Association de consommateurs

RAPPORT La protection du consommateur : rationalité limitée et régulation ......................................................... 7 Xavier Gabaix, Augustin Landier et David Thesmar 1. Introduction .......................................................................................... 7 2. Principes ............................................................................................ 12 2.1. Les types de rationalité limitée utiles pour la protection du consommateur ...................

européennes et nationales). Lors de sa création, le groupe doit respecter certaines formalités dont celle de déposer ses statuts (acte constitutif d’une société ou d’une association rédigé par écrit qui pose les objectifs et les règles de fonctionnement de ladite organisation) auprès des autorités compétentes (préfecture pour les associations, greffe du tribunal de commerce pour les entreprises). II – Les contraintes de l’action collective : (doc page 11) Tous les groupes organisés sont soumis à des

sont la lutte contre la pauvreté, contre les inégalités, contre l'exclusion et la recherche de l'équité. Comment l'état et les associations ont-ils introduit le développement durable dans la vie quotidienne des consommateurs ? Tout d'abord nous verrons l'éco-responsabilité, puis ensuite la démarche des associations Pour commencer, pour pouvoir sensibiliser le consommateur, il faut le mettre face à une situation particulière, en fonction d'un environnement physique et psychologique particulier.

économiques. Le droit de la consommation a pour principal objectif de protéger le consommateur subissant un déséquilibre contractuel face au professionnel. Il ne s’applique qu’au seul consommateur. Le déséquilibre est directement lié à la différence de puissance économique et d’informations entre le professionnel et le consommateur. I – NOTION DE CONSOMMATEUR → distinguer professionnel non professionnel consommateur Un consommateur est un contractant qui conclut un contrat sans lien avec son activité professionnelle

commerciales……………………………………………...9 IV. Les attentes des consommateurs……………………………11 V. La création de la valeur pour les consommateurs…………..13 1. la valeur perçue par le client……………………………..13 2. la proposition de valeur et sa livraison aux clients………14 3. les enjeux de la politique relationnelle…………………..15 4. actions et mesures et réductions des coûts………………16 VI. Droit et protection des consommateurs au Maroc………….17 Annexes…………………………………………………20

CONSOMMATION ET CONSOMMATEUR ETHIQUE : UNE ETUDE QUALITATIVE EXPLORATOIRE CONSUMPTION AND ETHICAL CONSUMER : AN EXPLORATORY QUALITATIVE RESEARCH Jean-Louis MOULINS1 Jean-François TOTI2 Résumé : Cette recherche met en évidence les aspects éthiques fondamentaux de la consommation, en s’appuyant sur une étude qualitative exploratoire. Quatorze entretiens semi-directifs ont été menés pour faire le lien entre l’éthique dans la consommation, la consommation éthique et l’éthique du consommateur. Une analyse

consommation que les Français réagissent le plus. Ainsi, depuis que la crise a commencé, 20% d'entre- eux disent acheter des «produits qui respectent l'environnement». 16% déclarent acheter des produits dont «une partie des bénéfices sera reversée à des associations à vocation humanitaire ou environnementale». Et 15% des sondés se tournent vers le commerce équitable (label Max Havelaar, etc.). Même si ces pratiques demeurent minoritaires, elles n'en reflètent pas moins l'émergence ou la diffusion d'une sensibilité

distinctifs d’éléments immatériels : la perception des consommateurs, la capacité de la marque à transférer de la performance et de la qualité aux biens et services qu’elle désigne. C’est l’ensemble des associations du consommateur : les attributs : la description objective des biens et services de la marque (ce sont les caractéristiques concrètes auxquelles le consommateur fait attention) les bénéfices : correspondent à la valeur que le consommateur accorde aux attributs (fonctionnels, symboliques)

et la question de pérennisation et de généralisation de ces infrastructures fait débat au sein de l‘exécutif et ravive des tensions dans le débat public. Le sujet des salles de shoot fait écho à la crispation politique et médiatique autour des consommateurs de crack de Stalingrad et la manière dont l’état et la mairie gèrent cette crise. Alors que le gouvernement à récemment tranché en faveur de la pérennisation des ces structures malgré une forte opposition du ministère de l’intérieure et d’un bon

sur la base des dispositions révisées remplaçant celles de la Résolution (59) 23, les activités menées et développées jusque-là en vertu de cette dernière – ces activités visant notamment : – à l’élévation du niveau de protection sanitaire du consommateur, dans l’acception la plus large du terme, y compris une contribution constante à l’harmonisation – dans le domaine des produits ayant une répercussion, directe ou indirecte, sur la chaîne alimentaire humaine ainsi que dans les domaines des pesticides