Apostrophes

alternative ou en addition, confortent cette instabilité, cette mouvance... L’hymne lui-même peut apostropher celui que l’on chante, dans un rapport par ex. de fidèle à son Dieu. Ainsi: «Ô Beauté». Le tutoiement, le présent soulignent la proximité du rapport. Il s’agit d’une déesse: jupons (v. 10); le rapprochement du v. 13 est déjà plus déconcertant: «morts, Beauté». Mais que penser de l’apposition-apostrophe de la fin du v. 17: chandelle, puis le compliment lié à l’insulte: «Beauté, monstre énorme, effrayant

Ô vertu sans exemple » v. 1731 « Perdre pour vous cent fois ce que je tiens de vous » v. 1752 , phrases interrogatives « En est-ce assez ô Ciel… » v.1693, « Au lieu de châtiments trouvent des récompenses » v.1730. On trouve aussi de nombreuses apostrophes « ô ». On peut noter aussi l’importance des enjeux: la vie et la mort « Comme à mon ennemi je t’ai donné la vie / Et malgré la fureur de ton lâche destin / Je te la donne encor comme à mon assassin » v.1703-1705, et l’Etat « le Consulat » v.1710

»), qui se poursuit par des indices temporels (l.4 : « Quand j’ai commencé », l.17 «Lorsque je parcourais »). Ces indices rappellent l’évolution du personnage tout au long de ces années. Cette tirade débute par une apostrophe (« Suis-je un Satan ? »), suivie par une autre apostrophe (« Lumière du ciel ! ». Ces deux formules mettent l’accent sur l’ambivalence du personnage, à travers un lexique qui mêle l’ombre et la lumière. Tout au long de la pièce, c’est un champ lexical qui est largement développé

le Comte) et l'apparition de Marceline (obstacle 2 : le Comte) => Scène de transition.              - Passage rapide entre deux types de texte : expressif => injonctif : VIVACITÉ              - Monologue vif (impression de dialogue interne) : apostrophe, ellipse des verbes conjugués, infinitifs nombreux, ton désinvolte.         B. Figaro amoureux.              - Énumération d'adj. mélioratifs : riante, verdissante... + gradation ("de gaieté, d'esprit, d'amour et de délices")                 

semé de cailloux » (v.4) = rudesse, sonorités plus rudes « r », « k ». • Vers 3&9 : opposition des 2 hémistiches, renforce le contraste = cadre bucolique puis rupture brutale. 2. L’amour et la mort • Multiplication des apostrophes et des périphrases romantiques et élogieuses, célébrant la beauté de la femme : « reine des grâces » (v.41), « soleil de ma nature » (v.39), « mon ange » (v.40), « étoile de mes yeux » (v.39) évocation précieuse de la femme, clichés poétiques =

lexique noble et solennel qui est souvent en rapport avec le Destin. * Les interrogations, les exclamations expriment la détresse de l'individu pris au piège. Ex: Ciel! Que vais-je lui dire ? Et par où commencer ? J.Racine, Phédre * Les apostrophes adressées aux puissances divines donnent le ton de l'imploration. * La phrase ou le vers, amples et solennels, contribuent à inspirer au public horreur, effroi et compassion devant un destin exemplaire. d) Un exemple * L’œuvre de Racine

nom (facétie de Montesquieu). - De Paris, le 10 de la lune de Saphar 1715. => Calendrier oriental. • Situation d’énonciation. Usbek écrit à Rica => utilisation de la 1e et de la 2e personne du singulier. Usbek : « ma ; me ; je vis… » ; Rica > apostrophe « Rica » + marques de 1e personne du pluriel « nous ». • But de la lettre => raconter un petit épisode à Rica. Temps des verbes : passé simple + « je » qui va s’opposer à « il » (« homme de la connaissance »). => Lettre vivante, fondée sur des

à la fois * la position du sujet (il parle), de l’objet (il parle de * lui-même) et, souvent, du destinataire (il s’adresse à * lui-même). * le lexique des sentiments * les modalités interrogatives et exclamatives * les apostrophes Q 6 : * Ce registre est très fréquent en poésie (→ poésie romantique), mais on le retrouve aussi au théâtre, le roman ou dans l’autobiographie * Il est présent dans les textes descriptifs et narratifs Q7 : On remarque une présence

Friedrich. Le lac tout d'abord occupe les strophes 2, 3, 4, 5 ; il est question au vers 6 des « flots chéris », au vers 11 de « tes ondes », au vers 16 de « tes flots harmonieux » . Ensuite la nature tout entière envahit la fin du poème. Ainsi le poète apostrophe celle-ci à travers une énumération : « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! » qui appelle une autre courant sur les quatre dernières strophes : « tes riants coteaux », « dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages », « dans le

l’auteur. L’auteur fait part de son indignation dans ce discours à travers divers procédés d’écriture tout au long du texte. ▪ Tout d’abord dès le début du texte l’auteur montre son émotion par une apostrophe. Il s’adresse directement et sans ménagement aux gouvernés. Dans cette apostrophe, il incorpore une exclamation qui renforce son émotion. « Pauvres gens […] de vos ancêtres ! » (l.1à5) ▪ De plus, l’auteur utilise de nombreux paradoxes et ce texte est avant tout construit sur un paradoxe