Ataxie

et de la coordination des membres, à des difficultés pour parler et avaler. La spasticité peut devenir très importante ; il peut s’y ajouter une rigidité extrapyramidale et une attitude dystonique de tout ou partie du corps. 2- Hémiplégie et ataxie cérébelleuse controlatérale Ce tableau résulte de l’atteinte du faisceau pyramidal et du pédoncule cérébelleux supérieur d’un côté. 3- Hémiplégie associée ou non à des troubles sensitifs ou un déficit visuel 4- Signes oculaires

l’âge de début Entre 20 et 29 ans préférentiellement et plus rarement < 20 ans et > 50 ans. Premier signe : névrite optique 17%, atteinte sensitive 45%, atteinte motrice aigue 6µ, atteinte motrice insidieuse 13%, diplopie et vertiges 12%, ataxie 13%. Présence d’un signe neurologique isolé évolue en Sep en 20 ans dans 63% des cas. Parmi eux 21% à IRM initiale normale valeur prédictive IRM associée à « clinically isolated syndrom » (CIS). Valeur diagnostique prédictive forte quand IRM anormale

- Tremblement - Ataxie Avec possibilité d’association des divers types entre eux. Nous allons décrire ces différents termes ainsi que d’autres sur lesquels le Professeur G. Tardieu a attiré l’attention

particulier V5) jusqu’à la zone pariétale. * Des personnes meuvent avoir du mal à repérer les objets dans une pièce. * Des troubles de la perception du mouvement (ex : ne pas savoir quand arrêter de servir de l’eau -> ne pas voir le bord du verre) *ATAXIE OPTIQUE = Personne peut reconnaitre les deux objets, dire leurs noms, mais est incapable de s’en servir. Illusion de Titchener (19ème siècle) –> Un cercle parait plus grand qu’un autre alors qu’ils font la même taille. MAIS au 20ème siècle on

pyramidale n’étant pas atteinte, il n’y a par exemple pas de signe de Babinski. Le tabès, complication de la syphilis, se caractérise par une dégénérescence des nerfs rachidiens et se traduit par d’importantes douleurs dans les membres ainsi qu’une ataxie avec troubles de la proprioception, de la marche, pertes d’équilibre… La maladie de Lyme, transmise par l’intermédiaire des tiques, se caractérise également par une atteinte neurologique qui s’accompagne de douleurs musculaires et articulaires.

(infertilité, avortements)…–Appareil génital mâle :orchite, épididymite–Voies respiratoires :laryngite, trachéite, pleuropneumonie–Septicémie animaux6-12 mois : localisation préférentielle au cerveau = méningo-encéphalite thrombo-embolique(somnolenceet ataxie), coeur et articulations, avec souvent mort brutale | | | | | Genre Haemophilus•Fins petits bacilles à Gram-•Souvent polymorphes•AAF•Croissance exigeant de l’hémine(facteur X) et/ou du NAD(facteur V) : gélose au sang cuit ou enrichie en extrait

Amnésie antérograde, troubles du comportement, modifications de la conscience, irritabilité, agressivité, agitation, dépendance physique et psychique (avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement), sensations ébrieuses, céphalées, ataxie, confusion, baisse de vigilance voire somnolence insomnie, cauchemars, tension, modifications de la libido. Traitements pansement / hygienne Sérum physiologique Chlorure de sodium (0,9 g), eau purifiée qsp 100 ml. Solution isotonique couramment

sur le tonus musculaire – Le cervelet – Les noyaux oculo-moteurs (cf diapo suivante) Latéro-pulsion vers le côté Laté rocôté lésé par suite de la perte du tonus de ce côté, le tonus du côté côté opposé paraît alors côté opposé paraî exagéré exagé Ataxie labyrinthique : - déviation de la marche du côté de la lésion lorsque les côté lé yeux sont fermés fermé - …. - Signe de Romberg + 44 23 – les noyaux vestibulaires Sens de rotation du fauteuil tournant – Action sur les noyaux oculo- moteurs

interféron ; autres. Diabètes d’origine infectieuse : rubéole congénitale ; infection à cytomégalovirus ; autres. Formes rares d’origine auto-immune : stiff-man syndrome ; Ac anti-récepteur à l’insuline ; autres. . . . . . . . . syndrome de Wolfram ; ataxie de Friedreich ; chorée de Huntington ; syndrome de Lawrence Moon Beidel ; dystrophie myotonique ; porphyrie ; syndrome de Prader-Willi ; autres. Diabète de type 1 Les diabètes de type 1 sont dans l'immense majorité des cas d'origine auto-immune

B. Les neurones ayant absolument besoin de ces vitamines pour vivre, il y a mort neuronale. Cela peut entraîner : - des troubles définitifs de l'équilibre, la personne reste "ébrieuse " à vie du fait de lésions situées au niveau du cervelet (ataxie) et des nerfs périphériques (polynévrite). - des troubles de la mémoire des faits immédiats, la personne devient définitivement incapable de mémoriser les faits récents, tout en gardant intact les faits anciens. Cela est dû à des lésions de