Assistance éducative

ASSOCIATIONS EDUCATIVES, HUMANITAIRES, INTERNATIONALES, SANTE 2009/2010 ACCUEIL D'ENFANTS (HANDICAPES, VALIDES) ACCUEIL JEUNES ACTIVITÉS JEUNES ACTIVITES LOISIRS ENFANTS MALADES ACTIVITES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES AIDE A LA PETITE ENFANCE AIDE A L'ENFANCE MALTRAITEE AIDE ALIMENTAIRE Ass. Sports et Loisirs du Centre Hellio Marin de Plérin "ASL" Loisirs Pluriel de Saint-Brieuc Auberge de jeunesse hébergement Le Cercle MJC Plateau Animations loisirs enfants hospitalisés Les petits débrouillards de

construction d'origine devenant le bâtiment administratif. Le foyer commença à baser son action éducative sur l'extérieur avec des patrons de la région et les établissements scolaires environnants. Cette évolution entraîna l'abandon de l'exploitation agricole. En 1989, le directeur du foyer Oberholz, avec l'accord du conseil d'administration, transforma la dénomination « home de semi-liberté » en « foyer d'action éducative spécialisée », afin de mettre fin à l'image répressive contenue dans l'ancienne terminologie

principales orientations de la justice des mineurs encore en vigueur aujourd’hui: privilège de juridiction, priorité donnée à l’éducatif, présomption d’irresponsabilité. L’ordonnance du 23 décembre 1958 complète ce texte en étendant les mesures éducatives aux mineurs en danger. Par la suite, l’ordonnance connaîtra plusieurs modifications mais le droit pénal des mineurs ne sera plus considéré comme un intérêt majeur jusque dans les années 1990. Depuis les années 1990, de nombreuses voix se sont élevées

essentiellement d'appuyer certains centres de santé en volontaires (médecins nutritionnistes) afin que ceux-ci puissent faire profiter leurs compétences, techniques, expériences pour le bon fonctionnement de la structure. PROJET VI : ANIMATION SOCIO EDUCATIVE AVEC DES ENFANTS HANDICAPES Ce projet de long terme est initié par EVA-TOGO en partenariat avec la structure ENVOL afin de pallier au manque du personnel enseignant dans les écoles des handicapés mentaux au Togo (ENVOL). Les enfants handicapés

Scolarisation en établissement médico-social Dans tous les cas où la situation de l'enfant ou de l'adolescent l'exige, c'est l'orientation vers un établissement médico-social qui constitue la solution permettant de lui offrir une prise en charge scolaire, éducative et thérapeutique adaptée. Le parcours de formation d'un jeune handicapé au sein de ces établissements peut : se dérouler à temps plein ou à temps partiel, comporter diverses modalités de scolarisation possibles. Celles-ci s'inscrivent toujours dans

les mineurs de plus de 13 ans. En pratique, ce sont principalement des mineurs de plus de 15 ans qui subissent des peines d'incarcération (dans des quartiers pénitentiaires spécialisés), lesquelles sont généralement décidées lorsque les mesures éducatives (notamment, les mesures d'éloignement du mineur dans le cadre d'un placement) ont été jugées inefficaces, notamment en raison d'une récidive. Voici schématiquement les catégories de mineurs que l'on peut retrouver au sein de l'ordonnance du 2 février

troisième cour d'appel qui est obligée de s'incliner face à la cour de cassation. Juridictions pour les mineurs: Juge des enfants qui ne peut que prononcer une admonestation et une remise aux parents ou il peut placer les enfants : Assistance éducative en milieu ouvert (AEMO). Tribunaux pour enfants : juge les délit des enfants de moins de 16 ans.(peine diviser par deux). Cour d'assise des mineurs : enfants de plus de 16 ans.

Auditeur de Justice Promotion 2005 REMERCIEMENTS Je tiens à remercier chaleureusement, pour leur accueil, leur sympathie, leur grande disponibilité et leur sens du débat, toute l’équipe éducative du CER : Rachid, Marc, Lénaïc, Alain, Laurent, Gaël, Sylvain, Moustapha, Fred, José, Carole, Catherine et Corinne, avec une mention particulière pour Lénaïc, Marc et Bertrand qui m’ont épaulé lors du camp équitation. Ils m’ont tous beaucoup apporté

les inconvénients → atténuations légales ou jurisprudentielles. Usages des délits distincts en incriminant les provocations. C- Les conditions de la responsabilité Article 121-1 : « est complice la personne qui sciemment, par aide ou par assistance, a facilité la préparation ou la consommation de l’infraction, ou qui par don, promesse, menace, ordre, abus d’autorité ou de pouvoir, aura provoqué à l’infraction, ou donner des instructions pour la commettre ». 3 conditions : * Il faut un

adaptée aux Alternatives à l’hospitalisation Avantages ♦ Avantages pour l’équipe soignante : - collaboration étroite patient médecin traitant - Prise en charge globale du patient ♦ Avantages pour les caisses d’assurance besoins - Démarches éducatives (phase palliative) ♦ Avantages pour la famille : - contact permanent possible - Evite déplacements à l’hôpital HUGONNET Marlène, IFA, mai 2011 maladie : - moins onéreux que prise en charge hospitalière - Moins d’IAS HUGONNET Marlène, IFA, mai