'héroïsme ; Voltaire dénonce la complicité de l'Eglise et du Roi. Rimbaud la décrit ici dans le 2ème quatrain

accusateur de Voltaire : 1) Une remise en question de l’héroïsme: - contradictions : oxymore ; « boucherie héroïque »l.11, antiphrase « héros »1.20, « héros Abares »l.25, antithèse ; « une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer »l.3 → ironie. - périphrases : « après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros »l.19-20 = après avoir étés violées, « boucherie héroïque »l.11 = massacre derrière cet aspect laudatif, présence de l’horreur. - l'ironie caractéristique du premier

revenir a la réalité. Voltaire révèle l’ironie du texte en ajoutant le mot canon. Dans la l.3 « harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer » il y’a une antithèse qui nous démontre l’atrocité de la guerre et non l’harmonie, la beauté, et la brillance comme il le prêtant en début de chapitre. Dans la l.11 un oxymore est présent « boucherie héroïque » qui dénonce un rapport entre l’atrocité et l’héroïsme de la guerre. 2. La réalité de la guerre Le deuxième paragraphe laisse place a un registre plus

de la dénonciation de la guerre- La satire de dieu et de la religion- La nature Commentaire littéraireI) Peinture et dénonciation de la guerre1. Le carnage Ce poème peint l'horreur et la boucherie de la guerre. Il la dénonce sur un ton virulent. Cf. Candide Chapitre 3 "boucherie héroïque" très forte antithèse. Juxtaposition de deux termes antithétique -> dévalorisation de la valeur de l'héroïsme ; Voltaire dénonce la complicité de l'Eglise et du Roi. Rimbaud la décrit ici dans le 2ème quatrain

pour la guerre, à travers l’opposition entre la société des hommes et les sociétés animales. Il utilise alors des questions rhétoriques : « Saurait-on ce que vaut l’homme, sans la guerre ? » qui appuient sur le registre polémique, ainsi que des antithèses opposant l’humanité sans la guerre et qui serait alors au même niveau que l’animal :« un animal industriel et social »,  «il serait tombé dès le premier jour au niveau des bêtes », « une étable », et de l’autre côté, l’homme avec la guerre : « guerrier »

212 ) Céline, célèbre auteur du 20ème siècle, dénonce dans son roman absurde, Voyage au bout de la nuit, l'horreur de la Grande Guerre et l'abus de pouvoir de la hiérarchie. Dans cet extrait, Bardamu, narrateur-personnage, est confronté à une « boucherie humaine » après avoir été enrôlé en tant que soldat. Comment le narrateur dénonce-t-il, ici, cette guerre effroyable et incohérente ? À travers le point de vue d'un anti-héros, nous étudierons la dénonciation de l'absurdité de la guerre. Auteur

expression consacrée qui ferait de toutes ces morts un simple jeu. L’ « harmonie » forme une antithèse avec l’ « enfer ». L’hyperbole est donc parfaitement ironique. Cet éloge de la guerre se base sur l’emploi d’une parodie de registre épique. La guerre est qualifiée par un oxymore de « boucherie héroïque ». Le terme de héros, repris plus loin dans le texte, renvoie à l’épique, mais le mot « boucherie » révèle la cruelle réalité, comme dans le cas des instruments. On peut noter également le nombre

vite dénoncée par Voltaire qui « démonte » très vite cette apparente valorisation par le deuxième paragraphe qui dénonce la barbarie des massacres. L’omniprésence de l’ironie - Point de basculement = oxymore (l.9) « boucherie héroïque » -> boucherie = 2e paragraphe -> héroïque = 1er paragraphe - Mais qui sont les héros ? Des violeurs ! Antiphrase + litote : « besoins naturels de quelques héros » -> antiphrase : ce ne sont pas des héros mais des violeurs ! -> litote : besoins naturels =

sale grimace », « foutre le camp », « un brin » et « toutes ces viandes saignaient énormément ensemble » c’est un registre familier, péjoratif qui dévalorise la scène. Il insiste sur le caractère horrible de la scène : véritable carnage « la boucherie héroïque » de Candide. Céline fait une autre comparaison « comme quand on a finit une partie de canotage et… qu’on a les jambes un peu drôles » c’est une évocation d’un loisir pour caractériser la guerre. « Les champs des Flandres bavaient l’eau sale

« brillant », « bien ordonné » (ligne 1) accentué par « si » précédant ces adjectifs * Gradation de la musique : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons » (l.2) Canon provoque rupture (polysémie chants/armes) * Antithèse entre « harmonie » et « enfer » (l.2-3) accentué par « Te Deum » (l.9) ressemblance avec Opéra B) La comptabilité * Enumère chiffre et totaux sans émotion grâce à point de vue externe * « à peu près six mille hommes de chaque côtés »