Arrêt Du 25 Février 1998

TD 4 - LA PROTECTION DU CONSENTEMENTFiche n°1 : Cour de Cassation, Chambre civile 1, 22 février 1978, 76-11.551L’arrêt présenté est un arrêt de cassation de la première chambre civile de la Cour de cassation en date du 22 février 1978 relatif à l’erreur concernant l’authenticité d’une œuvre d’art. En l’espèce, deux époux ont fait expertisé un tableau qui a été attribué à « l’école des Carrache » en vue d’une vente confié à un commissaire-priseur. Toutefois, la Réunion des Musées Nationaux a exercer

par deux personnes publiques fait naitre des rapports de droit privé, alors il ne peut pas être administratif. Ce principe est appliqué de la même manière pour les contrats conclus entre une personne publique et une personne privée. De fait si cet arrêt voulait apporter une simplification de la qualification, il appelle en réalité le juge à vérifier systématiquement si l’objet du contrat fait naitre des rapports de droit privé, c’est donc s’interroger sur le critère matériel à savoir si l’objet du

lois dans l'espace : lorsque le litige met en jeu plusieurs lois de pays différents. En matière de responsabilité délictuelle, il est admis que la loi applicable est celle du lieu du délit ou bien celle du lieu où le dommage a été subi (CC° 25 mai 1948, arrêt Lautour) En matière de responsabilité contractuelle, c'est la loi choisie par les parties au moment de la conclusion du contrat (= "loi d'autonomie"), d'après la Convention des lois relatives aux obligations contractuelles. II. La mise

toutes les Personnes contre les disparitions forcées. 18 2. Le Statut de la CPI de 1998. 20 3. La convention pour la protection de toutes les Personnes contre les disparitions forcées. 21 B. Une évolution encore insuffisante. 25 Conclusion.

prêt de Paulina. 3. Paulina aurait-elle pu récupérer ses gains si Alexeï avait joué dans un casino légal?MAJEURE : Selon une jurisprudence du 8 mars 1963, il n’y a pas d’obligation naturelle pour une cause qui est illicite. Arrêt du ??? 1980 cette prohibition ne vaut pas si le jeu n’a pas été exercée dans un lieu habilitée. MINEURE : En l’espèce, Paulina a donné de son plein gé la somme d’argent à Alexeï qui est aller joué dans un appartement loué. CONCLUSION : Par conséquent

relativement à l’arrêt DANGEREUX, où la justice a dit qu’il fallait un intérêt légitime juridiquement protégé et que cet intérêt n’existait pas dans la demande formulée par une concubine suite au décès de son concubin. (Arrêt de 1959). La doctrine processualiste a critiqué cet arrêt, estimant que la jurisprudence confondait la recevabilité de l’action et le fond du litige. Par la suite, la cour de cassation a renversée cette situation en donnant raison à la concubine, lui reconnaissant ainsi, un intérêt

d'État avait augmenté, les actions intentées contre les aides illégales étaient encore relativement rares. Autrement dit les recours devant le juge national restaient embryonnaires. Afin de changer cela, la Commission a publié une communication le 25 février 2009 procédant ainsi à un réexamen complet de celle de 1995 relative à la coopération avec les juridictions nationales. Le but de cette nouvelle communication est double : d'une part expliquer le rôle des juridictions nationales tel qu'il a été

peut être une abstention (s’abstenir de faire quelque chose). Exemple : laisser un enfant près du feu est une faute d’abstention // faire mal à quelqu’un est un acte positif. L’un des arrêts les plus célèbres sur la faute par omission est l’arrêt Branly rendu par la Chambre civile de la Cour de cassation le 27 février 1951. M. Turpin, historien, s’abstient systématiquement et volontairement de mentionner les travaux de M. Branly lors d’une intervention faite à la radio. La Cour de cassation considère

notion de faute a été quasiment gommée. Les articles 1386-1 et suivants : mise en place d’un système de responsabilité du fait de produits défectueux. - Loi du 19 mai 1998 : régime qui n’est plus fondé sur la faute accompagné d’un mouvement jurisprudentiel. ==} Arrêt Gender du 13 février 1930 : A partir de cet arrêt la jurisprudence s’est orienté vers un régime de responsabilité du fait des choses qui été détaché de toute idée de faute. La raison c’est l’indemnisation des victimes : dans

concernant les contrats à durée déterminée d’usage a connu une évolution en trois temps. a) Dans un premier temps, à compter de 1998, La Cour de cassation a d’abord été amenée à préciser que les secteurs visés par l’article, secteurs correspondant à l’activité principale de l’entreprise et non celle du salarié (Cass. soc. 25 février 1998 n° 95-44048). Puis une série de 4 arrêts rendus le 26 novembre 2003 la Chambre Sociale de la Cour de Cassation est venue fixer le régime juridique applicable aux CDD