Apollon

Georgiques) et Ovide (les Métamorphoses), ont proposé deux interprétations différentes du mythe. Qui est Orphée? Orphée est le fils d’Oegre, roi de Thrace, et de Calliope, muse de l’éloquence. Ayant un don réel pour la musique et la poésie, Apollon lui offrit une lyre à sept cordes. Les muses lui apprirent à en jouer et pour les remercier, Orphée rajouta deux cordes, en hommage aux neuf muses. Grâce à sa musique, il charmait les Hommes, les végétaux, les arbres, les rochers et même les êtres

L’Iliade commence ainsi, par une invocation de l’aède pour demander l’inspiration divine. Le récit débute alors que les Achéens assiègent Troie depuis neuf ans. Leur chef, Agamemnon, tient prisonnière la fille d'un prêtre troyen d'Apollon. Le dieu Apollon, protecteur des Troyens, se venge en frappant de la peste l'armée achéenne. Achille demande à Agamemnon de rendre la fille du prêtre. Le roi accepte, à condition de lui prendre sa chère captive Briséis. Achille se met alors violemment en colère ;

porteurs appartiennent à l’humanité commune, elle émane cependant de la divinité dont les poètes ne sont que les porte-parole. En cela, les poètes se rapprochent des devins. De fait, la divinité à la source de la parole poétique est, soit la muse, soit Apollon. Or ce dernier est à la fois le dieu de la divination et de la poésie. - Il faut considérer que l’ensemble du poème que nous lisons relève de cette forme de parole. L’on sait en effet que L’Odyssée, comme L’Iliade, s’ouvre par une invocation

" Je n'ai plus que les os...", Derniers vers (1586) Je n’ai plus que les os, un squelette je semble, Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé; Adieu, plaisant soleil ! Mon oeil est étoupé, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami, me voyant en ce point dépouillé, Ne remporte

par là, c'est ce que la chose elle-même fera voir. Je veux néanmoins te faire part de ce qu'il me dira. HIPPIAS. Voyons. SOCRATE. « Que tu es plaisant, Socrate! me dira-t-il. Une belle cavale ( 1 n'est-elle pas quelque chose de beau, puisque Apollon lui-même l'a vantée dans un de ses oracles? » Que répondronsnous, Hippias? N'accorderons-nous pas qu'une cavale est quelque chose de beau, je veux dire une cavale qui soit belle? Car, comment oser soutenir que ce qui est beau n'est pas beau? HIPPIAS

strophe est plutôt nostalgique. C'est dans la troisième strophe que Nerval effectue une mise en question de son identité : « suis-je Amour ou Phébus ?...Lusignan ou Biron ? » ; par les noms Amour et Phébus, le poète fait allusion à Aphrodite et à Apollon : la déesse de la beauté et de l'amour et le dieu du soleil, de la musique, de la divination et de la poésie. Tandis que les noms « Lusignan » et « Biron » sont autres que des antécédents de Nerval. De plus la présence de points de suspension reflète

pour lui « une source pure à laquelle on peut boire sans crainte de s’empoisonner » (Œuvres en prose complètes, Gallimard, 1977, p. 49). Mais l’artiste ne doit pas l’imiter, il doit la faire apparaître selon son propre point de vue, de cette façon, Apollon, Ades et Zeus se battirent, mais ce fut Athéna qui gagna parle d’un nouveau lyrisme. L’art doit alors s’affranchir de la réflexion pour pouvoir être poétique. « Je suis partisan acharné d’exclure l’intervention de l’intelligence, c’est-à-dire de la

symbolise la puissance militaire → rappelle son rôle d'imperator 2. La toge → symbolise la puissance politique → rappelle sa fonction de « princeps senatus » La cuirasse, en détail 2 sphinx (petite référence à Cléopâtre?!) Le dieu du Soleil (Apollon) sur son char qui soulève le voile de la nuit. Métaphore d'Auguste avec qui arrive une nouvelle ère. un Parthe en costume oriental remet une enseigne de légions romaines à un ambassadeur romain (peut-être Tibère,le successeur d'Auguste). Il s'agit

Héphaïstos, le dieu du feu, des forges et des volcans il créa Pandore à partir d'argile et de l'eau. Une fois fabriquée.; Athéna lui donna la vie et l'habilla ; Aphrodite (déesse de la beauté) lui donna la beauté et la grâce pour attirer les hommes; Apollon (dieux de la musique et de la poésie) lui donna le talent musical, Hermès(messager des dieux) lui apprit l’art du mensonge, de la flatterie de la séduction et de la persuasion ; enfin Héra (femme et sœur de Zeus, ainsi que la déesse du mariage) lui

Cassandre & Pâris Cassandre : Fille de Priam et d'Hécube, soeur jumelle d'Hélénos. Elle fut aimée d'Apollon, qui lui accorda le don de prophétie.Mais une fois instruite, elle n'accorda Apollon qu'un simple baiser en se moquant de sa naïveté. Alors le dieu, qui ne pouvait reprendre son don de prédire et malgré l'exactitude de ses prédictions, personne ne la croyait jamais et la fit passer pour folle. Ses pronostics, ses avertissements ne firent que la rendre odieuse. Ayant prédit des revers à