Arts Mythes Et Religions

liées à l'agriculture, comme les rituels représentant le cycle de la mort et de la renaissance du dieu Osiris (symboles des cycles saisonniers du Nil). | | Les Grecs admiraient la danse et l'ont associée aux diverses activités liées à leurs arts, leur religion et leur philosophie. La pyrrhique, danse martiale, faisait partie de l'entraînement des soldats. La présence de la danse dans le théâtre grec provient sans doute des danses à caractère religieux, en particulier celles en l'honneur de Dionysos

l'intérieur d'un grand temple de marbre, dont la coupole s'ouvre sur le ciel, une assemblée de nombreux personnages, en discussion, par groupes, sous la protection de deux statues géantes, placées dans des niches : - Apollon, dieu grec de la Beauté et des Arts, qui porte la lyre, - Athéna, déesse grecque de la Sagesse, protectrice d'Athènes, qui tient en main le bouclier à tête de gorgone. Les personnages : 1 - Platon, montre le ciel ou monde des idées, il tient le Timée dans sa main gauche

l'imposteur), les dédicataires de ses poèmes (l'ange Heurtebise), et les inspirateurs de sa vie (le pilote Roland Garros, tué en 1918 ; l'officier de fusiliers marins Jean Le Roy, lui aussi mort au combat; Raymond Radiguet, Jean Bourgoint qui entrera en religion et sa sœur qui se suicidera; le boxeur noir Al. Brown; la princesse russe Nathalie). Passé l'âge de quarante ans cependant, Cocteau établira des rapports plus détendus avec « les anges ». Les jeunes protégés feront figure de fils adoptifs :

Rompre avec l'ethnocentrisme pour nouer avec l'anthropologie et ainsi pouvoir parler et découvrir d'autres sociétés sans être tenté d'établir ne seraitce qu'implicitement une hiérarchie entre les civilisations. Levis Strauss a montré en étudiant les mythes que ces sociétés regorgeaient d'un potentiel artistique d'autant plus riche que les nôtres, voire même que le niveau de sophistication des discours religieux n'ont rien à envier à notre société. Non seulement on ne hiérarchise par mais cela évite

où les habitants lui offrirent une cérémonie et une sépulture. Zeus, en hommage à ce musicien très doué, transporta l'âme d'Orphée aux Champs-Elysées. Le sens de ce mythe a inspiré quelques religions comme l’Orphisme et le christianisme. En réalité le mythe peut-être interprété différemment selon la religion et la croyance de chaque personne. L’amour est un principe commun à chaque Homme, nous aimons tous sans exception, même le plus insensible est à un moment prit de ce sentiment, il n’existe

siècle, jusqu’à la moitié du XVIème et se caractérise par le désir de mêler deux représentations différentes du monde : la culture antique et le christianisme (exemple des tableaux de Michel Ange). Cette période est caractérisée par une abondance des arts liée au mécénat. Il s'agit d'un soutien financier apporté aux artistes et qui engendre (chez eux ou de leur part un grand effort de créativité (chez les artistes). De plus, c’est à partir de cette période que les artisans signent leurs œuvres, c’est

temps, le Miroir est au centre des préoccupations de l'homme. Les mutations typologiques qu'il subit à travers les ages, en raison des techniques et matériaux employés pour le fabriquer, influenceront la façon de l'utiliser dans la littérature, les arts, et les sciences. Mais ce qui nous intéresse, c'est la richesse symbolique du Miroir. Que de spéculations se rattachent au reflet d'un visage, d'un rayon de soleil ou de la lune, dans une flaque d’eau ou un fragment de cristal de roche

sera repris dans l’une de ses œuvres maîtresses : Anthropologie structurale (1958 - 1973). En 1948, à Paris, il est nommé successivement sous-directeur du musée de l’Homme, puis directeur d'études à l'École pratique des hautes études (chaire des religions comparées des peuples sans écriture). La liste de ses autres ouvrages est considérable. Parmi les principaux que nous n’avons pas encore cités : le Totémisme aujourd'hui (1962), la Pensée sauvage (1962), Mythologiques (I – le Cru et le Cuit, 1964

restent opaques, rebutants, voire complètement incompréhensibles, nous avons besoin pour les comprendre de les resituer dans leurs contextes et leurs combats, que ceux-ci soient proprement littéraires ou qu'ils appartiennent à l'Histoire (guerres de religion par exemple). D'un autre côté, un écrivain n'est jamais seul, et son oeuvre se nourrit de ses lectures : il subit des influences, qu'il les revendique ou non, il influence d'autres artistes, s'oppose à certains... Tout ce réseau de sens est impossible

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LA NÉGRITUDE ET L'ESTHÉTIQUE DE LÉOPOLD SÉDAR SENGHOR DANS LES ŒUVRES DE L'ÉCOLE DE DAKAR MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉTUDES DES ARTS PAR MARIE-HÉLÈNE L'HEUREUX MAI2üü9 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire et de diffuser