Aristote Sensation Et Connaissance Scientifique

> Tome 2 : La raison et le réel : La connaissance (le savoir et les savoirs) Cours-PH00 171 © Cned – Académie en ligne > > > S’abstenir d’interpréter, est-ce une condition de la connaissance objective ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175 Que signifie être objectif, pour une subjectivité ?

> Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? Introduction-PH00 17 es sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? Cette première leçon, qui sert d’introduction à votre cours, porte sur un sujet très important pour la philosophie, dans la mesure où, comme il est dit dans la présentation, la philosophie est fondamentalement soucieuse du réel, de ce qui est vraiment réel (« réellement réel », dit Platon), et que ce qui

impure : l'évidence première n'est pas une vérité fondamentale. En fait, l'objectivité scientifique n'est possible que si l'on a d'abord rompu avec l'objet immédiat, si l'on a refusé la séduction du premier choix, si l'on a arrêté et contredit les pensées qui naissent de la première observation. Toute objectivité, dûment vérifiée, dément le premier contact avec l'objet. Elle doit d'abord tout critiquer : la sensation, le sens commun, la pratique même la plus constante, l'étymologie enfin, car le verbe

5 11 Tome 1 : La raison et le réel > > Introduction à l’examen du programme : les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 La recherche de la vérité n’a-t-elle de sens que dans le domaine de la connaissance théorique ? 47 ............................................... > Notre rapport au monde peut-il n’être que technique ? ..........................

d'âmes ou de dévoiler la réalité.Hegel : il soutient l'idée qu'il n'y a pas d'extériorité entre l'acte de penser et l'acte de parler : « C'est dans les mots que nous pensons ». Cela signifie que selon lui, on ne pense ni dans les images, ni dans les sensations, ni dans les sentiments. Mettre des mots sur des pensées est pour Hegel une forme de préjugé. En réalité, la pensée se constitue dans et par le mot. Nous nous rendons compte de nos pensées. Elles prennent un sens pour nous lorsque nous les formulons

de vérité > La recherchesenslaque dans le n’a-t-elle de domaine de la connaissance théorique ? A. Léandri Cours-PH00 47 a recherche de la vérité n’a-t-elle de sens que dans le domaine de la connaissance théorique ? Qu’est-ce que la vérité ? On peut entendre par là, selon les cas, la conformité de la pensée avec la réalité (« connaître la vérité »), la conformité de nos paroles avec nos pensées (« dire la vérité »), ou encore la conformité d’une chose à l’apparence qu’elle nous donne

composé de 17 volumes écrits et 11 volumes contenant des illustrations. Cette encyclopédie fut conçue par cent cinquante rédacteurs dont Voltaire, Montesquieu, Rousseau. Diderot n'a pas inventé l'Encyclopédie. Il existait déjà à l'Antiquité grâce à Aristote . L'Encyclopédie est née du désir de Diderot de "rendre la philosophie populaire".L’Encyclopédie de Diderot et d'Alembert est une encyclopédie ou encore un dictionnaire universel des arts et des sciences. Cette encyclopédie est l’emblème du siècle

substare : « se tenir dessous ». C’est la réalité permanente qui sert de support ou substrat aux qualités, aux attributs. * Aristote a analysé la substance, en grec ousia, qui définit l’essence d’une chose, sa nature, sa définition de façon nécessaire. La substance d’une chose ne change pas, elle a une valeur universelle Aristote a divisé le monde, le cosmos, en 2 domaines : * Le monde sublunaire, dans lequel nous vivons. C’est la partie inférieure de l’univers (= monde

pour démontrer telle ou telle chose. Mais l’expérience de deux individus peut être semblable mais ne pas aboutir au même savoir, à la même connaissance car elle n’aura pas été perçue de la même manière. L’idée que l’expérience fonde le savoir est tirée du texte de Locke (p.238). Ce philosophe nous dit que pour acquérir l’expérience il faut 2 sources : la sensation puis la réflexion. Et ces deux éléments forment le savoir. « Les observations que nous faisons sur les objets extérieurs et sensibles, ou

La raison et le réel : la démonstration, l’interprétation, matière et esprit, le vivant, la vérité Il s’agit d’aborder le problème de la connaissance, la raison étant la faculté de notre esprit par laquelle nous procédons à l’établissement de cette connaissance et le réel ce qui est l’objet de cette connaissance. Quelques précisions terminologiques - la conscience / la raison par ma conscience, je me représente le réel, par la raison, j’essaie de la comprendre. La raison est cette faculté