Aristote Métaphysique

philosophie c’est un certain nombre de tentatives qui essaient d’expliquer plusieurs sorte de problèmes qui ne sont pas encore arrivées à maturité. Cette pensée se manifeste dans ce sens dès le 7e siècle avant Jésus Christ en Grèce, où Platon et Aristote constituaient les deux plus grandes figures de cette époque et aussi les responsables de cet effort de réflexion. D’après mes récentes recherches à la bibliothèque et sur le texte de l’auteur, aujourd’hui la philosophie est devenue une discipline

..................................7 1.1 Les trois contextes: vue d’ensemble..................................................................................................... 7 1.2 La Critique de la raison pure parmi les disciplines métaphysiques......................................................9 1.2.1. Position générale du problème.....................................................................................................9 1.2.2. La manière dont Kant s’exprime dans l’«Architectonique

La philosophie et la science : Depuis ses origines, la philosophie englobée toutes les disciplines a tendance philosophique et scientifiques comme la métaphysique, la psychologie, la physique, la cosmologie et la mathématique. Mais, a partir du xiii siècle et avec l’essor des sciences ont assiste a une rupture entre les sciences et philosophie : la physique, la mathématique, la biologie….. Sont devenue des sciences à méthode indépendantes, même certain discipline philosophique comme

« Profil Textes philosophiques » Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Aristote La nature (Physique, chap. II) Introduction et commentaire par Jean-Claude Fraisse Traduction O. Hamelin (1ère édition : 1990) PhiloSophie Texte soumis à copyright © septembre 2008 Table des matières Introduction .............................................................................. 4 Note sur la vie et les écrits d’Aristote .......................................... 4 1. L’objet de la Physique

que donne Aristote, bien que datées de l'antiquité, sont assez intéressantes. Pour lui les trois valeurs fondamentales de notre monde sont le beau, le vrai et le bien. Pour définir " le bien " Aristote dit que le Bien est ce qui est propre à l'homme. Cette définition originale du Bien fait de cette valeur une notion humaine et non pas divine, c'est une définition qui correspond très bien à notre monde moderne. Une action sera jugée comme bonne quand elle sera propre à l'homme. Aristote dit alors

cmt le raisonnement est bien formé ? Logique→ en établit les critères et les conditions. Aristote = 1er au -4ème s. à tenter de construire la logique. Codification et explication des règles de la démo. Logique d’Aristote→ dimension normative : en dégageant ces règles, il met en avant des paralogismes (=démo trompeuses). * Le syllogisme Syllogisme= prototype de la démo. 12 formes établies par Aristote. Exemple : tous les hommes sont mortels. Tous les philos sont des hommes. Donc tous les philos

symbolique sacré où pour y parvenir, il faut trouver un objet, comme un totem ou un autel, qui permet le passage d'une région cosmique à une autre. Dans les systèmes du monde que bâtissent les premiers peuples, ils sont tous portés par une quête métaphysique et religieuse où l'Homme se trouve au coeur du réel. Ce fond commun non rationnel plonge les racines psychiques des courants de pensées qui émergent et s'imposent de l'Antiquité à nos jours. Pour les pythagoriciens, le monde est sphérique et les

des choses en vue d’une certaine finalité. Donc mettre en ordre c’est disposer les choses en vue d’une certaine finalité. Donner des ordres ( but : mettre en ordre (ex : un officier ordonne à un régiment afin d’y mettre de l’ordre).   Pour Aristote il y a quatre grandes espèces de causes (dans tous les niveaux de la réalité) : 1-    Cause efficiente (ex : sculpteur pour une statue) 2-    Cause formelle (idée, projet. Ex : statue de Jeanne d’Arc, de Louis XIV, etc…) 3-    Cause matérielle

= recherche de la vérité Mais frustrant de ne pas trouver la cause première f. La métaphysique De méta = au-delà et physis = nature : recherche de l’absolu, des principes premiers des choses Aristote (-IV) : physicien et métaphysicien Leibniz (XVIII) : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » H. Reeves (XX) : « Pourquoi ce quelque chose s’est-il organisé plutôt que de ne pas s’organiser ? » Métaphysique basée sur la philosophie, mais pas forcément réciproque (Philosophie peut concerner

la même chose. Quand nous parlions de correspondance, nous n’avions rien d’autre en tête que l’idée de rapporter une proposition ou une sensation à d’autres sensations. Il ne s’agit pas de transcender le champ de nos expériences vers un au-delà métaphysique ou mystique. En particulier, si nous admettons que les « choses » ne sont rien de plus que ce que nous pouvons en connaître, c’est-à-dire rien de plus que leurs possibilités d’expression dans des relations, alors on peut continuer à parler de « correspondance »