Apollon

parlant du Mythe d'Orphée,le 1er poète. Orphée était un jeune homme avec une lyre qui rien qu'avec son chant pouvait charmé toutes le créatures et les être vivants.Apollon avait en effet accordé a Orphée une multitude de dons,dont celui de sa lyre. Apollon rappelons le,est le dieu de la beauté de la poésie et de la création harmonieuses .Orphée avait une femme splendide,Eurydice qui fût piqué par un serpent et mourra.Orphée voulu la retrouver,il alla au royaume d'hadés,les enfers,la porte étant gardé

l'Univers.Ces cyclopes créent aussi le trident de Poséidon, l'arc et les flèches d'Artémis et la kunée d'Hadès (casque qui rend son porteur invisible et que l'on retrouve dans plusieurs légendes).Dans une version du mythe, les Cyclopes sont tués par Apollon après que Zeus a tué son fils, Asclépios, avec l'arme forgée par les Cyclopes, alors que ce dernier avait ramené à la vie plusieurs morts. La seconde famille de cyclope est celle de Polyphème exemple, qui était le fils de Poséidon et de la nymphe

Nestor rappelle ce fait d’une importance capitale dans le chant III, après que Télémaque (lors d’un voyage) lui ait demandé des renseignements sur son père (voir les vers 130 et suivants, qui détaillent toute l’affaire). [2] Variantes plus connues : Apollon, Phébus. [...] Le discours d’Ulysse à Nausicaa qui suit est quant à lui remarquablement bien structuré et ordonné : - Du vers 149 au vers 169, Ulysse s’efforce de capter l’attention de son interlocutrice (et d’endormir sa méfiance) en la couvrant

Prométhée. Héphaïstos la créa dans de l'argile et de l'eau. Athéna lui donna la vie mais aussi lui apprit l'habileté manuelle (elle lui apprit entre autres l'art du tissage) et l'habilla. La beauté lui fit offerte par Aphrodite, le talent musical par Apollon, Hermès lui apprit l'art de la persuasion et le mensonge et la jalousie et la curiosité lui fit donner par Héra. Épiméthée( frère de Prométhée) , se vit offrir la main de Pandore et il accepta. Avant que Pandore parte, Zeus lui offrit une boite qu'elle

était le plus vénéré ). Les pompéiens étaient des gens superstitieux. Par exemple le crapaud faisait jaillir l'eau selon la religion. Les habitants en général mouraient très tôt. On visitait les tombes de forme élégante. On vénérait surtout le dieu Apollon et Venus qui sont les protecteurs de la ville. La religion dans l'Empire romain a accueilli des autres divinités telle que Isis. A Pompéi cette déesse était aussi beaucoup vénéré car de nombreux égyptiens vivaient dans la baie de Naples.

destin. Peut-être est-ce sa cécité même qui lui confère cette lucidité. En tant que tel, il ne peut parler clair, et souligne lui-même qu’il n’a nul compte à rendre aux puissants de ce monde, ni à Créon, ni à Œdipe, mais à Loxias (410), c’est à dire Apollon, l’oblique et l’ambigu. À proprement parler, ce qu’il dit est incompréhensible, inintelligible aussi bien au Chœur qu'à Œdipe : tu es celui que tu cherches. Il faut cependant souligner, parce que le théâtre est le lieu d’une double énonciation, que

des troubles qui lui font oublier sa voie droite. De la même cause, viennent les redites, un peu plus excusables mais qui dénotent une nonchalance de style et d’examen._ {draw:frame} _ (orthographe non modernisée)_ Le jour que je _fu né, Apollon qui preside Aux Muses, me servit en ce monde de guide, M’anima d’un esprit subtil et vigoureux, Et me fit de science et d’honneur amoureux. En lieu des grands tresors et des richesses vaines, Qui aveuglent les yeux des personnes humaines

mariage qui était en fait sa mère. Mais le roi de Thèbes ignore encore tout de l’homme qu’il a tué et de la femme qu’il a épousée, qui sont respectivement son père et sa mère. Zeus, déguisé en aveugle, Athéna, qui se fait passer pour sa femme, et Apollon, qui donne des instructions fausses aux oracles depuis les cieux, ont décidé de tout faire pour préserver le secret. Œdipe, lui, cherchait toujours en vain l’assassin de Laïos. Mais où, disait-il, « Mais où sont-ils ? Comment retrouver à cette heure

soi », le rapprochement entre tous les hommes, et d'autre part, il conduit à une réconciliation avec la nature : « spontanément la terre dispense les dons ». Avec Dionysos règne « l'harmonie universelle ». Il faut cependant souligner que si le dieu Apollon est l'expression de la « limitation pleine de mesure », Dionysos, lui, n'est pas l'expression du désordre des pulsions ou de la démesure des instincts et des désirs : « le serviteur de Dionysos doit être en état d'ivresse mais en même temps posté

signifie «manteau pourpre» il a la tête et les pieds nus. Il porte aussi une cuirasse sculptant ses muscles sur laquelle se trouve gravée une véritable scène historique où apparaissent de nombreux Dieux, rois et Déesses parmi lesquels nous retrouvons Apollon, le roi de Parthes Phraatès IV, Artémis et la louve Romaine. Au centre se trouve un vieillard barbu qui soutient la voute céleste, au niveau des pectoraux se trouve le char soleil et des sphinx son visiblent sur les pattes d’épaules. Il aurait