Arret Du 10 Mai 2005

Fiche d'arrêt droit administratif CC 74-54 DC, 15 janvier 1975, Interruption volontaire de grossesse (fiche 3, doc 1) Arrêt rendu le 15 janvier 1975 par le Conseil Constitutionnel, relatif au contrôle de conventionnalité par le Conseil Constitutionnel. En l'espèce, une loi a été voté par le parlement sur l'interruption volontaire de grossesse. Des députes, plus de soixante saisissent le Conseil Constitutionnel. Il motif leur saisine par le fait que la loi votée serait contraire à la Constitution

matière délictuelle[4]. Plusieurs critères permettent de qualifier la faute lourde. Certains sont de nature subjective[5]. L’extrême incurie ou la particulière stupidité de l’agent révélée par l’action dommageable sont fréquemment relevées par les arrêts. De même, la conscience du danger et des risques de dommage de celui qui met volontairement en péril les intérêts d’autrui est souvent retenue. Toutefois, la jurisprudence se réfère aussi parfois à des critères objectifs[6], indépendants d’un examen

Arrêté du ministre de l'éducation du 9 décembre 2010, portant ouverture d'un concours interne sur épreuves pour la promotion au grade de technicien principal au corps technique commun des administrations publiques à l'institut national de bureautique et de micro-informatique. Le ministre de l'éducation, Vu la loi n° 83-112 du 12 décembre 1983, portant statut général des personnels de l'Etat, des collectivités locales et des établissements publics à caractère administratif, ensemble

Fiches de doctrine : Document 1 : Cass. 1ère civ.. 14 février 1995 : fiançailles Document 2 : CA Aix en Provence, 3 mars 2005 : fiançailles Document 3 : Cass. Ch Réunies, 24 avril 1862 : Berthon Document 4 : Ass.Pl, 19 Mai 1978 : Cours Sainte Marthe Un établissement d’enseignement catholique, lié à l’Etat par un contrat d’association, a engagé une institutrice. Par la suite, elle s’est mariée puis a divorcé pour finalement se remarier quelques années après. La directrice de l’établissement

Commentaire d'arrêt. Liberté d'établissement: vers les démantèlements des monopoles ? Fiche d'arrêt: Faits : La société Zetruf a mis en place en juin 2005 une activité d'organisation et d'exploitation de paris en ligne. Il a délocalisé sa société à Malte mais les paris sont réalisés par le biais d'un site internet pour les courses hippiques se déroulant en France. Ainsi, ce site vient directement concurrencer le Pari Mutuel Urbain, appelé communément PMU, qui bénéficie d'un monopole légale

textes sont ambiguës ce qui a conduit la CC à considéré le 10 Mars 1993 ( doc 7) à propos de la convention des droits inter des droits de l’enfant (doc 6) que cette convention ‘était pas dans son ensemble directement applicable en droit français. En 1997 sur le même sujet, le Conseil d’Etat était plus nuancé, il a retenu que l’on été face à un syst d’applicabilité sélective. Ultérieurement, la CC est revenue sur sa position le 18 Mai 2005 (doc 8) et admet l’application directe de dispositions qu’elle

DRE Alsace, Mars 2007 L’ensemble des routes du réseau routier national actuel, à l’exception des routes et ouvrages soumis à péage et des routes à « faible trafic » (exception introduite dans le cadre des débats parlementaires), soit environ 10 000 à 12 000 kilomètres, sera soumis à la future redevance. La prise en compte des routes des collectivités territoriales vise notamment à éviter un report de trafic dans certaines zones à la seule fin d’échapper au paiement de l'éco-redevance

Arrêt Blanco Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Blanco. Arrêt Blanco | Titre | Tribunal des conflits - 8 février 1873 - M. Blanco contre Manufacture des tabacs de Bordeaux | Pays |  France | Tribunal | Tribunal des conflits | Date | 8 février 1873 | Personnalités | Détails juridiques | Branche | Droit administratif, Droit de la responsabilité | Importance | Un, si ce n'est le plus important des grands arrêts du droit administratif | Chronologie

Considérant que les pourparlers ne sont qu’une phase de négociations, le juge ne peut obliger les parties à continuer de négocier en vu de l’exécution forcée d’un contrat, il apparait légitime de condamner le fautif à des dommages et intérêts. Par un arrêt du 26 novembre 2003 la Troisième chambre civile de la cour de cassation s’accorde avec le chambre commerciale en posant le principe selon lequel, n’étant pas en présence d’un accord ferme et définitif, le préjudice ne peut être constitutif d’une perte

» n’a aucune originalité et se confond avec l’exécution du contrat. - Solutions de la jurisprudence. La jurisprudence est des plus confuses : par un arrêt de novembre 2002, la Première chambre civile a exigé que la preuve d’un préjudice était une condition à la mise en oeuvre de la responsabilité contractuelle (cf. infra) ; mais, par un arrêt du 4 décembre 2002 (RDC 2003, p. 54, obs. PH. STOFFEL-MUNCK ; RTD. civ. 2003, p. 711, obs. P. JOURDAIN), la Chambre sociale de la Cour a solennellement décidé