Arrêt Cass 2ème Civ 9 Octobre 1996

l’unicité du patrimoine que d’attenter à une théorie doctrinale constituée par Aubry et rault. Cette eurl unipersonnelle a connu un succès Le 12 juillet 1999, la SAS peut être unipersonnelle La société européenne, qui date d’un règlement du 8 octobre 2001, peut également l’être. Ainsi que l’EARL (entreprise agricole). 4) Les sociétés de droit et société créée de fait a) La société de droit L’immense majorité des sociétés sont des sociétés de droit. Cela signifie qu’elles sont voulues

consacrés. Dans une première partie, nous recenserons rapidement les principaux types d’intervention, puis dans les deux parties qui suivront, nous analyserons les traits distinctifs de leur régime juridique, en abordant successivement leurs sources (2ème partie) et leur contentieux (3ème partie). PREMIERE PARTIE : Bref inventaire des principaux champs de l’intervention économique. Les personnes publiques peuvent exercer sur les activités économiques des influences multiples, qu'il

qui ont une portée sociale. Obligation = verbe « ligare » => lier => lier en vue de quelque chose. 1ere acception : obligation = lien juridique et non le devoir en tant que tel (obligation pour le créancier de contraindre son débiteur) 2eme acception ( + étroite) : obligation = la dette ( le débitum). C'est la face passive de ce rapport de droit qu'est l' obligation. En droit, il faut l' obligation en tant que telle plus le débitum pour que l' obligation soit entière. §2 : la

moment des faits. S’ils ne parviennent pas à démontrer qu’il n’y a pas abolition du discernement mais s’il y a une abstraction du discernement la jurisprudence en tient compte lorsque la peine est fixée. La Cour de cassation a rappelé dans un arrêt du 5 septembre 1995, ce n’est pas une cause de diminution de peine, elle en tient seulement compte. Ca ne signifie pas que celui au moment des faits a aboli, son discernement ne sera pas pris en charge. Ce texte doit être lu à la lumière de deux

interdisait la vente avec bénéfice). Le droit commercial musulman favorisera le recours aux contrats multilatéraux, la pratique bancaire (lettre de crédit = hawala et chèque = sakk) 8 et l’usage des effets de commerce telle la lettre de change (Saftaja) 9 et les titres de transport : Sarbal ou Saranbal. L’absence de formalisme amènera les musulmans à autoriser la vente de la chose d’autrui, si cette vente est ratifiée ultérieurement par son propriétaire. Ce genre de souplesse est à l’origine de la mise

les contrats. Toutefois, si le droit intègre dans ses règles une dose de morale, ce n’est qu’avec l’objectif d’assurer l’ordre social. Inversement, d’autres règles vont à l’encontre de la morale. Par exemple, depuis un arrêt de la cour de cassation de l’assemblée plénière du 29 octobre 2004, une libéralité consentie à l'occasion d'une relation adultère n'est plus nulle comme ayant une cause contraire aux bonnes moeurs. Par conséquent, les règles de droit et les règles morales sont bien deux catégories

9/23/2014 Cours d'introduction au droit français + coursdedroit Follow me Join now Accueil Vos cours Actualité juridique Licence 1 Licence 2 Licence 3 Introduction au droit Master 1 CRFPA Rechercher dans le site Publicité Facebook cours-dedroit.net J’aime INTRO AU DROIT CIVIL Ce cours d'introduction au droit traite des thématiques suivantes : histoire du droit français, les sources du droit français (loi, jurisprudence,coutume, doctrine), les grandes

concurrence En France, jusqu’en 1945, très peu de règles ont été prises et concernaient seulement les prix et certaines les cartels (regroupement d’entreprises dans un même secteur d’activités en vue de fixer des prix hauts). Au lendemain de la 2ème guerre mondiale, la reconstruction économique s’impose et la France opte pour des réglementations strictes = ordonnance du 30 Juin 1945. En 1953, la France s’intéresse un peu plus aux vertus de la concurrence et décide de libéraliser un peu la fixation

d’abord déterminer les actes de commerce. Ex : l’achat pour revendre est un acte de commerce, c’est l’acte de commerce par excellence. Est donc commerçant celui qui fait cela à titre habituel. Mais cela ne fonctionne pas comme ça, l’article L 110-1 9° dit que la loi « répute acte de commerce toute obligation entre négociants, marchands et banquiers », ce qui veut dire que toute obligation entre commerçant est un acte de commerce. Il y a un problème : la démarche est ici inversée ; on est en pleine

rapidement, se sont instaurées des pratiques qui ont suscité des questions au sein de cette répartition. 1) Dans les années 1960, De Gaulle avait pris l’habitude de signer des décrets délibérés en Conseil des Ministres. Le CE s’est prononcé par un arrêt du 27 avril 1962 SICARD et autres (pg 280). En vertu de la jurisprudence SICARD, la signature du Chef de l’Etat ne rend pas illégaux les décrets non délibérés en Conseil des ministres. Ces derniers doivent revêtir, conformément aux origines constitutionnelles