Assouplissement Quantitatif

logique nationale en ce qui concerne la logique des décisions et repose aussi sur l’environnement au sens large, ces différents éléments permettent d’expliquer les systèmes nationaux, l’enjeux est que la croissance n’est pas un phénomène seulement quantitatif mais que d’autres choses entrent en jeux, l’idée est que la notion de trajectoire technologique permet de justifier de nouvelles politiques industrielles et met l’accent sur l’importance de l’activité d’innovation mais aussi de souligner le

contradiction avec la fongibilité qui a été reconnue par la LOLF. Le décret du 27 janvier 2005 confirme le contrôle a priori et systématique de régularité des dépenses qui est exercé en N+1 sauf pour les dépenses les plus importantes d’un point de vue quantitatif. Au-delà d’un certain seuil, le ministre devra obtenir l’avis préalable du contrôle. Le contrôleur financier devra : Le rôle du contrôleur financier a donc évolué. - En fin d’année N-1, il va examiner les prévisions de dépenses des responsables

s’engager à maintenir le taux directeur inchangé tant qu’un indicateur économique clé comme le taux de chômage ou le taux de croissance n’a pas atteint un certain niveau prédéfini par la BC. -programme d’achat d’actif : décomposé entre le QE ( quantitatif easing ) et le QE’ ( qualititatif easing ) : QE : il consiste pour la BC à acheter en grandes quantités certains titres financiers à revenu fixe et de bonne qualité = des obligations dont la proba de remboursement est la plus élevée possible ( elle

des signes de reprise au troisième trimestre, avec une amélioration des marchés de l’emploi, de l’immobilier et des actions. 65 taux d’intérêt « exceptionnellement bas » jusqu’à la mi2015 et a lancé un troisième programme d’assouplissement quantitatif ("quantitative easing" ou QE3), à travers l'achat de 40 milliards de dollars par mois de dette immobilière, sans limite de durée. Le but est de faire baisser les taux d’intérêt à long terme. En termes de perspectives, le FMI prévoit une croissance

biens fixes (implicitement corporels, tangibles) financés principalement par les sources de capitaux étatiques ou quasi étatiques et les politiques d’amortissements appliquées à ces biens fixes. Nous privilégions les aspects principiels aux aspects quantitatifs concernant les taux afin de montrer comment la représentation de l’entreprise et des biens a évolué au travers des représentations comptables telles que les méthodes d’évaluation et les modalités de traitements des amortissements. Tableau 3.:

ex : forme taylorienne dans le tertiaire qui normalement existe dans le secondaire). C. chômage Entre 1974 et 1980, on est passé de 400 000 demandeurs d’emploi à 1,5 million 3,8million de chômeurs dans les années 95-96. Au-delà de l’aspect quantitatif, il y a quand même des caractéristiques à souligner : Années de rupture : les licences économiques sont très élevées et sont concentrées dans certains secteurs (construction mécanique, habillement). Les entreprises s’efforcent de réduire leur effectif

s’engager à maintenir le taux directeur inchangé tant qu’un indicateur économique clé comme le taux de chômage ou le taux de croissance n’a pas atteint un certain niveau prédéfini par la BC. -programme d’achat d’actif : décomposé entre le QE ( quantitatif easing ) et le QE’ ( qualititatif easing ) : QE : il consiste pour la BC à acheter en grandes quantités certains titres financiers à revenu fixe et de bonne qualité = des obligations dont la proba de remboursement est la plus élevée possible ( elle

constaté que les banques centrales avaient tendance à allonger les délais des opérations de prise en pension (supérieur à 7 jours ; élargissement de la palette des échéances). L’injection massive = > le bilan des banques centrale a explosé en terme quantitatif. 30 Mutations financières et politique monétaire Banque centrale actif Contrepartie : - externe (or et devise) - créances sur trésor détenu par la banque centrale. (CTbc) -refinancement des banques (RF) passif Base monétaire : -les billets

modernisation, on est loin de penser par exemple, que l’on puisse mesurer de la même manière un champ et un tissu, ni même deux variétés de blé présentant des différences d’humidité ou de saleté. Les traits qualitatifs l’emportent sur les traits quantitatifs et c’est la synthèse de tous les traits d’un objet qui constitue sa qualité. 9 Les mesures reflètent la culture, les rapports sociaux et les rapports de pouvoir. Dans la société médiévale, pour un même prix, on peut avoir une quantité variable

............................................. 154 A - L’architecture budgétaire et comptable au plan territorial ............... 155 B - Un cloisonnement excessif ............................................................... 157 C - Des assouplissements limités ........................................................... 159 CHAPITRE IV - UNE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES INADAPTEE ...................................................163 I - Une connaissance insuffisante des effectifs et