Assonance

tour. B André Chenier XVIIIe 5. Les sonorités. • Allitération : répétition d’une ou plusieurs consonnes à l’intérieur d’un vers. Exemple : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? - Racine XVIIe • Assonance : répétition d’une ou plusieurs voyelles à l’intérieur d’un vers. Exemples : L’élixir de ta bouche ou l’amour se pavane - Baudelaire XIXe Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèles - Hugo XIXe • Les répétitions

marqué par le sentiment de remord. Le texte poétique de Paul Verlaine dans la «  Sagesse  » possède deux assonances et une allitération. Dans le premier vers du texte nous retrouvons une assonance « faux beau » qui sont riches en son voyelle « O » et dans la deuxième strophe, deuxième vers du texte, nous retrouvons une assonance en « an », dans le texte : « battant, couchant ravageant ». Nous avons aussi une allitération dans la deuxième strophe et deuxième vers avec

hurlait » v. 1 ne constitue qu’une assonance très riche par rapport à « ourlet » v. 4) et grâce à la très grande densité des rimes internes (« assourdissante » v. 1, « Soulevant, balançant » v. 4 préparent la rime DD ; « je buvais » v. 6, « éclair » v. 9, « m’a fait » v. 10, « verrai » v. 11, « jamais » v. 12, « tu ne sais » v. 13, « aimée » v. 14 reprennent AA’ et assonent avec EE, c’est-à-dire que quatre rimes, sur les sept, se trouvent ainsi directement en assonance, relayées par sept rimes internes

différents mais formes voisines) : la mer/l'amour ; eaux/maux ; armes/larmes(rimes riches) « Amoureux » / « douloureux » (v.12-13)= rimes riches aussi ; « amer » / « l'amer » (v.2-3) = plus que riches. -Allitération en « m » et assonance en « ou » tout au long du poème ; assonance en « è » dans le premier quatrain. v.12-13 : « brasier » / « brûle » son répété Enfin, le texte s'achève sur une anagramme : « la mer » / « larmes » (v.14) Les différences entre la mer et l’amour : dans les tercets, les

Pendant le 1° tercet, la vision passe de l'île au port (symbolisme vision, vie, voyage, mouvement) Le port est un lieu protégé (comme l'île) mais aussi un lieu d'expansion et d'infini propre à incarner le rêve (cf. 2° tercet). Les nombreuses assonances en " oua " et " a " montrent la recherche d'harmonie. La très grande générosité des rimes v. 12-14 fait écho au v. 6 (générosité de l'île, lieu d'expansion et de bien-être. II - Correspondance entre les différentes sensations : synesthésie

croisades. La plus connue est "La chanson de Roland". Il s'agit de longs poèmes organisés en laisses ( strophes de longueur inégale qui comportent chacune une unité narrative.) ; le mètre utilisé est le plus souvent le décasyllabe ; les vers étaient assonancés. Le poème était récité par un jongleur qui s'accompagnait d'un instrument de musique ; des saltimbanques mimaient les scènes racontées. La poésie lyrique domine la production littéraire du début du XIIème siècle : les troubadours et les trouvères

de la beauté générale Le thème de la rencontre - lieu : rue de Paris : lieu anti-poétique par excellence(tandis qu'un poète classique attend la beauté d dans un lieu historique par exemple le colisée et le MontParnasse - le bruit assourdissant :assonance en «u» et en «é» et hiatus « moi hurlait » : son désagréable - la femme fascinante par sa perfection physique,mystère de la douleur ,élégance du vêtement et de la démarche, progression de la longueur des groupes Longue, mince, en grand deuil, douleur

Hugo. Le vocabulaire est lui aussi très recherché chez le parnassien : « promontoire » ; « airain » ; « bouvier » ; «éloquente»; «acanthe»; «chapiteau»; «aïeux», alors qu’il est plutôt simple quez le romantique. Nous remarquerons aussi quelques assonances dans le deuxième poème : « Le temple est en ruine au haut du promontoire » ; « Fait à chaque printemps, vainement éloquente, | Au chapiteau brisé verdir une autre acanthe », qui créé une impression d’immensité. Le poème possède aussi une allitération

l’azur » (v.6) et « piteusement » qui confirment bien cette idée. Les sonorités vont renforcer cette déchéance sur Terre puisque, lors du vol de l’oiseau, on retrouve une assonance en « en » et une allitération en « v » qui souligne une fois de plus la majesté du vol de l’oiseau. Lors du passage sur Terre, on relève également une assonance en « en » mais qui sert cette fois à dégrader l’oiseau. La deuxième strophe est saccagée par les allitérations en « t » et en « d » qui marque la brutalité et la

plus de place dans la société Conséquences de la courtoisie (art/litt): transposition ou adaptation, des valeurs sociales (sphère privée <3 – les femmes se donnent une importance dans un couple courtois), Chanson de Roland: 4002 vers assonancés (rimés) divisée ou structurée en laisses (strophes ou paragraphes) L’idée de départ: Charlemagne se bat contre Sarazin 1. Ganelons trahit Roland (pacte avec les Maures) 2. Bataille de Roncevaux: Roland + Olivier = héros 3. contexte