Aristote Métaphysique

L’homme aujourd’hui a appris à respecter ses semblables mais aussi à se respecter lui même. Il respecte donc que des êtres vivants dotés d’une conscience et donc capable de penser et de raisonner. Qu’est-ce que le vivant ? Aristote définit le vivant comme ce qui « contient en lui-même le principe de son propre mouvement ». Or l’Homme fait partie du vivant. Le respect est un devoir morale, un homme est redevable à l’être vivant qu’il respecte, il le place sur un pied d’égalité avec lui puisqu’il ne

proposer un programme de lectures personnelles avant le début des cours. On trouvera dans le livre de Michel Puech, La philosophie en clair (achat recommandé), un certain nombre de repères concernant dix grands classiques de la philosophie [Platon – Aristote – Descartes – Leibniz – Hume – Kant – Nietzsche Bergson – Heidegger - Wittgenstein], et susceptibles de guider une lecture directe des textes. Attention : à ne pas confondre avec La philosophie pour les nuls (déconseillé). Concernant la préparation

cette voie, dût-on abandonner comme vaine une grande partie du but qu'on s'était d'abord proposé sans réflexion. Ce qui montre par exemple que la logique est entrée depuis les temps les plus anciens dans cette voie certaine, c'est que, depuis Aristote, elle n'a pas eu besoin de faire un pas en arrière, à moins que l'on ne regarde comme des améliorations le retranchement de quelques subtilités inutiles, ou une plus grande clarté dans l'exposition, toutes choses qui tiennent plutôt à l'élégance

les choses contingentes. De même, Dieu n’a pu créer que le meilleur des mondes possible dans ce qui était possible de créer. Le mal fait parti du monde mais il est une nécessité pour mettre en évidence le bien et ce qu’il soit moral, physique ou métaphysique. Ainsi, les sens sont « décidés », définis dès la naissance. Ancrés en nous, ils sont à tous instants présents : je vois un bateau au loin, je fais donc appel à mes sens et notamment à la vue qui me permet de discerner et de connaître l’existence

La Philosophie est une matière complexe. Il y a 5 grandes catégories de question philosophiques. L’une d’elles est la métaphysique (réflexion abstraite). La sagesse est un sujet incontournable dans le monde de la philosophie qui rentre dans la catégorie de la métaphysique. La sagesse est-elle un but réaliste, ou un idéal inatteignable ? Qu’est-ce que la sagesse ? Un sage peut-il être une menace pour la société ? Peut-on être sage tout en étant ignorant ? Pour commencer, qu’est-ce que la sagesse

Métaphysique - S5 Manque cours du 17/09/2010 23/09/2010 II) La relation entre Nietzsche et Schopenhauer 1. Une culture de la Sainteté Qu’est-ce que faire un homme dans la modernité? On ne peut pas faire un homme sans maitre mais ce maitre n’en est pas un s’il ne conduit pas à une surhumanité. Dans le texte on y voit émergé quelque chose de très étrange car d’une part Nietzsche développe une culture de la sainteté ( Nietzsche célèbre Schopenhauer) ; d’autre part en quoi l’œuvre

monde ? Les cinq sens doivent faire l’objet de notre méfiance à leur égard. En effet, ils s’opposent à la raison car ils peuvent nous induire en erreur en nous faisant percevoir des « réalités » là où elles ne sont qu’illusions. Dans Méditations métaphysique, Descartes écrit : « j’ai quelques fois éprouvé que ces sens étaient trompeurs, et il est de la prudence de ne se fier jamais entièrement à ceux qui nous ont une fois trompé ». Nous pouvons être confrontés à ces illusions lorsqu’elles sont créées

bonheur : je dois notamment m'adapter à elles pour ne pas souffrir 3. La loi morale ne décide pas de mon bonheur mais le rend accessoire au regard de la pureté de mes intentions. Références Aristote, Politique Épicure, Lettre à Ménécée Kant, Fondement de la métaphysique des moeurs

etre provisoire? Introduction: Ou bien la vérité est éternelle et il n'y a pas lieu de la rechercher dans l'ordre des choses qui passent, ou bien c'est dans les phénomènes qu'il faut la chercher mais c'est dans la connaissance des principes (Aristote) ou des lois (Galilée) immuables de la nature qu'elle consiste, auquel cas, pas plus que dans l'autre vérité ne saurait être provisoire. Alors pourquoi la question? I. La verité n'est pas de l'ordre du temps. a.Trois propriétés de la vérité:

 Micromégas de Voltaire 1) UN VOYAGE INITIATIQUE 2) UN CADRE PRODIGIEUX 3) UN JEU COMPARATIF 4) LA CRITIQUE DE LA METAPHYSIQUE 5) LA FOLIE HUMAINE : L’ANTHROPOCENTRSIME 1) UN VOYAGE INITIATIQUE Avec ce livre, Voltaire use d’un thème récurrent du XVIII ème siècle, le voyage. Ici c’est le voyage de Micromégas, un personnage immense qui se ballade de planètes en planètes. Mais c’est surtout un voyage initiatique, le Sirien cherche avant tout à perfectionner ses connaissances grâce à ce voyage