Argumentation Sur La Violence

dans son texte : Giono, dans ses écrits pacifistes, rédige une « lettre ouverte aux paysans », dans laquelle il gronde avec violence contre la guerre : « Je n'aime pas la guerre », « Je déteste la guerre », voilà les affirmations qu'il ne cesse d’accentuer dans son discours. En s’adressant à la première personne du singulier, Giono déploi un registre polémique, dont la violence et l’emportement s'avère propre à persuader l'adhésion du lecteur. Face à tant de conviction, ce dernier ne peut rester indifférent

que le monde est agencé d’une certaine manière et que cet agencement se reproduit plus facilement qu’il ne se bouleverse. Dés le préambule, il expose sa thèse. Il explique que la domination est une violence invisible et symbolique. Il le répétera plusieurs fois au long de l’essai. Cette violence symbolique est inscrite dans les modes de pensées. La personne « dominée » ignore qu’elle l’est. Elle ne connaît pas et n’est pas consciente de la domination qu’elle subit. La personne dominée finit par

la pratiquent ou la tolèrent sans attaque directe. Cette première impression est ensuite confirmée tout au long du texte par le ton faussement désinvolte et léger qu’il emploie pour parler de pratiques extrêmement violentes et sérieuses. B. Une argumentation absurde Nous allons voir point par point que Montesquieu nous donne à voir une suite d’arguments plus fallacieux les uns que les autres, mais avant même d’en venir aux arguments eux-mêmes, il est évident que la construction et l’agencement du texte

Henri de Navarre (Futur Henri IV) et de Marguerite de Valois (sœur du roi Charles IX) le 18 aout 1572.Mais aussi, une tentative d’assassinat sur l’amiral de Coligny. Ma problématique sera : « Comment peut - ont expliqué la violence de la Saint Barthélemy ? ». Mon argumentation se compose en deux parties. En première partie, le massacre de la Saint - Barthélemy. En seconde partie, la continuité du massacre pendant 3 jours. I - Le massacre de la Saint – Barthélemy 1 – Les préparatifs du massacre

Préparer une argumentation Un défaut fréquent : ne pas se préparer alors que l’on va être confronté à une situation où l’on doit argumenter… Exemple de Robert : Demain il doit présenter devant l’ensemble de l’équipe sa proposition : créer un nouveau service au sein du département. Il sait qu’il y aura des opposants, que le directeur prendra acte de tous les avis pour prendre sa décision. Tous les points de vue comptent. Il a fait des fiches avec les faits qui illustrent pour lui la nécessité de

Norbert Elias et Eric Dunning, Sport et civilisation, la violence maitrisée, avant-propos de Roger Chartier, Paris, Fayard, 1995, 392 p. Sport et civilisation, la violence maitrisée, est écrit par Norbert Elias en collaboration avec Eric Dunning, dont le titre original est Quest for excitement, sport and leisure in the civilizing process. Cet ouvrage est publié pour la première fois en 1986 puis réédité à plusieurs reprises par Fayard. Norbert Elias demeure un auteur atypique en histoire. Ecrivain

des lois politiques, leur nécessité découle de leur capacité à diriger et à contenir les mouvements des gens, de manière à éviter qu'emportés par la violence de leurs désirs, leur précipitation ou leur manque de discernement, ils ne se fassent de mal. Les lois politiques sont donc nécessaires pour maintenir l'ordre social et prévenir les violences et les abus. En revanche, ce qui est possible ou contingent est lié à la possibilité ou à la contingence des choses, c'est-à-dire à leur caractère fortuit

c’est-à-dire sur les modalités dans lesquelles l’énoncé est produit. Il convient de déterminer qui ? Parle à qui ? Où ?, quand ? Et dans quelle intention ? De la précision des réponses apportées à ces différentes questions dépend la réussite de toute argumentation que ce soit dans l’étude du texte proposé ou dans le choix de l’énonciation pour rédiger un devoir. 1. Qui ? À qui ? : Le système pronominal et les déterminants Ce sont en priorité les pronoms personnels qui désignent le locuteur (qui ?) et

- Essai, conte, fable sont autant de formes que peut prendre l'argumentation. Laquelle vous paraîtrait la plus appropriée si vous deviez écrire une argumentation et pourquoi ? - Romans policiers, romans criminels : comment expliquez-vous que tant de lecteurs prennent plaisir à ce genre de récits où règnent pourtant par convention le mal, la violence et la mort ? - Le but d'une dernière page de roman est-il uniquement de donner un dénouement à l'histoire ?

donc des éléments de comique au conte philosophique, ce qui permet d'impliquer davantage le lecteur dans le récit, et donc dans l'argumentation indirecte qui y est développée. De même, le recours à une œuvre de fiction pour développer une argumentation indirecte permet au lecteur de s'identifier à certains personnages, ce que ne permettent pas les genres de l'argumentation directe comme le traité ou l'essai par exemple. En s'identifiant à certains personnages, non seulement le lecteur s'implique