Argumentation Phèdre

construction : « Aimable, bien fait, voilà de quoi vivre pour l’amour, social, et spirituel, voilà pour l’entretien de la société ». D’où sa conclusion : « tout en sera bon dans cet homme là, l’utile et l’agréable, tout s’y trouve ». Or pour renforcer son argumentation, elle laisse entendre qu’un tel homme s’il n’était honnête pourrait bien « épouser » les jeunes filles « sans cérémonie » (mœurs libertine). C’est justement d’un homme que se méfie Silvia, la querelle est donc lancée. II. Une querelle entre

La littérature d'idées Convaincre ou persuader Tout texte appartenant à la littérature d'idées cherche l'adhésion de son lecteur. Pour cela, l'auteur peut convaincre ou persuader : deux mises en œuvre différentes des idées à défendre. Convaincre Quand un auteur fait appel à la raison et aux capacités de réflexion de son lecteur, il cherche à le convaincre. Il utilise alors des arguments raisonnés qui s'enchaînent de façon logique. La force de conviction réside dans : des arguments qui

prétendant être ‘assez philosophe pour se mettre à la place d’un enfant’. La profondeur de la fable réside donc dans l’interprétation et dans la réflexion du lecteur sur le sujet présenté ; le texte en lui-même ne suffit donc pas à présenter une argumentation ou une idée. Il ne fait que donner des indices sur la piste à suivre. La forme qui se trouve être justement agréable et plaisante à la lecture, rend donc la compréhension du texte plus subtile et parfois si complexe que la morale peut être

ÉTUDIER LA STRATÉGIE ARGUMENTATIVE D’UN TEXTE Étudier la stratégie argumentative d’un texte consiste à trouver les moyens utilisés par les auteurs pour argumenter, démontrer, convaincre et persuader. Argumenter consiste à donner des raisons valables pour inciter le récepteur à partager ses opinions : des arguments, qui sont autant de justifications de la thèse (où idée défendue par l’auteur). Démontrer permet de prouver que les arguments sont valables à l’aide d’exemples qui peuvent être illustratifs

aussi choquant pour les lords que le premier « Et l'on creuse des trous dans la terre pour y coucher les petits enfants, de sorte qu'au lieu de commencer par le berceau, ils commencent par la tombe ». De par le rythme et la structure de son argumentation Gwynplaine réussit dans ces premiers mots à captiver son public pour ensuite le garder en haleine et enfin avant de le relâcher le marque de par un autre argument choquant. Grâce a cet enchainement il permet à sa conclusion et a sa proposition

puisque de toute facon craindre la mort est inutile.  il reprend des principes philosophique qui incite dès  l'antiquité a mener une vie digne donc une mort digne. ▪ La narration ▪ Argumentation ▪   ▪ LE VIEUX ▪ ARGUMENTS ▪ Il n'est pas juste de mourir sans être prévenue

que quelqu’un n’en ayant jamais fait, les citoyens grecs pauvres en vertu paraîtront tout de même des modèles de sagesse par rapport aux barbares des contrées lointaines n’ayant, eux, jamais reçu d’enseignement de la vertu. Protagoras clôt son argumentation en comparant la vertu à une langue maternelle : si on peut apprendre cette dernière sans maître particulier (simplement en écoutant et imitant), ce n'est pour autant pas une raison pour affirmer qu'elle n'est pas un savoir susceptible d'être enseigné

d’interrogation et d’exclamation à ce dernier tercet participe à l’expression puissante des sentiments du poète ; des sentiments qui s’expriment avec force dans l’espoir de réveiller la sensibilité de la jeune Marie. Mêlant à la fois lyrisme et argumentation, ce sonnet résonne comme une demande en mariage, et le nom seul de l’inspiratrice le suggère déjà (Marie). Ronsard tente à travers l’expression plus ou moins implicite de ses sentiments profonds et quelques justifications, de gagner le coeur

bonnes actions et punition des mauvaises. Récit devient argumentatif, porteur thèse, use faits et actions comme arguments et exemples, pour faire comprendre bien fondé enseignement donné. Cas conte philosophique, succession épisode constitue argumentation thèse ou réfutation d’une autre. Par analogie, récit plaisant ou effrayant, mais toujours divertissant, conduit lecteur à réfléchir et apprendre, sans impression d’être guidé.

faut mais je penses qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi » Sa bonne volonté est rapidement décrédibilisé. d. La minimisation de son péché • Le meurtre est justifié par la gourmandise « appétit glouton » « quelques fois » e. Une argumentation bien ficelée • Exposition cas particulier conclusion = discours virtuose , beaucoup de conjonctions de coordinations -> car -> montre la rigueur B. L’hypocrisie du renard a. Ses exagérations • « trop bon roi » « trop de délicatesse » •