Aristote Suprême Connaissable

volonté. -aristotélisme : doctrine d’Aristote regroupant toutes les disciplines philosophiques. -Théorie des 4 causes : La théorie aristotélicienne de la causalité désigne la conception de la causalité développée par le philosophe Aristote. Pour Aristote, la cause n'est pas simplement ce qui précède l'effet : c'est une notion métaphysique complexe. Il distingue ainsi quatre types de causes : 1. cause matérielle (la matière qui constitue une chose), 2. cause formelle (l'essence de

Nanterre Service d'enseignement À distance Bâtiment E - 2ème étage 200, Avenue de la République 92001 NANTERRE CEDEX Tel : 01.40.97.76.18 1er envoi (15-10-2006) Nombre de pages : 41 Matière : PHILOSOPHIE L1 E.C. : LLPHI111 Philosophie ancienne 1 Aristote. L'âme et l'intellect 1ère partie M. BRENET Jean-Baptiste Cours complet 1 devoir : - Devoir facultatif n° 1 à remettre le 15/01/2007 - Sujet p. 2 du polycopié. Nom et adresse du correcteur : BRENET Jean-Baptiste 3 rue des Goncourt 75011 PARIS Rappels

pouvoir estimer les autres autant que lui-même. Amour universel qui traite les h au même niveau *l’amour mystique : Suppose une réalité a-rationnelle et un aspect intuitif très dvlpé. L’amour mystique postule aussi une réalité absolue et un Être suprême à qui l'amour est destiné. Amour peu communicable car voué à une autre réalité. Amour qui a une part de passion amoureuse (ex : st jean parlant de dieu “ l’âme se sentant déjà tout enflammée en l’union divine (…)”et une part d’amour fraternel

excellence. Le droit comme ensemble de règles ne se conçoit que dans un tel cadre car suppose l'intervention initiale d'une autorité. Le droit et sa création constituent la base de l'agir politique. Il apparaît comme le « signe » de la puissance suprême car il constitue le principal moyen de déterminer globalement la conduite des sujets et de réaliser les fins propres de l'Etat. Raison ou volonté. « Création du droit » par l'autorité publique. Le droit est-il donné à l'homme ou posé par lui ?

l'époque contemporaine, sous le signe de l'écologie, semble dessiner un retour à un "naturalisme" éthique et politique, qui voudrait plus prendre en compte la nature quand "nous nous donnons" des lois. A. autorité morale de la nature chez les anciens (aristote cosmos platon ?) B. autorité morale de la loi aujourd’hui, argument contre nature. « Les lois de la nature ». Plus qu’une expression, ça semble une évidence : la nature a des lois. Au premier abord, personne, aujourd’hui, ne songerait à mettre

la philosophie mais aussi les mathématiques et la gymnastique. L'enseignement y est prodigué sous forme de discussions et de débats d'idées, ce qui explique la prédilection de Platon pour le dialogue. Parmi les élèves les plus brillants se trouve Aristote, le seul à pouvoir vraiment rivaliser avec le maître. Toujours selon certains écrits, c'est vraisemblablement à l'Académie que Platon compose la plus grande partie de ses ouvrages, résultats de ses réflexions sur les Idées, la Nature, Dieu et le

des fins,  de l’action morale. La doctrine « eudémoniste » associe la vertu et le « Souverain Bien », c’est-à-dire le bonheur obtenu par la voie de la sagesse b) Chez Aristote : le bonheur est lié à la réussite de l’activité, et l’activité la plus humaine étant l’intelligence, c’est elle qui est à même de nous procurer le bonheur suprême c) Chez Epicure : le bonheur du sage, qui est à réaliser en ce monde, consiste en un savant dosage des plaisirs, parmi lesquels ceux de l’esprit sont toujours à privilégier

peut-être ce qu’est au juste une science, cela tombe bien une page lui est dédiée dans ce glossaire). Une entreprise que Jean Louis Le Moigne qualifiera de « projet orgueilleusement ambitieux que celui d’une explication universelle de l’univers connaissable ! » dans son ouvrage la théorie du système général. Descartes souhaitait par-dessus tout donner à cette science admirable les moyens d’être digne de ce nom. Et avec son esprit cartésien s’il en est un, Descartes l’imaginait érigée sur des

étant irrationnel quand on y constate un désaccord avec soi-même ou quand on agit contre ses propres principes, ou encore, quand on croit à la fois une chose et son contraire. On peut notamment se référer à l’intempérance (acrasia) dont nous parle Aristote dans le livre VII de l’Ethique à Nicomaque. L’agent sait dans ce cas où est le meilleur pour lui, mais agit contre ce principe : par exemple, il sait que manger trop de gâteaux au chocolat est dangereux pour la santé, et il est tout à fait d’accord

les prémisses des savoirs, elle est savoir originel qui, au bout de l'enquête, à travers questions et réponses, acquiert la clarté et l'évidence intelligible comme des indicatrices et conductrices de l'absolu. Elle vise à l'unité qui est l'autorité suprême rendant vrai ce qui n'est qu'exact. Elle ne fait qu'un avec la conscience de soi et du monde en laissant monter à elle l'essentiel des savoirs humains. Sciences théoriques, pratiques et poïétiques ou productrices comme l'artisanat et la littérature