Anxiété Pré Opératoire

BERTRAND - IFCS I TENON 36 Histoire de l’incident à la demande du chirurgien, l’urgentiste prévient : le cadre du bloc opératoire, madame B. le médecin anesthésiste, le docteur C. responsable du secteur d’orthopédie il informe également la patiente et son fils qu’elle sera opérée rapidement 26 mai 2015 Marie-josé BERTRAND - IFCS I TENON 37 Histoire de l’incident au bloc opératoire, le cadre insiste auprès du docteur C. pour « qu’il ne fasse pas attendre le docteur A. qui part en vacances à 13 heures

quotidien • relations amicales • relations professionnelles  peuvent entraîner de nombreux troubles comportementaux : état dépressif, anxiété, repli sur soi, instabilité et agressivité, augmentation de la tendance suicidaire. L’infirmière de coordination devra: - soutenir, - préparer, - informer, - orienter, - suivre. durant tout le parcours de soin personnaliser et optimiser la prise

température pour éventuelle infection. Du pouls, de la TA pour éventuelle tachycardie et pour la surveillance en Post-op. Préparation cutanée pré-opératoire : C’est un ensemble des soins d’hygiènes corporels et d’antisepsie locale. Prévention des infections au niveau du site opératoire. • A ce jour : à J2 d’hospitalisation, à J0 de l’intervention : 1- Per-op : Monsieur H est entré au bloc à 7h30 : Aucune information 2- Soins Post-op,

tasse. Un an : marche avec aide, dit trois mots. Spitz: 3 stades dans le développement de la 1ère enfance : -pré- objectal ou sans objet (narcissisme Iaire, non différenciation) -précurseur de l'objet (à partir de 2 mois, sourire, passage d'un état passif à un état actif avec une possibilité d'action dirigée, vers 6 mois intégration des traces mnésiques qui permet la fusion des images des pré-objets, début des véritables relations objectale) ; - objet libidinal proprement dit (angoisse du 8ème mois

excessive des nocicepteurs périphériques. La cause est une ou plusieurs lésions des tissus périphériques qui ont pour résultat de provoquer un excès d'influx douloureux dans le système nerveux. • Ex : les brûlures, les traumatismes, les suites opératoires et un grand nombre de maladies. • C’est le plus souvent une douleur aiguë. • Le traitement fait appel aux antalgiques de palier I, II et III selon l’OMS Douleur neurogène (neuropathique) • Est due à des lésions du système nerveux

- Intervenir sur le vécu émotionnel et sur le processus de génération de l’émotion en amont : en intervenant sur le contexte - Modifier le ressenti émotionnel et corporel - Adopter un point de vue fonctionnaliste : soutient une dimension opératoire du comportement et de l’émotion C’est quoi réguler ? - La régulation des émotions se développe avec l’âge - Elle est influencée par des facteurs de personnalité, l’histoire et les évènements vécus (traumas), les répétitions, la cognition

nouvelles   Equilibre  entre  assimilation  et  adaptation     2 Intelligence  sensori-­‐ motrice   Stade  de  l’intelligence   symbolique  /  pré-­‐ opératoire   Stade  des  opérations   concrètes  /  intelligence   opératoire   Stade  des  opérations   formelles   Objet   Syllogisme   Intelligence  pratique  qui  se  construit  en  fonction  des  sens  et  de

préopératoire et à la suite de la prise en charge - être présent, offrir une écoute - encourager la famille à faire part de ses craintes face au traitement, au devenir… • COMPLICATIONS POTENTIELLES RISQUE D’INFECTION Lié à la cicatrice post-opératoire, aux orifices des redons, au retrait de la sonde urinaire effectué dans la matinée o Rôle prescrit : Réfection du pansement abdominal tous les 2 jours (4temps Bétadine et cicaplaie) et un ECBU de contrôle 48h après le retrait de la sonde urinaire

chronologique est également important, puisque, comme on l'a indiqué une crise est une dynamique. L'intervention doit donc reposer sur une lecture non statique du phénomène. Le déroulement suivant de quatre phases est souvent proposé : 1. La phase de pré-crise : celle des signes avant-coureurs. 2. La phase aiguë : celle de l'éruption. 3. La phase chronique : la période des enquêtes, du doute, de l'auto-analyse de bonne conduite, liée à une bonne préparation. Sans plan préalable, cette phase

sentir mieux et également pour pouvoir mieux respirer. D. Résumé d’hospitalisation Le premier jour de son hospitalisation Mme L a eu une consultation avec le psychologue ; à l’examen pas de symptôme dépressif retrouvé, la patiente ne présentant ni anxiété, ni tristesse. Elle a également passé une échographie cardiaque ainsi qu’un ECG qui a révélé une tachycardie sinusale. En H2, Mme L a réalisé un EFR qui a confirmé un syndrome obstructif des voies respiratoires (indication d’un broncho-dilatateur