Apologie

Socrate a réellement existé, bien sûr; en revanche, nombre de dialogues le mettent en scène de manière fictive, tenant des propos qui sont ceux de Platon. En bref, il y a le Socrate historique (il constitue la base de certains dialogues: apologie de Socrate, Le Banquet, Phédon par exemple) et le Socrate personnage (porte-voix de Platon: cf. Timée, République, etc.). Je ne sais pas si ça peut t'aider. Il y a 6 ans Signaler un abus . RoussBarbie RoussBar... bien sur

Apologie de Socrate Dans l’Apologie de Socrate (Πλάτωνος Ἀπολογία Σωκράτους, sous-titrée Genre éthiqueéthique ) Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes. Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, impiété, et introduction de nouvelles

Fiche de lecture Le mythe de l’identité apologie de la dissociation Introduction Le Mythe de l’identité est un ouvrage qui s’oriente autour de trois axes dans le but de développer la notion de dissociation : * L’institutionnel * L’anthropologie * La psychologie. Ce livre appartient donc au champ d’intervention des sciences humaines. Trois auteurs ont participé à la publication de cet ouvrage. Il y a tout d’abord Patrick Boumard qui est un professeur d’anthropologie de l’éducation

------------------------------------------------- Haut du formulaire vendredi, à 23:43 ·J’aimeJe n’aime plus · · Voir les liens d’amitié * * Bénédicte Dijoux, Aladin Ben Akez et 2 autres personnes aiment ça. * * Marion Vissouze Mais chut putain, yen a marre qu'on se foutte de moi maintenant,c'est TROP là. vendredi, à 23:46 · J’aimeJe n’aime plus · 1 personneChargement... * Joy's Whatelse Moi c est joyce mais tu peux m appeler joystick pour

En l’an 399 avant Jésus-Christ en Grèce antique, l’un des plus grands penseurs de l’époque comparut devant un tribunal à Athènes. Il fut injustement accusé de ne pas croire en les divinités reconnut par la cité et de corrompre la jeunesse. Le résultat du procès fut la condamnation de celui-ci à mort. Le penseur en question se nommait Socrate. Il ne fut pas exécuté sur le champ, car une fête religieuse commençait et il était interdit de mettre une personne à mort durant cette période. Il fut alors

Charles de Gaulle(1890-1970) Le sujet invite a analyser le poids de l'histoire personnelle sur l'histoire collective Analyser le rôle providentiel dans des circonstances présidentielles pour de Gaulle, Roosevelt Pour Mao, Hitler, analyser la part de l'homme dans les massacres pour Gandhi, Arafat on peut parler L'action a-t-elle été un frein ou un moteur pour la cause? Pour de Gaulle on est dans la problématique de l'homme providentiel. On doit faire la part du mythe, qu'il a construit

AP – REECRITURE L'exercice de réécriture peut porter sur différents éléments : le changement de temps, le changement de personne et le changement de nombre. Attention, parfois ces changements sont mélangés. L'évaluation porte sur votre capacité à copier correctement ainsi que sur l'exactitude des modifications entraînées par le ou les changements demandés. Depuis 2017, la réécriture est sur 10 points (- 1 pour un changement erroné, - 0,5 pour une erreur de copie) 1 - Réécrivez le texte suivant au

intellectuelle de l'être humain, le monde intelligible. Platon à écrit plusieurs oeuvres qui sont regroupées en trois périodes : les dialogues de jeunesse, les dialogues de maturité et les dialogues de vieillesse. Pour en cité deux de ses oeuvres j'irais avec Apologie de Socrate et La République. J'aime beaucoup les théories de Platon. En particulier celle du dualisme, qui explique un être ou un phénomène par la coexistence de deux phénomènes opposés, soit les sens et les idées ou encore le corps et l'esprit

Qu’est ce qu’un Homme libre ? Références : Platon : « Apologie de Socrate » Descartes : 1ère partie du « Discours de la méthode » Montaigne : « Les Essais »  § Solitude 1) La liberté en tant qu’indépendance Il est peut être plus facile de définir tout d’abord la liberté de façon négative. Autrement dit, je suis ou serais libre dans la mesure où je suis en retrait, à distance de mon éducation, de mes connaissances, de mes origines sociales, de ma religion. Je suis aussi libre par conséquent si je

vérité, et que je ne me suis pas trompé sur la source de ces calomnies : et vous vous en convaincrez aisément, si vous voulez vous donner la peine d’approfondir cette affaire, ou maintenant ou plus tard. Voilà contre mes premiers accusateurs une apologie suffisante ; venons présentement aux derniers, et tâchons de répondre à Mélitus, cet homme de bien, si attaché à sa patrie, à ce qu’il assure. Reprenons cette dernière accusation comme nous avons fait la première ; voici à-peu-près comme elle est