Argument ontologique

monde. La nature change toujours, ce qui a posé un problème sur le plan de la connaissance. (épistémologique : théorie de la connaissance) Comment obtenir une connaissance absolue de quelque chose qui change sans cesse ? On va amener une hypothèse ontologique pour tenter d’y répondre. Dans chaque cause, on suppose qu’il existe un élément qui ne changera jamais même si tout change. Cet élément qui ne change pas, est donc appeler l’essence de l’être. Le questionnement sur la connaissance est le rapport

Rotary, et a une carte Visa Premier. Donc on a basé la vision du monde là dessus. Puis vint le XVIe siècle. Et là, on commence à se poser quelques questions sur la nature, et l’existence de D.ieu (la révolution copernicienne, la fin de l’argument ontologique et tout ça). Très bien. Mais cela ne nous dit pas sur quoi on va fonder notre vision du monde. L’idée qui va émerger, avec des gens comme Descartes et les suivants, est de fonder la vision du monde non plus sur un « Grand Horloger », mais sur l’Homme

Moyen-Age relègue dans des sphères d’abstractions toujours plus confuses les universaux, les substances secondes. Avec Guillaume d’Occam les universaux n’ont plus que le statut de signes, de nomen. Seules les substances premières conservent un statut ontologique et la vraie connaissance ne doit plus se consacrer dès lors exclusivement qu’aux être individuels. Ce qui appartenait au monde de l’être pour les thomistes ( les genres, les formes communes, les relations) est ainsi reversé au monde des signes

matière. En réduisant l’homme à son corps et ce dernier à une machine explicable par la physique mécaniste, il prétend mieux comprendre ce qui nous fait hommes que tout ce que la culture humaine enseigne depuis des millénaires. Ridicule ! Ces arguments ne doivent pas être négligés, ils dominent encore aujourd’hui une vaste partie des sociétés ; le nom de Darwin est toujours diabolisé par les créationnistes et du moins contesté par les plus subtils théoriciens du Dessein Intelligent (Intelligent

l'existence, des valeurs individuelles et sociales, de la nature du langage ou de la connaissance et du rapport que nous avons avec les choses elles-mêmes. En philosophie, on peut avoir de bons ou de moins bons concepts, de bons ou de moins bons arguments, mais on ne peut pas avoir de preuves irréfutables, car ce n'est pas une science formelle ou empirique (bien qu'elle soit le creuset des sciences). En tout état de cause, la philosophie est fondamentalement une discipline rationnelle, bien que ses

contenu, il doit y avoir une raison de cette universalité. La diversité imaginaire des religions ne serait que la forme circonstancielle que prendrait une idée naturelle, une intuition de l’esprit. Kant dans Critique de la Raison Pure classe les arguments traditionnels qui reviennent dans l’histoire de la pensée rationnelle : -une démonstration peut être établie. La théologie rationnelle = la part des religions de l’ordre du savoir et non de la croyance dans toutes les religions. Il s’agit au

Cela signifie que, par essence, l’homme est destiné à faire société et que le fait de vivre en société fait partie de sa constitution ontologique. Autrement dit, c’est en société que se réalise l’essence de l’homme. C’est pourquoi un passage de la ligne 1 à la ligne 2 nous renseigne sur ceci : « Il est donc … en société ». Cet argument d’Aristote a pour but de faire comprendre une autre idée selon laquelle si l’homme est naturellement un être sociable, et s’il se trouve

..................................................... 30 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 31 2. Le débat sur l’existence de Dieu ......................................... 33 Texte 7 : La preuve ontologique de l’existence de Dieu, Saint Anselme (1033-1109) ................................................................. 34 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 36 Texte 8 : La preuve cosmologique de l’existence

que différents auteurs ont pu apporter à la question posée. Pour la même raison, doit également être exclue la simple récitation d'un cours. ● Penser par soi-même exige cependant que l'on sache trouver, dans la pensée des grands philosophes, les arguments, les analyses, les thèses ou les objections qui sont de nature à enrichir sa propre réflexion, à la développer, à la corriger éventuellement si elle se trouve confrontée à une thèse que l'on ne parvient pas à réfuter ou à une objection à laquelle

exigences = chemin vers Dieu ? Pour le dire en d’autres termes, j’ai l’idée d’infini, or je suis un être fini et limité ; cette idée ne peut venir de moi, elle vient donc de Dieu : Dieu est cause du concept d’infini en moi. *Preuve ontologique* : l’essence de Dieu est d’être parfait ; donc il existe sinon il lui manquerait qq chose et il ne serait pas parfait. 4 ) Affirmation de l’existence de Dieu donnant sens à notre existence. Recherche de l’absolu chez Balzac ; chez Proust