Assonance

rythme et rime : cette dernière n'est qu'un des éléments qui concourent à la création du rythme. . TYPES DE RIMES / CARACTÉRISTIQUES * Richesse des rimes. - Rimes pauvres : la voyelle seule est semblable. Il ne s'agit que d'une simple assonance (ex. ami / pari). - Rimes suffisantes : la consonne précédant la voyelle accentuée est la même dans les deux mots (ex. bannir / finir). - Rimes riches ou très riches : présence de plusieurs syllabes identiques de son et d'articulation (trois

 Table des matières Préface 2 Union libre 5 Analyse du poème « Union libre » 6 Au niveau de la forme : 6 Figures de style qui régissent le poème : 7 Champs lexicaux : 7 Assonance : 7 Douce création 8 Analyse du poème « Douce création » 8 Ma tranquille amie 9 Analyse du poème « Ma tranquille amie » 9 Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle 11 Analyse du poème « Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle » 11 Bibliographie 13 Préface Cher lecteur, Nous allons aborder

d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de | | |remarques stylistiques sans analyse. | |- Les allitérations et assonances |mise en valeur de certains mots, musique du texte | |- Répétitions, parallélismes, oppositions, |toujours à commenter |

causaleÞfatalité. � “ce” ou“cette” (7 fois ) : fas- cination. -”baiser d’une déesse”: hyperbole. -v.6 et 7: chiasme (croisement) : embompoint/douce main (positif) + chaste/rigueur (négatif). assonances en “ou” : effet d’insistance (mourir/pour/amour) -assonances en “in”. -allitérations en “s” (sifflantes). -rimes signifiantes : � Maistresse/ déesse � tresse/blesse combas/bras -Sonnet fortement structuré par les anaphores. -effets de crescendo:

que leur vie ressemble à une comptine, une chanson où l'on reprend le dernier mot à chaque fois « chaque flot est un ondin qui nage dans le courant, chaque courant est un sentier qui serpente vers mon palais, et mon palais est bâti fluide ». Les assonances en -u- rappellent les sonorités des chansons d'enfants « caduc et barbu ». Ondine et ses sœurs sont espiègles, elles aiment se moquer des arbres « se moquent du saule caduc et barbu ». 2. Le thème de L'eau L'eau est un des quatre éléments. Son

peu - " Assise auprès du feu, dévidant et filant" : monotone, répétitif + assonance en "an " qui accentue Evocation par le rythme du pouvoir des vers de Ronsard - "Direz ; chantant mes vers, en vous émerveillant " : rythme croissant, ce qui peut la réveiller, ce sont mes vers de Ronsard Vers croissant imite le réveil + servante aussi réveillée par le rythme - Rappel : allitération = récurrence d'une consonne Assonance= récurrence d'une voyellee) le procédé de dégradation entraîné par la vieillesse

faut avant toute chose respecter la gestion mentale de l'enfant afin que peu à peu les émergences nécessaires à l'ordonnancement corporel soient fondées. (p.86) Bâtir le tempo interne d'un être, c'est avant tout se faire médiateur de sa propre assonance, en forgeant par lui-même, et pour lui-même seulement, dans une perspective dynamique vers l'avenir, les conditions nécessaires pour construire et porter cet avenir précisément. (p.86) Certes, il est essentiel de respecter le rythme de l'enfant

alternent et passage vif car : i. Bref < 12 vers, moins long que le passage précédent ii. Faits rapides < temps → passés simples après présent narration iii. Expression de l'obsession du personnage < imparfait répétition, allégories visuelles, assonance [i] D. Résolution v46-49 nouveau retournement de situation → récit concis < 3 vers > et enlevé : artisan déterminé < passé simple, discours direct + impératifs E. Situation finale manquante = le lecteur imagine un retour à la situation initiale

quatrains à la fin du poème, contribue à l’idée de clôture ,de fermeture. De par les rimes, a,b,a,b ,les sonorités sont répétitives et circulaire comme si on tournait en rond. La répétition de « tournons »V11 avec l’emploie des allitérations en t et assonance en ou renforce cette idée de mouvement sans fin. Aussi ,le mouvement du gardien de prison (geôlier) est tjs le même. Le temps est par ailleurs vu de manière paradoxale par le poète. Il passe à la fois lentementV21,22 puis il passe trop vite

contempler avec lui les étapes de la métamorphose et s’imprégner de la sérénité du lieu.     Enfin la forme du poème en vers assonancés lui confère une harmonie sonore, renforcée par la présence de quatrains au début et à la fin du texte (vers 1-4 et 18-21, avec des « rimes » embrassées). D’autres effets sonores confortent l’impression de calme et de tranquillité : ainsi les assonances en [an] au début du poème ressemblent à des rimes internes qui allongent encore le vers : « passant » et « dimanche » vers