Art Dramatique De Molière

disponibles en version papier au CDI. Demander à Mme Gendras. Certains se trouvent sur le site Magister : http://www.site-magister.com/ Les textes donnés à commenter son notés [C] ►2004 : ES/S : Le théâtre : Texte et représentation. Texte A : Molière, L’Avare, Acte II, scène 5, 1668. Texte B : Samuel Beckett, En attendant Godot, Acte I, 1953. Texte C : Eugène Ionesco, Rhinocéros, Acte I, 1959.[C] Annexe : Alain Satgé, « Mises en scène » de En attendant Godot, 1999. ÉCRITURE I. Après avoir

à défendre le parti des modernes. Il n’y a pas besoin de présenter la belle au bois dormant, le petit chaperon rouge, ou cendrillon. Le conte littéraire du XVIIème siècle est comme les autres genres moralistes: brièveté de la forme, fausse naïveté, art du sous-entendu, passage de la culture populaire à la littérature savante, le conte propose une morale dont il faut souvent se méfier car le récit qui illustre en déborde toujours de l’enseignement explicite, plus équivoque, traversé par les archétypes

l'éthopée qui consiste à peindre des personnages ou des assemblées de personnages en peignant aussi leurs mœurs et leurs passions. Dans les Caractères, la tradition théâtrale n’est pas loin ; et l’on pourrait rapprocher l’œuvre de La Bruyère à celle de Molière. Alors, on cherche à savoir en quoi les Caractères de Jean de la Bruyère peuvent-ils se rapprocher du genre théâtral ? Pour cela, dans une première partie on énoncera « les vices des Hommes » puis deux sous parties se distingueront, une première qui

XVII e : Tragédie classique : Racine Tragédie Baroque Corneille / illusion comique Comédie classique Molière XVIII e : Marivaux : comédie psychologique Beaumarchais : comédie philosophique/ tirade de figaro XIX e : Victor Hugo : inventeur du drame romantique Musset : Lorenzaccio 1824 XX e : année 30’ comédie : Le Vaudeville : Feyde au Labiche 40’, 45’ : théâtre politique : Anouilh : Antigone 45’, 55’ : théâtre de l’absurde : XXI e : contemporain : Texte 1 :

Dissertation:  Donc certes le théâtre est un art du spectacle qui a pour vocation première d'être représenté... mais as-tu lu Spectacle dans un fauteuil de Musset (sauf erreur de ma part) ? Ou bien encore Lorrenzacio du même auteur ? Dans cette dernière pièce la multiplicité des personnages et des lieux rendent quasi impossible la mise en scène, de plus la longueur de certaines scènes peuvent être un calvaire à voir...  Ce qui doit t'amener à une réflexion sur l'unité d'action, de lieu et de

se développent, afin de créer des « effets spéciaux ». L'Église estime que la foi doit être l'affaire des doctes, et non des acteurs. Ainsi, malgré quelques résistances, le théâtre sombre dans le déclin. Il faudra attendre une redéfinition de cet art pour qu'il reprenne consistance.  Au Moyen Âge, il existe deux types de théâtre : le théâtre religieux et le théâtre profane. Le théâtre religieux C'est un théâtre qui est en liaison avec les paroles de la Bible, pour instruire les gens, car au Moyen

mettant à la place des personnages, en les imaginant, en vivant leurs aventures. Divers genres de récits permettent d'atteindre ce but. D'une part, il y a la poésie, qui est employée comme une échappatoire pour fuir la réalité. La poésie est un art qui repousse les limites du réel, qui fuit la réalité pour laisser place au rêve, et au sentiment. En effet, Paul Verlaine, dans Mon rêve familier nous raconte l'histoire d'une femme imaginaire dont il rêve et dont il est amoureux. Cependant, il ne

Ouvrages consultés : Diderot, Paradoxe sur le comédien P. Larthomas, Le langage dramatique PUF M.C. Hubert, Le théâtre Armand Collin M. Lioure, Lire le théâtre moderne Dunod P. Brook, oublier le temps Seuil Un genre conventionnel:1.Au dix-septième siècle, les auteurs reprennent les règles aristotéliciennes : ·la vraisemblance : « l’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas » précise Boileau dans son Art poétique (chant III).·La règle des vingt-quatre heures qui, en réduisant le temps

crédibles. Dans Bérénice de Jean Racine, la vraisemblance veut que Titus n'épouse pas Bérénice, comme cela s'est produit dans l'histoire romaine. Toutefois tous les personnages n'ont pas pour autant existé. [La vraisemblance est] l'essence du poème dramatique, et sans laquelle on ne peut rien faire ni rien dire de raisonnable sur la scène. Abbé d'Aubignac Pratique du Théâtre 1657 Cette citation montre à quel point la vraisemblance était jugée indispensable dans la tragédie classique au XVIIe siècle.

qu'on accuse du vol. Arrive alors le vieillard, Anselme qui doit épouser Elise. Coup de théâtre : c'est le père de Valère, et celui de Mariane, la fiancée de Cléante. Dans les dernières scènes du cinquième acte, comme d'habitude dans les pièces de Molière (1622-1673), tout s'arrange : plus d'obstacles aux deux mariages des jeunes amants et enfin Cléante rend à Harpagon le cassette que son valet La Flèche avait volée. TEXTE Harpagon, un vieil avare, vient de se rendre compte qu'on lui a volé sa