Apôtre

grand artiste; Léonard Devinci. Cette œuvre est la cène, c'est une œuvre de tempera sur gesso et elle a été crée entre 1494 et 1498 ce qui veut dire qu'elle est du courant de la renaissance. Dans l'œuvre, il est sujet de Jésus et de ses apôtres lors de son dernier repas. Dans notre analyse, nous traiterons de la composition: le volume et les lignes de forces, et de la couleure: la lumiere et la saturation, puis une brève analyse iconologique. À priori, les lignes de forces

texte dans toute son ampleur, nous allons voir dans un premier temps l’hérésie des pauvres apôtres, puis les croyances qui découlent de ce mouvement et enfin le pouvoir de l’inquisition. I- Les pauvres apôtres II- Croyances hérétiques III- L’ Inquisition, un nouveau pouvoir I- Les pauvres apôtres 1) Sigarelli : le début d’une hérésie Le groupe des Apostoliques, pauvres du Christ ou encore Frères Apôtres, prend naissance à Parme en 1260 autour de Gherardo Segarelli (que l’on retrouve ligne

comme la plupart des tableaux peint par Caravage, et durant cette époque. Il mesure 107cm x 146cm et est exposé au Château de Sanssouci à Postdam en Allemagne. C’est une scène biblique, avec St-Thomas, comme personnage principal. C’est le seul des apôtres de Jésus qui n’était pas présent lors de sa résurrection. Il met son doigt dans la plaie de Jésus, pour vérifier que ce n’est pas un imposteur. Quand on regarde ce tableau, on sent un apaisement venant de Jésus, ainsi que de la sureté face à ce

rapport aux apôtres, mais aussi par rapport au mur du fond de la fresque, comme un second tableau dans le premier. Les apôtres eux-mêmes sont répartis symétriquement par rapport au Christ, en quatre groupes de trois, mais les groupes sont dissymétriques entre eux, donnant ainsi de l'animation à la scène. Léonard exploite jusqu'à ses limites cette perspective très géométrique et régulière qu'il abandonne ensuite comme principe de construction de ses tableaux : la table et les apôtres semblent être

souvenir. Le sang de cet agneau rappelle l'Alliance de Dieu avec son peuple (les Hébreux). Le lavement des pieds. " " Que veut montrer Jésus en lavant les pieds de ses apôtres ? ...................................................................................................................................................................................................................................................

murale à la détrempe (tempera), de 460 cm sur 880 cm, réalisée de 1494 à 1498 pour le réfectoire du couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie à Milan. Léonard a représenté la Cène : le dernier repas de Jésus de Nazareth entouré de ses douze apôtres, le jeudi saint, veille de sa crucifixion. Il suit là une vieille tradition monastique. Depuis le Moyen Âge les murs des réfectoires sont illustrés de la Cène. « Ainsi, durant leur repas, les moines avaient-ils sous les yeux, (…) l’image de celui

derniere sa derniere oeuvre la Transfiguration. Analyse du tableau Sur cette oeuvre on peut remarquer deux plans . D'une part le premier est terrestre , compsé d'etre humain en particulier des douze apotres sur la gauche et a droite des personnes qui n'ont rien a voir avec les apotres ou est mis en evidence un enfant malade atteint d'epilespsie . Sur un deuxieme plan , un plan céleste représentant jésus transfiguré ainsi que Moise et Elie ( Jean- Baptiste ) qui sont légèrement en retrait

centrale à la fois par rapport aux apôtres, mais aussi par rapport au mur du fond de la fresque. L'organisation des apôtres, est elle aussi parfaitement centré : 6 de chaque cotés. Il y a en fait quatre groupes de trois, mais les groupes sont dissymétriques entre eux, donnant ainsi de l'animation à la scène et paraître plus naturelle une composition pourtant très géométrique et réfléchie. Cette répartition est soulignée encore par le décor, puisque les apôtres se trouvent placés devant une série

plan le Christ et ses douze apôtres, parmi eux, Saint Pierre. Le Christ se tient au centre de l’œuvre, il est le personnage « central », tous les personnages appartenant à cette scène sont auréolés sauf un qui se tient tout à droite de l’œuvre, il est vêtu d’une robe rouge et d’une canne. On sait grâce aux Evangiles qu’il représente le collecteur des impôts. On s’aperçoit d’ailleurs que ce personnage apparait plusieurs fois, la première fois face à Jésus et ses apôtres et la deuxième fois avec Saint

celui-ci occupe une position centrale aussi bien par rapport aux apôtres, qu’au mur du fond de la fresque, les apôtres sont répartis de façon symétrique autour de Jésus en quatre groupes de trois cependant la dissymétrie des groupe en eux donne le mouvement à la scène. Il exploitera les limites du tableau : la table et les apôtres sont peints en avant du plan du début de la perspective : le cadre et les bordures sont dépassés par un des apôtres, à droite, par conséquent par l’ensemble de la table et des