Art sacré

unique. Paragraphe 2: Les manifestations du pouvoir: A- Les manifestations initiales: D'un coté le pouvoir a un aspect rituel et sacré et de l'autre un caractère personnel: l'aspect rituel et sacré: cela signifie que le pouvoir est lié directement à des cérémonies religieuses (ou magiques) on peut évoquer l'exemple de l'Egypte ancienne où le lien entre le sacré et le pouvoir sont incontestables. On voit à travers les aspects conservés: les statues ou les pyramides que le détenteur du pouvoir

terre cuite. Dès la fin de l’époque mycénienne, avec l’évolution de la mythologie grecque, le jeune Apollon semble avoir supplanté l’ancienne déesse. Delphes poursuit sa croissance, et son extension s’amplifie et s’accélère ; partout les enceintes sacrées gagnent sur les habitats primitifs (foisonnement d’ex-voto en toute sortes, petits bronze en statuettes et surtout des trépieds ornés de têtes de griffons indispensables au culte, qui resteront l’offrande delphique par excellence). L’archéologie

conçu le pouvoir royal et quelle est l’importance de l’Eglise dans l’exécution de celui-ci ? Nous étudierons en premier lieu la sacralisation de l’autorité et de la personne du roi à travers l’explication de cette autorité sacrée et l’idée selon laquelle le roi lui-même est sacré puis dans un second temps, nous expliquerons la soumission naturelle des sujets au roi à travers le respect de la religion et le devoir de la conscience. I) La Sacralisation de l’autorité et du roi lui-même

détruit l’Irminsul (arbre sacré dont branches soutienne voûte céleste). - 782 : révolte de Widukind → répression : - déplacements de populations. - massacres de prisonniers. - baptêmes forcés. - menaces de mort. B – Une nouvelle géographique du sacré. La dilatation

mystérieux. Un sens qui renvoie à la volonté de Dieu et qui est inaccessible au profane. Dans ce sens, l'interprétation exégétique est un travail d'initiation au sens sacré d'un texte religieux. Donc ce qui est sacré se manifeste toujours de manière ambigu ou non déchiffrable au non initié. L'interprétation a pour objet le sens sacré de certains textes ou de certains symboles. L'origine de l'exégèse se situe entre la difficulté à contextualiser des éléments anciens et de textes qui se présentent

mettre les humains en relation avec des divinités. Dans les religions dites monothéistes (judaïsme, christianisme, islam), la divinité est représentée par un Dieu unique considéré comme l'être suprême qui est créateur de tout ce qui existe. Dans "Le sacré et le profane", Mircéa Eliade écrit: "La majorité des "sans religion" se comporte encore religieusement,à leur insu. En effet, l'homme moderne qui se sent et se prétend areligieux dispose encore de toute une mythologie camouflée et de nombreux ritualismes

Commentaire de la déclaration d’Henri IV du 7 janvier 1599 « Paris vaut bien une messe », voici résumé en une expression, qui lui est d’ailleurs attribuée lors de son sacre à Chartres, la position d’Henri IV, face au contestataires qui lui refusent la reconnaissance de son accession au trône de France. S’il faut pour accéder à Paris, avoir la religion catholique, qu’il en soit ainsi. Il entre à Paris le 22 mars 1594, et décide d’entreprendre une mission de pacification en France, pour apaiser

Le texte soumis a notre commentaire est de nature historique. En effet il s'agit du sacre de Philippe Ier, c'est a dire d'une cérémonie religieuse où l'on couronne un souverain ou un évêque. Philippe Ier en 1059 a été sacré par Gervais, archevêque de Reims. Gervais est membre du Conseil de régence après le décès d'Henri Ier, avec Baudoin V de Flandres, beau frère et tuteur de Philippe Ier, et Anne Kiev, 2ème épouse d'Henri. Celui-ci connaît une belle carrière ecclésiastique en étant évêque du Mans

au contraire pour lui signifier que le lieu dans lequel il souhaite accéder est un lieu saint et pur réservé à des hommes dépourvus de toute vanité, et de tout orgueil. La porte du temple est le lieu d’accès qui marque la limite entre l’enceinte sacrée et le monde profane. Elle est située à l’occident, là où le soleil disparaît, entre les colonnes J et B. La porte est un passage obligé pour le récipiendaire dûment préparé, ni nu, ni vêtu, avec une corde au cou ou les mains enchaînées. Ce symbole

fondateur, désignent respectivement la confrérie (tariqa, litt. « voie ») et ses disciples (fuqarâ, sing. fakir, litt. « pauvre »). À l’origine clairement orthodoxe, la confrérie des Aïssâwa est devenu un phénomène social complexe, à la charnière du sacré et du profane, du domaine privé et public et des cultures savantes et populaires. Les Aïssâwa sont célèbres dans le monde arabe pour leur musique spirituelle caractérisée par l'utilisation du hautbois ghaita (syn. mizmar, zurna), de chants collectifs