Antithèse Sur La Peur

Ordres (impératif) soulignent affrontement à son comble : 2 volontés contraire à présent face à face • Mais elle n'a rien d'immatériel : sa consistance, la pierre contraste avec être de chair DJ • Matière a connotation de immuable, froideur / antithèse avec H éphémère • 'Grâce' rappelle 'miséricorde' que DJ a jusqu'au bout rejetée • Délivre pas ultime avertissement mais prononce jugement (péché => mort) et exécute châtiment • Geste qui signe fin est main donnée : emblématique du lien, contrat

justice, allusion au jugement dernier. L38 «  s’évanoui dans l’air » L44  « Ombre de la nuit » => Enfer, condamnation. Reste seul et impuissant. L.23 à 26 «  s’en allait pour toujours » = double sens (mort/rupture) => considération, amour L.27 à 29 antithèses : => humanité, manque d’affection vs voyage d’affaire => altruisme, générosité. L.30 à 33 abandon => mépris, méchanceté «  fidèle, 20ans, la peau sur les os »  Il est accusé d’avoir pensé qu’à lui au lieu de ses proches et amis. Il est égoïste

Citations Procédés Analyse “Je consentis à toutes ses volontés sans répliques” phrase courte, lapidaire déterminant de la totalité+pl antithèse : “je consentis” et “toutes ses volontés” expression: “sans répliques” DG s'apprête à quitter définitivement le séminaire, ce choix n’est pas sans conséquence, cette décision entraîne une fuite, un sentiment d’urgence, la peur d’être traqué. Énonce une évidence: DG est fou amoureux de M, il lui obéit sans aucune remise en question. souligne soumission de DG:

exprimer une idée par son contraire (l’ironie est une antiphrase). Ex : « Ah bah bravo, t’es fort toi ! » (pour reprocher une maladresse par exemple) Ironie : affirmer le contraire de ce que l’on veut faire entendre. (l’ironie est une antiphrase) Antithèse : rapprochement dans une même phrase de deux pensées/mots opposés pour faire ressortir le contraste. Ex : « Ton bras est invaincu mais non plus invincible. » (Le Cid) Oxymore : même principe que pour l’antithèse, cependant les deux pensées sont

vais donc étudié deux grandes parties, la première l’instabilité amoureuse et la deuxième la toute-puissance de l’Amour. I Ce sonnet montre l’instabilité permanente liée de l’état amoureux a) L’instabilité est exprimée par des oppositions, des antithèses (opposition de deux idées dans une même phrase. Elles sont nombreuses dans ce sonnet : v1 : vis / meurs + brule / noie v2 : chaud / froidure v3 : molle / dure v4 : ennuis / joie v5 : ris / larmoie v6 : plaisir / tourment v7 : s’en va / dure

celle-ci sa vie ne se trouvera pas changée. Enfin, la littérature a pour objectif de permettre aux auteurs de s’exprimer. Il s’agirait alors pour l’auteur de pouvoir confier et exprimer ses sentiments qu’il s’agisse de sentiments de joie, de peine ou de peur… Les auteurs ne chercheraient alors pas à changer leur vie mais bien juste à s’exprimer sur celle-ci. La littérature, par sa variété de genres, sera apte à servir comme moyen d ‘expression avec le genre de la poésie et plus particulièrement de la poésie

deux partie dont le point de liaison est le zoom sur l’œil de la petite fille. On peut aussi prendre un autre aspect comme point de liaison des deux parties mais nous y reviendrons dans la partie "micro". Ces deux parties présentes une antithèse entre elle, c’est à dire qu’elle s’oppose par leur contenu filmique et au niveau de leurs évocations respectives. D’un côté nous avons une petite fille (Daisy) innocente (habillée en blanc), pure, vulnérable qui compte les pétales d’une marguerite

paroles ? » l.5 -Tant que le châtiment ne vient pas, Don juan n’a pas peur : attitude de défi, bravade. -Don Juan est rationnel et ne croit pas à la religion. « Je veux » l. 10 x2 « je veux frapper » l.13 -insiste sur l’absence de peur. -Don Juan reste maitre de son destin et ne craint pas la menace. « Oui. Où faut-il aller ? » l.17 Répliques affirmatives « oui » l. 17 « La voilà » l.19 -Personnage qui n’a pas peur, courage et noblesse. -Il n’hésite pas et ne cherche pas à se défiler

que grandissait ce désir, la Peau en se contractant, lui chatouillait la main. Expression de la peur – le visage de Pauline → une asyndète (les éléments sont posés les uns à côté des autres dans la phrase) juxtaposition qui montre la fragmentation des éléments du visage. Inversion du désir « jadis » Cause de la peur de Pauline rejetée en fin de phrase : ce n'est pas le désir de Raphaël qui fait peur à Pauline, c'est la contraction de la peau. Ironie de « chatouillait » : verbe qui peut rappeler

Le siècle de la peur. 1- Dans le premier paragraphe, la thèse exprimée est que le XXe siècle est le siècle de la peur, l2 «  Notre XXe siècle est le siècle de la peur. » La thèse suite à une énumération d'exemples pour chaque siècle, l1 « Le XVIIe siècle a été le siècle des mathématiques, le XVIIIe celui des sciences physiques, et le XIXe celui de la biologie. Notre XXe siècle est le siècle de la peur. » Dans le premier paragraphe on constate qu'il est dit «  De plus si la peur en elle même ne