Aspects Libertinage Moeurs

Commandeur, rapport avec la religion). Cependant, il actualise la pièce : Dom Juan devient un grand seigneur du 17ème et un libertin : esprit rationaliste, qui ne croît que ce qu'on lui prouve et s'oppose donc à la religion (libertinage d'esprit). Il est aussi un libertin de mœurs, menant une vie anticonformiste. c. la réception de la pièce La pièce fut très mal reçue, car Molière ne condamne pas franchement Dom Juan. A la Cour, la réaction est violente ; malgré le soutien de Louis XIV, la pièce

pour but de faire rire le public. Nous pouvons nous baser sur la mise en scène de Don Juan par Daniel Mesguiche ou dans l'Acte III , scène II , Sganarelle est déguisé en infirmière . Mais le registre comique est aussi utilisé pour le satire des moeurs du XVIIè siècle. Nous savons que Don Juan , le personnage principal de la pièce , incarne le rôle d'un libertin , il se moque complètement de la religion , nous pouvons le voir dans l'acte III , scène II , la scène du pauvre , avec ce comportement

Stalactites, Les Princesses La littérature engagée On dit d’une œuvre qu’elle est engagée lorsqu’elle présente certaines opinions ou prises de position de son auteur sur un sujet donné. Par le biais de son texte, un écrivain peut critiquer certains aspects de la société, dénoncer une situation qui le dérange ou encore défendre une cause qui lui tient à cœur. Parmi certains exemples marquants se trouvent Victor Hugo qui critique souvent la peine de mort,  Émile Zola qui prend parti dans l’affaire Dreyfus

Molière est célèbre par ses multiples pièces comiques qui lui valent alors la protection du roi. Il n’hésite pas à critiquer les mœurs et exposer les défauts de la société de son époque, c’est pourquoi certaines de ses pièces ont été confrontées à la censure. C’est le cas de Dom Juan, pièce écrite en 1665. Cette pièce met en scène un noble libertin d’esprit et de mœurs. Inconstant par principe, il rêve d’aimer et de posséder toutes les femmes sans distinction sociale. Pour cela, il les conquiert

relève du chantage religieux.   _ interjections « Ah ! Ah ! » (l. 3-27) et « Eh ! » (l. 8) I moquerie, aucune pitié pour le mendiant : c'est un libertin sans morale.   _ impératifs « prie-le » (l. 8), « jure » (l. 36), « prends » (l. 37) I libertinage religieux : il veut obliger le pauvre à commettre un vice.   _ vocabulaire du bien-être matériel : « habit » (l. 8) , « être à son aise » (l. 16-17), « Louis d'or » (l. 31) I importance apporté au bien-être matériel et non à la religion.  

libertin, séducteur, refuse la morale traditionnelle. Sganarelle dont la foi tourne à la superstitution est au contraire un défenseur de cette morale traditionnelle. NB: Thèmes essentiels ---> Plusieurs thèmes se succèdent ou se mêlent: a. le libertinage amoureux est évidemment présent avec les problèmes du mariage qui lui sont liés. Il donne lui à trois intrigues: Dom Juan affronte sa femme Elvire qu'il a répudiée, il tente d'enlever une fiancé dont il s'est brusquement épris, il propose le mariage

; acte IV, 7 scènes ; acte V, 6 scènes). Principaux personnages: Ø     Harpagon: il est le personnage principal. Ce maudit vieillard est devenu une figure légendaire et emblématique dans l'œuvre de Molière. On a maintes fois citer les multiples aspect de son vice, l'avarice : l'appât du gain qui fait de lui un redoutable usurier, l'amour de la richesse qui le transforme en tyran domestique, la fascination pour l'or, son obsession et la peur du vol.  Nombreux sont les moralistes à le condamner:

français. Sa riche expérience de la vie, faite notamment de voyages à l'étranger, de libertinage et de débauches, l'a certainement mené jusqu'à l'Académie Française en 1634. Ses œuvres sont centrées sur la critique de la préciosité, courant littéraire de la première moitié du XVIIème siècle qui repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue et par la dignité des mœurs. Elles reflètent à la perfection l'esthétique baroque : exubérance des formes, fantaisie

séduit l’imaginaire du XVIIIème siècle par rapport au monde sauvage. C’est le problème du libertinage amoureux, qui s’est également posé dans la littérature avec des œuvres comme Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon ou Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Le discours d’Orou est d’ailleurs lancé par le mot « libertin ». Diderot s’inspire donc d’un sujet traditionnel du discours sur les mœurs sauvages : la sexualité. Mais son approche est originale : il n’y a pas de pittoresque

l’imaginaire du XVIII ème siècle parrapport au monde sauvage. C’est le problème du libertinage amoureux, qui s’est également posé dans la littérature avec des œuvres comme Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon ou Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Le discours d’Orou est d’ailleurs lancé parle mot « libertin ». Diderot s’inspire donc d’un sujet traditionnel du discours sur les mœurs sauvages : la sexualité. Mais son approche est originale : il n’y a pas de pittoresque