Apostrophe

Comment M. de Valmont défie Mme de Merteuil en refusant les termes de son pacte ? I Une réponse négative 1. Le vicomte éveille l'attention de Mme de Merteuil afin qu'elle accepte plus volontiers son refus. -apostrophe à Mme de Merteuil: « ma très belle marquise », « ma très belle amie », « ma belle amie ». -impératifs comme si la marquise était en face de lui: « ne vous fâchez pas et écoutez moi » -emploi de la 2ème personne du singulier dans des formules qui attirent l'attention de Mme de Merteuil

amaigris) Strophe 3: V9 La nouvelle raison invoquée insiste sur la notion de piège : « prises dans leur œuvre ». V10 ici, le tragique s’invite dans ce vers avec un champ lexical tragique, une apostrophe tragique et une ponctuation expressive avec les points d’exclamation: « Ô sort! fatals noeuds! ». (apostrophe “Ô sort!” + fatale = la malédiction + noeuds =emprisonnement, on n’y échappe pas => destin mortel des hommes) V11-12 Comparaison dans les deux vers suivants avec « une couleuvre » pour l’ortie

à s’habiller, la domestique fait à la place. Vous n’êtes pas là ? (Elle se retourne.) : Phrase interrogative : complètement dans son rôle + geste qui semble s’assurer de la réponse→ théâtre : la parole et le geste. Claire ! Claire !: double apostrophe : appel. Le lecteur se rend compte que le prénom ne correspond pas aux personnages, il comprend donc que Solange joue le rôle de sa sœur et que tout ce qu’elle lui a dit auparavant la concernait, elle : comme l’histoire avec de le laitier : nouvelle

François Rabelais était un humaniste. Il a vécu un temps en abbaye. Lecture de l'extrait Annonce des axes Etude Effet comique u Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => impression de moquerie, public choisi tourné en ridiculeu figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques.u Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. Mélange

François Rabelais était un humaniste. Il a vécu un temps en abbaye. Lecture de l'extrait Annonce des axes Etude Effet comique υ Apostrophe du début : identifie les lecteurs à des "buveurs" défigurés => élite sous le signe du vin, de la laideur => impression de moquerie, public choisi tourné en ridicule υ figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. υ Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. Mélange de

l’apparence des animaux qui pourtant font preuve de bonté, ≠ aux enfants, « blonds, charmants » mais cruels. II. La portée didactique de l’apologue A. L’implication du lecteur Les apostrophes directe, dès le premier vers, implication du lecteur par l’utilisation de la 1ère personne « nous ». Ce sont des apostrophes ou des q rhétoriques : appel à la connivence du lecteur. Le « je » s’adresse forcément à un ‘vs’. Interjections (v132) : incompréhension du narrateur face à un tel spectacle, éloquence

service de l’argumentation. Tout d’abord nous observons qu’Hugo utilise une forte quantité de point d’exclamation à la fin de ses phrases, on peut citer la première phrase, se qui nous fait ressentir une envie de se battre. Il utilise aussi une apostrophe «  Hé mon dieux ! » (Ligne 5), cette phrase courte nous montre que Victor Hugo veut défendre une cause grave car il implore dieux. Nous observons que dans ce texte il ya le champ lexical de la souffrance et de la misère « hideux, galetas, méphitique

l’expression de la douleur. Les principaux procédés des registres lyrique et élégiaque : –les pronoms personnels et déterminants possessifs des 1ère et 2ème personnes –des phrases interrogatives et exclamatives avec des interdictions –des apostrophes –le lexique de l’émotion (joie/souffrance) ou de l’exaltation du sentiment amoureux Le registre pathétique : Le registre pathétique, du grec « pathos », signifiant « douleur », met en scène une expression du malheur et de la souffrance en

du grec Epicure, qui consiste à adapter son existence aux règles de la nature, à accepter la mort comme faisant partie de la vie et lui donnant naissance). ANALYSE Le poème débute par une apostrophe adressée à une dédicataire, Cassandre Salviati dont Ronsard était tombé amoureux. Mais cette apostrophe "Mignonne" ne nomme pas la femme aimée. Elle évoque seulement sa beauté, par l'adjectif substantivé qui joue le rôle d'un nom commun, seule caractérisation en fait de l'objet aimé. On note l'importance

effet de moqueries envers eux. Il en est de même pour le vers suivant, face au patriotisme ; « Ces vers cadavéreux de la France asservie » avec ici une allitération des ‘v’. Il utilise donc le registre polémique pour défendre ses idées, avec des apostrophes (v.18/19), des métaphores, et des accumulations. 3. André Chénier fait appel à la compassion du peuple. Tout d’abord il utilise un enjambement « Sauvez-moi. Conservez un bras Qui lance votre foudre, un amant qui vous venge. » (v.12/13), et de