Assonance

n’avoir aucune issue. On se représente un ciel nuageux, chargé, un peu comme avant un orage. L’atmosphère est de plus en plus déprimante et oppressante avec un « jour noir », oxymore. Montre l’obscurité qui règne dans l’esprit. On remarque aussi des assonances en « an », des allitérations en « n », qui sont toutes des sonorités nasales, plutôt désagréables. On peut aussi aussi noter qu’il 2 rimes riches. C’est sont donc toutes des impressions intérieures, un ressenti mais provoqué par le monde extérieur

de l’universalité de la poésie : les problèmes liés à la négritude sont des problèmes identitaires qui peuvent se poser à chacun d’entre nous. LE GENRE POETIQUE Points abordés : La forme : strophe, vers libre Les sonorités : rimes, assonances, allitérations, les répétitions Le rythme Les figures de style : comparaison, métaphore, métonymie, personnification, oxymore Plan de la séquence : I. Rappels historiques (45’) II. Education aux médias : Le noir dans la publicité (2

d’assonance. Ce n’est pas le cas dans toutes les versions traduites, mais j’ai remarqué que la version originale en ancien français contient cette assonance. Tous les vers d’une laisse terminent par le même son voyelle (souvent [ə] ou [e]) dans cette version. Cela crée un effet lyrique. Cet effet n’est pas exactement comme des rimes. Malheureusement cette assonance n’est pas gardée partout dans les traductions, donc la version en français moderne perd un important aspect lyrique de l’histoire. Certaines

classique des Alexandrins est accéléré pour devenir Ternaire (V.11) et devient même irrégulier car ternaire cassé dans le dernier tercé (V.13). * Allitérations = retour d’un même son consonantique. Ici [l], [r], [p], [b] = 1er quatrain. * Assonance(s) = Retour d’un même son vocalique. Ici [a], [i], [o] = 1er quatrain. Texte B : En vers libres : « Prose de Transsibérien et de la petite Jeanne » B. Cendrars. Différences par rapport au Poème en vers réguliers : * vers de longueur inégale

Enjambement, allitération en « p » Champs lexical de la confusionAntithèse Rimes binaire v5 à7Sens Allitération en « f »Sens Qualités moralesDiérèseSens de l’odorat Comparer notre environnement à un lieu sacréSe rapporte à la nature Se rapporte à l’homme Assonance en « on » long, confondent, profonde, comme, sons, répondent.· Echos mystérieux Sonorité en « o », allitération en « l » et « f »Correspondance intime entre les perceptions Relation entre L’odorat le parfum Et Le toucher fraisCommencement des

a. V.1 & 4 : * Relation par la rime : « noie » & « joie » * L’un est « moins », l’autre est « plus » * Assonance en « i » : « vis », « ennuis », tous les deux dans le 1er hémistiche. * Chiasme b. V.4 & 5 : Assonance en « i » : « ennuis » / « ris » + « oi » : « joie » / « larmoie ». c. V.5 & 8 : * « larmoie »/ »verdoie » : assonance * Parallélisme : « ris »/ « sèche » (2eme hémistiche précédés de « je », même place : 6eme syllabe), monosyllabe, accent

→ distique Strophe de trois vers → tercet Strophe de quatre vers → quatrain Strophe de cinq vers → quintile Strophe de six vers → sizain Rimes Rimes suivies AABB Rimes croisées ABAB Rimes embrassées ABBA Allitération consonnes / Assonances voyelles Richesse des rimes : Pauvre 1 son Suffisantes 2 sons Riches 3 sons Vers libres : pas de rimes ou que les vers n’ont pas le même nombre de syllabes d’un vers a l’autre Le rythme. L’enjambement : c’est l’absence de

poèmes jouent avec sur les sonorités comme par exemple les assonances, allitérations, rimes, refrains ; pour différents objectifs : - l'humour, la fantaisie --> "Si tu t'imagine"s, de Raymond Queneau : il joue sur les sons en transformant le language écrit en language oral - créer une musicalité --> "Un hémisphère dans une chevelure", de Charles Baudelaire : une douce musique est créée par les allitérations en [m], [p] et [b] et les assonances en [ã] - créer des harmonie imitatives --> "Spleen", de

str4: De l'extérieur à l'intérieur « les cafés »: allusion aux « tziganes », musicien dans les cafés et aux garçons de café. b. un procédé sonore insiste sur l'errance comme un écho intérieur. v.4 j'ère à travers mon beau Paris [ère] [ère] assonance en aire 3. Le poète raconte sa propre errance à la 1ère personne du singulier et s'adresse à la femme qui ne l'aime plus. Str1: j'ère fin de str4: « Vers toi, toi que j'ai tant aimée, allitération en [t] début de str5: Moi, qui suis... Le

», « Auréole du temps », « berceau nocturne et sûr » évoque une image apaisante que la musicalité des vers souligne. En effet, tant au point de vue rythmique que sonore, les trois premiers vers sont très harmonieux : vers coupés à l’hémistiche, assonances en « on », « en » , « ou »… b) un regard vivant et fascinant D’autre part, les vers du deuxième quintil, tous des décasyllabes à la coupe régulière à la quatrième syllabe, suggèrent des images d’une nature proche et douce et évoquent, par des associations