Assonance

(« hurlait » v. 1 ne constitue qu’une assonance très riche par rapport à « ourlet » v. 4) et grâce à la très grande densité des rimes internes (« assourdissante » v. 1, « Soulevant, balançant » v. 4 préparent la rime DD ; « je buvais » v. 6, « éclair » v. 9, « m’a fait » v. 10, « verrai » v. 11, « jamais » v. 12, « tu ne sais » v. 13, « aimée » v. 14 reprennent AA’ et assonent avec EE, c’est-à-dire que quatre rimes, sur les sept, se trouvent ainsi directement en assonance, relayées par sept rimes internes

véracité de ses propos. L'utilisation du passé composé, tout à la fin, démontre que ce fait est accompli, achevé, la démonstration est close. Aucun futur n'est possible. Ainsi, cette Tzigane ouvre et ferme le poème par ses prédictions, avec une assonance en « a » qui prouve encore une fois le lien indéniable entre ces deux vers. Il n'y a donc aucun échappatoire possible, le texte est clos, scellé par la prédiction de cette étrange femme. Il est temps de comprendre ce qu'a a donc prédit la Tzigane

musicalité des mots  :la poésie joue sur la sonorité des mots, leur musique par l’intermédiaire des assonances, allitérations, de l’harmonie imitative. « de la musique avant toute chose »disait Verlaine dans son Art poétique(I884)Verlaine assimile d’emblée la poésie à la musique v.1.Et la musique n’est pas pour lui dans la rime, pur jeu formel .A la rime,Verlaine préfère les assonances ou les allitérations qui répartissent la musique dans tout le vers. La musique,en effet, a pour but de suggérer

même phrase |- Le navire était noir, mais la voile était | | | |blanche | |ASSONANCE n.f. |Répétition d’une même voyelle dans un groupe |Assonance en [u] dans Je vous envoie un | | |de mots |bouquet de Ronsard : | |

cet animal, depuis l’Antiquité représente le mal et le vice. On peut en effet citer Adam et Êve dans l’ancien testament. Dans le texte, le premier vers sur le serpent est le vers 5 où commence une assonance qui se poursuit au vers 6 : « étendu, transi, gelé, perclus, immobile, rendu ». A cette assonance s’ajoute une gradation ascendante qui place progressivement le serpent de l’état simplement étendu à l’état de presque mort. Lorsqu’il est devant le foyer, il ressuscite et se réchauffe, action qui

1913 À Max Jacob ; Paratexte; Adressé au Monde de l’art Palais; richesse? Pouvoir? Grandiose? Monde Fantastique? Malédiction? V1 Palais de Rosemonde : rosemonde=femme ; Rêve=royaume Allitération en R «Vers» «Rosemonde» «Rêve» V2 Assonance en É «pensées» «pieds» «soirée» V3 Chiasme V4 allitération en R «chairs» «roses» «roseraie» (= endroit où on plante les roses) V5 «on» impersonnel Jardin : V6 concert joué par les grenouille = personnification V7 V8 Miroir s’est brisé

sonorités (allitérations : répétition d’un même son consonantique et assonances : répétition d’un même son vocalique : harmonie imitative)/ les rimes (répétition d’un même son à la fin de deux vers/ il existe des rimes internes ou intérieures) : - les allitérations en dentales et en [R] traduisent la souffrance, l’agression subie ex v 2 « J’ai chaud extrême en endurant froidure ». - allitération en [s] qui traduit la passion - assonance en [i] qui donne à entendre la douleur Une fois ces premières

jouer sur les formes, l'image d'unne courbe, une linge circulaire. Sensation visuelle (Qui suscite l'imagination). Question 2 : strophes de quintil en une phrase. L'alliteraiton en '' R '' qui permet d'insisté sur la fluidité du texte : Assonance en ''Ou '' instant sur le cercle en rondeur ; '' ce '' douceur de la femme. Lecture Analytique Part II La courbe de tes yeux est extrait du recueil Capitale de la douleur publié en 1926. l'avant dernier poème qui appartient

le dynamisme vient du rythme croissant 4/6, de l'enjambement du vers 1 au vers 2, des verbes d'actions et de mouvements. Tableau harmonieux avec la répétition du même schéma rythmique, des échos sonores par le biais des rimes, allitérations et assonances (en [a] et [oua]). + contraste entre blanc et noir. II- Vocation métaphorique de la nuit et de l'aube – – - Personnification des éléments naturels : – Nuit: sujet de 4 verbes d'action : « amassait », « entrer », « fuyant », « chassait » personnification

s’accompagne d’une recherche de correspondance avec le sens du passage. A ce titre : QUESTION : Quelles sonorités se répètent dans le passage suivant : vers 16 et 17 : Cueillez, cueillez votre jeunesse ; Comme à cette fleur la vieillesse Il y a assonance en eu : insistance du poète à profiter de la jeunesse. CONCLUSION : QUESTION : après l’étude de ce poème, qu’est-ce que pour vous la poésie ? Quel est le message du poète à destination de la jeune fille ? Quels sont les procédés d’écriture