Assonance

l'opposition entre les deux mondes et les deux statuts de l'albatros dans 4ème strophe b2. Le jeu des sonorités renforce le contraste : • La majesté de l'albatros est rendu par une assonance en 'en' et une allitération en 'v' dans la 1ère strophe • La 2ème et 3ème strophes accumulent des sonorité désagréables avec une assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et une allitération en 'c' et 'gu' • Le vers 12 donne un décrochement au gérondif et une cadence plus lente, qui suggère

ni ce qu'il font la bas ni pourquoi il y sont. Seul la société les y oblige, ils n'ont pas eu le choix. Rimbaud possède une certaine spécificité d'écriture. En effet, de nombreux rythmes et assonances donnent une musique a ses poèmes ce qui les rend différent d'un poème classique. En effet, les assonances en i sont très nombreuses et font ressortir toute cette douleur liée a la guerre. D'autres sonorités rappellent les engins de mort employés lors de c'est guerres telles que les allitérations occlusives

gloire de quelque chose, registre lyrique ( lyrisme) Le vers libre genre moderne, mètre très irrégulier 1 à 35 syllabes, Les rimes sont remplacé par des assonances et des allitérations. Poème en prose écrit sous forme d'un paragraphe de Roman, Langage recherché et soutenu poétique, beaucoup de figure de style, musicalité assonance, allitération, anaphore, refrain. Calligrammes Prends la forme du thème traité, Apollinaire est l'inventeur Hymnes, Requiem, Complainte La poésie est

éventuelle d'images et de figures de style | effet propre à chaque image, l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. | - Les allitérations et assonances | mise en valeur de certains mots, musique du texte | - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures | toujours à commenter | La progression du texte : Les indices qui permettent de la repérer | Ce qu'ils peuvent indiquer | Les changements

conte 1)Un univers paradisiaq. * Orienté dès début vers univers fantastiq.: emprunt au merveilleux («il y avait»). * Pas d'indicat° tps: rend intemporel: conte. Lieu inconnu «Westphalie». Consonnace germaniq., comfirmé par nom baron: assonance en «t»,son guturel, ton marqué. Pouvoir & richesse: domestiq., valets,... Superlatifs & hyperboles, pluriels. 2)Persos. * Les persos. st présenté: * Candide: héros éponyme, donne nom ouvrage mais aussi chapitre. *Occupe tt premier

étudions un extrait du poème Zone tiré de celui-ci. Ce poème rompt avec la forme classique avec l'utilisation des vers libres notamment. On peut également remarquer l'absence de ponctuation ainsi que les « rimes » qui sont remplacés par de simple assonances. On a dans se poème une véritable envie de rompre avec les formes traditionnelles qui est paradoxale avec la célébration de la religion. Proposition 1 : Ancien : v. 1-4 = rejet de l'ancien Nouveau : v. 5-10 = célébration de la modernité, de la

renforcée par le jeu des sonorités, puisqu'on a au v.9 une allitération en f et r et une assonance en è. B) Un phénomène d'échos : La personnification du v.8, opérée grâce au verbe «  se répondre », qui est un verbe de parole, et la comparaison des sensations à des « échos » rendent concrète l'idée de correspondance. Ces échos sont eux-mêmes soulignés par des reprises de sonorités, comme au v.5 les assonances en « on » (« longs » ; »confondent »). On peux parler ici d'harmonie imitative car les sonorités

mal, il l’a comparé aussi à une femme lubrique et utilise une partie du corps la jambe, il utilise donc le champs le champs lexical de la nature (fleurs) et la femme dans ce poème ce qui fait ressortir sa beauté en plus des rimes et certaines assonances et allitération. La beauté de ce poème provoque le respect car ce qui est le plus beau dans ce poème est son sens qui dit qu’il aimeras sa femme même quand elle sera comme une charogne car il ne voit que la beauté en elle dans son âme mais pas

répétitions, qu’il s’agisse de mots ou de sonorités, contribue aussi à cette impression d’obsession : ainsi la conjonction de coordination « et » est utilisée six fois dans le premier quatrain, et le poème dans son ensemble se construit sur les assonances et des allitérations : • En « an » : souvent, étrange, pénétrant (termes mis en valeur par la lecture du vers comme un trimètre), comprend (x 2), transparent, pleurant. • En « ai » : fait (x 3), aime (x 3), même (homophonie délibérée : aime/même)

rimes embrasées : les rimes externes encadrent les rimes internes, schéma abba Il arrive que la rime soit remplacée par une assonance (similitude d'une voyelle d'un vers à l'autre, mais avec une différence de consonne : dans le couple farine/pastille, assonance en i . A l’intérieur du vers, on trouve aussi des jeux de sonorités- que ce soit des rimes intérieur ou des assonances . Le rythme du vers Les vers longs, essentiellement les décasyllabes et les alexandrins, se partagent le plus souvent en