Aristote Autrui

vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés au pied des immeubles. L'ordre en public se loge dans le respect des civilités (politesse, déférence, respect d'autrui), dans la négociation des entrées en relation avec autrui, bref, dans l'affichage du caractère pacifique de la personne. Dans la civilité se jouent les droits et les devoirs concrets de l'individu. Avec les incivilités, c'est le lien qui réunit les membres d'un ensemble qui se trouve questionné. Qu'est-ce

les spectacles offerts par la ville. * L’homme solitaire qui se fond dans la foule qu’on retrouve dans « À une passante ». Petits poèmes en prose « Les Foules » - « prendre un bain de multitude, joui de la foule et un art ». « être lui même et autrui » - « universelle communiant » qu’on retrouve dans « A une passante » , « Les Aveugles » / « Les veuves » , « La Belle Dorothée » . * Le créateur qui invente un monde. Il se présente comme un architecte et un créateur dans « Paysage » et « Rêve

La sympathie permet elle de connaître autrui ? Introduction : Si la sympathie est un état affectif partagé avec quelqu’un à qui l’on veut du bien, peut on affirmer pour autant que l’on connaît celui ou celle qui nous est sympathique ? Si connaître signifie saisir un objet par la pensée, en avoir une représentation exacte, c’est à dire similaire à ce qu’est l’objet. Le problème est de savoir si on peut réduire l’Homme à un objet. Comment connaître du dehors l’intimité de quelqu’un ? En quoi

Autrui Le problème principal qui est posé par autrui, par l’autre est le fait qu’il ne soit pas moi. Autrui, tout en étant distinct de moi, a quelque chose de commun à moi : la conscience. Il occupe cette position particulière c'est-à-dire qu’il n’est pas moi mais il a quelque chose qui le met sur le même plan que sur ma propre conscience. On se comporte avec autrui de telle façon à ce qu’il influence mon attitude, le personnage que je joue.C’est quelqu’un qui, par son regard nous montre ce que

conscience de ses faits et gestes, il peut donc se prendre lui même comme objet de réflexion et s'analyser. On dit souvent "je suis moi-même" c'est-à-dire qu'être soi-même est d'assumer son originalité. Quand à la solitude, c'est une éclipse des liens avec autrui, l'isolement en est la privation. Nous allons donc nous demander : Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi? Dans un premier temps nous allons nous pencher sur une réponse positive à la question, c'est-à-dire que la solitude favorise

Autrui peut-il être pour moi autre chose qu’un obstacle ou moyen ? Il est de plus en plus rare de voir quelqu’un s’effacer de lui-même pour laisser passer avant lui une autre personne eu égard à son âge ou à sa condition. Le contraire se donne le plus souvent à observer : c'est à celui qui passera le premier. La politesse la plus élémentaire serait-elle devenue pur artifice à reléguer dans le passé ? Serions-nous, d’une manière générale, devenus incapables de percevoir autrui autrement que comme

transactions permet à chacun d’identifier pour soi, les transactions à risques ou conflictuelles et les transactions satisfaisantes, efficaces et productives. Apport : Toutes ces transactions et les états du moi nous permettent de mieux se comporter avec autrui dans les meilleurs conditions possibles.

soit revendiqué, la politesse a fonction de formation, l’apprentissage est une formation peu plaisante, voire désagréable, mais qui évolue et s’améliore avec le temps ; de faciliter les relations, l’utilisation de la politesse dans les relations avec autrui permet une harmonisation et une bonne entente interpersonnelle; et pour finir, d’hominisation distinguant homme et animal, le savoir-vivre a pour valeur le respect d’autrui et bannit donc la loi de la jungle : la politesse est synonyme de civilisation

De la question " faut il être tolérant " , nous pouvons et devons cerné une notion de devoir , puisque l'utilisation du temps de l'impératif et du verbe falloir nous renvoie à cette notion . Associé a la tolérance, on en déduit devoirs envers autrui, puisque bien que l'on puisse se tolérer soi-même, c'est dans bien plus de cas les autres, qui nous pousse à la tolérance . Et qu'est ce que la tolérance ? C'est l'idée de se supporter soi-même, ou donc de supporter les autres , les divergences d'opinion

sa mauvaise foi pour lui. Le crétin - et c’est d’ailleurs un symptôme majeur de son infirmité - a un besoin impérieux de s’exprimer. Ou pour être plus précis : de vociférer, d’éructer, de hurler. Mais aussi d’insulter. Car s’il ne peut pas insulter autrui le crétin se sent démuni, voire inexistant. L’insulte est la base de son langage. S’il n’insulte pas l’adversaire et l’arbitre, le crétin est frustré. Pour lui, avant d’être un lieu de spectacle, de plaisir et de convivialité, le stade est un défouloir