Assyriens

divisa à la mort de Salomon, fils de David: la  Judée au Sud et Israël au Nord. Jérusalem est resté le centre de la souveraineté et du culte juif chaque fois que les Juifs ont dominé le pays par la suite, jusqu'à la révolte juive de 133 AD.. Les Assyriens conquirent Israël vers 722 ou 721 B.C. Les Babyloniens prirent Juda autour de 586 B.C.  le temple de Salomon à Jérusalem fut détruit et un grand nombre de Juifs exilés. 50 ans plus tard, Cyrus, Roi de Perse, conquit Babylone. Cyrus a autorisé un

sphère d'influence de l'Assyrie et, à partir de -700, la guerre entre les deux États devient inévitable. Entre -671 et -667, les Assyriens entament les hostilités contre l'Égypte. Les règnes de Taharqa et de son successeur, Tanoutamon, sont marqués par le conflit permanent avec les Assyriens, contre lesquels les dirigeants nubiens accumulent plusieurs victoires53. Les Assyriens repoussent finalement les Koushites en Nubie, occupent la ville de Memphis et saccagent les temples de Thèbes54. Basse époque[modifier

vient s’associer une panoplie de groupes ethniques qui composent la communauté chrétienne au Machrek : Syriaques, Maronites, Chaldéens, Arméniens, etc. Ces termes de désignation se basent sur le dialecte et la langue que partage le groupe, les Assyriens par exemple partagent le même dialecte, le néo-araméen. Les Chrétiens du Levant se répartissent entre tous les pays de la région, avec des proportions qui diffèrent beaucoup d’un cas à un autre. En Syrie ils seraient 12% de la population totale,

retraite de Xersés (fils de Darius, règne de 486 à 465), il mène une enquête (Historiai). On dispose aussi d'inscriptions cunéiformes trouvées en Iran. (Les plus intéressantes sont celles trouvées à Béhistoun, inscription trilingue en perse, médique et assyrien, gravées en 521 avt JC à la demande de Darius). Plan : Le déclenchement des guerres Médiques L'expédition perse de 490 : la bataille de Marathon et la première guerre médique Le déclenchement des guerres Médiques a. La révolte

répartis sur un grand espace, en Mésopotamie, Syrie, et en Anatolie ; elle est attestée jusque dans les textes de Qumrân, peu avant l’ère chrétienne. Elle avait été traduite en Hittite et en Hourrite. Les sources sont sumériennes, babyloniennes, assyriennes, hittites et hourrites. Les tablettes seront d’abord traduites par Georges Smith, protégé de Henry Rawlinson. De récents travaux rapprochent l’épopée de Gilgamesh des 12 travaux d’Héraclès (l’homologue grec du héros romain Hercule), la légende

Epîtres d’Horare souligne l’éducation prétendue de Sganarelle. « Un vrai Sardanapale » montre aussi l’étalage d’une culture mal-maîtrisée. La référence à l'antiquité fait de lui un valet cultivé mais qui ne sait pas de quoi il parle. (Sardanapale : roi assyrien symbolisant la luxure). → La métaphore filée de la peinture « ce n’est là qu’une ébauche […] de pinceau » montre que le valet se prend pour un peintre. Elle témoigne de la vanité de Sganarelle et son essai de fasciner Gusman. → La verdeur populaire

au VIIème siècle avant J.C.) a été représenté, d'abord par les Grecs, comme un roi débauché et efféminé. Ctésias de Cnide (vers 400 av. J.-C.), médecin à la cour des rois perses, a été le premier à faire le triste portrait de ce dernier grand roi assyrien : « Sardanapale surpassa tous ses prédécesseurs en débauches et paresse. Car non seulement il ne se montrait jamais au monde extérieur, mais il menait la vie d'une femme (...). Il s'efforçait même de rendre sa voix féminine et (...) il cherchait

argent), munis de tabourets relevant les pieds et d'un appui-tête en pierre, métal bois ou ivoire sculpté servant à soutenir les volumineuses coiffes des pharaons. Plusieurs lits ont été retrouvés dans la chambre funéraire de Toutankhamon. Les Assyriens, Mèdes et Perses avaient des lits similaires, souvent décorés avec des incrustations ou des appliques de métal, de nacre ou d'ivoire. Les bas-reliefs montrent également l'existence de lits pour manger. En Grèce antique, la plus ancienne mention

« et en tirait quelques cas pratiques »Vs les strict par cœur de l’éducation médiévale et des sophistes · Cf. Chap. XIV : Thubal Holopherne (= « confusion » en hébreu + « nom d’un général assyrien » / persécuteur des Juifs) « qui lui apprit son alphabet si bien qu’il le disait par cœur et à rebours » (chap. XIV, p. 137) · Ironie de Rabelais : quelle utilité ?De plus : programme souple  : · « parfois » ; « ordinairement »

l’emplacement stratégique et la richesse de la Mésopotamie font d’elle le centre d’attrait de nombreux peuples. Il est possible d’observer, du sud au nord de la Mésopotamie, les traces laissés par les Sumériens, les Akkadiens, les Babyloniens, les Assyriens et les Perses. En effet, c’est d’abord dans la vallée inférieure de la Basse Mésopotamie que l’on trouve les premiers indices d’une culture urbaine avec les villes Ur et d’Uruk. Puis le centre se déplace dans la zone intermédiaire de la Mésopotamie