Apollon

cherche à travers les poètes, les Dieux et à travers les légendes, les héros historiques médiévaux 1. À travers les poètes : à Virgile : v6 ; à Orphée : v12 et v13 2. À travers les Dieux de la mythologie gréco-latine : Amour v9: fils de Vénus ; Apollon v9 : Dieu des arts ; de la beauté et de la poésie. 3. À travers les personnages de légendes du Moyen-Âge : v2 :« Le prince d’Aquitaine » ; v9 : « Lusignan ». Terme qui fait référence à une époque médiévale : « le baiser de la reine » + le mot « fée

destin. Peut-être est-ce sa cécité même qui lui confère cette lucidité. En tant que tel, il ne peut parler clair, et souligne lui-même qu’il n’a nul compte à rendre aux puissants de ce monde, ni à Créon, ni à Œdipe, mais à Loxias (410), c’est à dire Apollon, l’oblique et l’ambigu. À proprement parler, ce qu’il dit est incompréhensible, inintelligible aussi bien au Chœur qu'à Œdipe : tu es celui que tu cherches. Il faut cependant souligner, parce que le théâtre est le lieu d’une double énonciation, que

Pierre de Ronsard (1524 - 1585), je n’ai plus que les os. Je n'ai plus que les os, un squelette je semble,  Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé,  Que le trait de la Mort sans pardon a frappé ;  Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble,  Ne me sauraient guérir, leur métier m'a trompé ;  Adieu, plaisant Soleil ! mon œil est étoupé,  Mon corps s'en va descendre où tout se désassemble. Quel ami, me voyant en ce point dépouillé,  Ne remporte

à l'arbitrage de phoronée, original aborigène de la région, et des dieux fleuves inachos, céphise et Fontanelle dont le intelligence est en faveur d'héra. furieux, il se venge en stériliser les voie fluviale de ses juges20. poséidon doit, avec apollon, se mettre au servitude de laomédon, roi de troie21 — pour certains, c'est la coin de sa effort avorter d'emprisonner zeus22,23 ; pour d'autres, il s'agit de mettre à l'épreuve l'arrogance de laomédon24. Il greffer pour la cité de gigantesques murailles

la mer et provoquaient gouffres et tourbillons mortels. Ulysse réussit à sauver son navire. 9) Il débarqua sur l’île du Soleil où broutaient les troupeaux sacrés d’Apollon. Affamés, les compagnons d’Ulysse tuèrent quelques animaux. Furieux, Apollon déchaîna une violente tempête qui les noya tous sauf Ulysse. 10) Ulysse arriva sur l’île de la nymphe Calypso qui le retint prisonnier pendant 7 ans. Puis les dieux ordonnèrent à Calypso de libérer Ulysse. Il construisit un radeau et partit

pénible : celui de voir croître ses disciples (le récit de ce procès se trouve dans l'Apologie de Socrate de Platon). Enfermé en prison, Socrate n'est pas exécuté immédiatement car le vaisseau qui va tous les ans porter à Dèlos des offrandes à Apollon vient de partir et aucune exécution capitale ne peut se faire avant son retour ; pendant les trente jours de son emprisonnement Socrate s'entretient avec ses disciples qui lui proposent en vain un plan d'évasion (cf. Criton de Platon). Le jour

hymne » solennelise l'instant ; le registre devient à travers ce terme presque épique. Alors, la vision cosmique de la femme s'accentue. Elle associe le jour et la nuit, le calme et la tempête : « nocturne, arc-en-ciel ». La femme fait penser au dieu Apollon qui s'accompagne d'une lyre et fait lever le soleil avec son char. L'arc-en-ciel devient la lyre : « cordes », de la femme, qui se transforme, par cette image, en déesse des arts : La musique : « hymne, métaphore des cordes» La peinture : « arc-en-ciel

Orphée dans les poèmes d'Apollinaire Guillaume Apollinaire, dont le nom évoque Apollon, père d'Orphée, s'est-il senti proche du poète mythique ? Nouant avec la tradition ancestrale, il écrit " le Bestiaire ou cortège d'Orphée " en 1911, illustré par des gravures sur bois de Raoul Dufy. Les notes d'Apollinaires et les gravures de Raoul Dufy sont éditées dans le recueil " Alcools " par la nrf, Poésie/Gallimard. Le cycle de poèmes présente de façon rythmique Orphée, en le reliant directement à la

fait un indice pour le lecteur, une sorte de clé de lecture, soulignant un des thèmes principaux de l’oeuvre, la quête orphique de l’épouse perdue. 3. Un chant orphique Dans la mythologie grecque, Orphée, fils de la muse Calliope et du dieu Apollon, est considéré comme le premier grand poète musicien : son père, créateur de la lyre la lui offrit en cadeau. D’après la légende la plus connue, Orphée, inconsolable de la mort de son épouse Eurydice, décida de braver la mort en descendant aux

servi d’instrument à la justice de Zeus. Oreste se sait souillé par ce meurtre, et de lui-même s’enfuit, poursuivi par les déesses de la vengeance . Dans la suite du texte, le Chœur est formé par les Erinyes. Oreste se rend à Delphes auprès de Apollon montrer le sang dont ses mains sont rougies, les Erinyes dormant auprès d’eux. À son départ, l’ombre de Clytemnestre excite les Erinyes à se réveiller pour sa vengeance. Les déesses laissent éclater leur rage et bouillonnent de fureur d’avoir laissé